Les vacances d'été arrivées, tout le monde se précipitent sur les plages, et vous avez bien l'intention d'en faire autant. Mais la mer, est un élément indomptable auquel il faut faire attention.
Connaissez-vous réellement tous les dangers de la mer ? Personnellement non et vous trouverez dans cet article la grande peur que j’ai eu il y a quelques jours.
Alors que vous soyez sur la plage, au bord de l'eau ou même en pleine mer, nous vous rappelons quelques précautions à prendre si vous devez partir en vacances à la mer.
1/Jamais sans surveillance ...
La mer, c'est avant tout une étendue d'eau naturelle qui peut présenter des dangers cachés. Un brutal changement de profondeur, un courant qui vous entraîne malgré vous... Il vaut mieux donc ne jamais aller se baigner tout seul, même sur une plage surveillée. Les noyades arrivent très vite et même dans une étendue d'eau qui semble peu profonde, on ne sait jamais ce qui peut arriver. Une hydrocution peut par exemple faire perdre connaissance et entraîner une noyade. Si les plages surveillées sont une sécurité supplémentaire, il est bon de ne jamais s'y reposer complètement.
Concernant les enfants, la surveillance de chaque minute, les brassards de protection sont obligatoires à tout instant. Se mettre dans une position où vous pourriez vous laisser aller à un petit somme est donc un exemple de chose à ne pas faire.
Evidemment, en cas de mauvais temps, mieux vaut ne pas s'approcher de la plage, même pour admirer les grandes vagues de la mer en colère.
2/ L’hydrocution
C’est un refroidissement brutal appelé choc thermique ou hydrocution, il correspond à un refroidissement brutal imposé souvent par une entrée trop rapide dans l’eau, et par une trop grande différence de température entre la peau et l'eau. Ce refroidissement peut entraîner une perte de connaissance dans l'eau et donc une noyade. Le terme hydrocution s'applique d’ailleurs en général à un nageur inconscient qui coule à pic pratiquement sans aucun symptôme préalable.
Que faire en cas d’hydrocution ?
Face à toute hydrocution ou tout malaise dans l'eau, il est indispensable d'évacuer la victime sur la terre ferme. Il faut alerter les équipes de secours les plus proches, à savoir les maîtres nageurs sauveteurs s'ils sont présents sur les lieux de l'accident, le SAMU (15) ou les pompiers (18) en leur absence.
Dans tous les cas :
- Il est nécessaire de combattre l’hypothermie (baisse de la température du corps) de la victime en la séchant, la recouvrant d’une couverture, et en poursuivant ce réchauffement jusqu’à un retour à la normale ;
- Il est indispensable de rassurer la victime souvent angoissée ;
- Il faut également la surveiller dans les heures qui suivent afin de déceler toute évolution de son état. De ce fait, ne la laisser jamais seule.
Pour éviter l’hydrocution
Quelques signes peuvent précéder l'hydrocution…Trop souvent ils sont négligés parce que peu importants et peu spécifiques. Ce sont : les maux de tête, les crampes, l'angoisse... Devant l'apparition de l'un de ces signes, tout nageur doit se rapprocher du bord, et sortir de l'eau le plus rapidement possible.
· Entrez de manière progressive dans l'eau, particulièrement lorsque l'eau est froide et que vous vous êtes exposé au soleil ;
· Evitez les expositions au soleil trop prolongé ;
· Evitez de vous baigner après avoir bu de l'alcool en excès ou mangé un repas trop copieux.
Connaissez-vous réellement tous les dangers de la mer ? Personnellement non et vous trouverez dans cet article la grande peur que j’ai eu il y a quelques jours.
Alors que vous soyez sur la plage, au bord de l'eau ou même en pleine mer, nous vous rappelons quelques précautions à prendre si vous devez partir en vacances à la mer.
1/Jamais sans surveillance ...
La mer, c'est avant tout une étendue d'eau naturelle qui peut présenter des dangers cachés. Un brutal changement de profondeur, un courant qui vous entraîne malgré vous... Il vaut mieux donc ne jamais aller se baigner tout seul, même sur une plage surveillée. Les noyades arrivent très vite et même dans une étendue d'eau qui semble peu profonde, on ne sait jamais ce qui peut arriver. Une hydrocution peut par exemple faire perdre connaissance et entraîner une noyade. Si les plages surveillées sont une sécurité supplémentaire, il est bon de ne jamais s'y reposer complètement.
Concernant les enfants, la surveillance de chaque minute, les brassards de protection sont obligatoires à tout instant. Se mettre dans une position où vous pourriez vous laisser aller à un petit somme est donc un exemple de chose à ne pas faire.
Evidemment, en cas de mauvais temps, mieux vaut ne pas s'approcher de la plage, même pour admirer les grandes vagues de la mer en colère.
2/ L’hydrocution
C’est un refroidissement brutal appelé choc thermique ou hydrocution, il correspond à un refroidissement brutal imposé souvent par une entrée trop rapide dans l’eau, et par une trop grande différence de température entre la peau et l'eau. Ce refroidissement peut entraîner une perte de connaissance dans l'eau et donc une noyade. Le terme hydrocution s'applique d’ailleurs en général à un nageur inconscient qui coule à pic pratiquement sans aucun symptôme préalable.
Que faire en cas d’hydrocution ?
Face à toute hydrocution ou tout malaise dans l'eau, il est indispensable d'évacuer la victime sur la terre ferme. Il faut alerter les équipes de secours les plus proches, à savoir les maîtres nageurs sauveteurs s'ils sont présents sur les lieux de l'accident, le SAMU (15) ou les pompiers (18) en leur absence.
Dans tous les cas :
- Il est nécessaire de combattre l’hypothermie (baisse de la température du corps) de la victime en la séchant, la recouvrant d’une couverture, et en poursuivant ce réchauffement jusqu’à un retour à la normale ;
- Il est indispensable de rassurer la victime souvent angoissée ;
- Il faut également la surveiller dans les heures qui suivent afin de déceler toute évolution de son état. De ce fait, ne la laisser jamais seule.
Pour éviter l’hydrocution
Quelques signes peuvent précéder l'hydrocution…Trop souvent ils sont négligés parce que peu importants et peu spécifiques. Ce sont : les maux de tête, les crampes, l'angoisse... Devant l'apparition de l'un de ces signes, tout nageur doit se rapprocher du bord, et sortir de l'eau le plus rapidement possible.
· Entrez de manière progressive dans l'eau, particulièrement lorsque l'eau est froide et que vous vous êtes exposé au soleil ;
· Evitez les expositions au soleil trop prolongé ;
· Evitez de vous baigner après avoir bu de l'alcool en excès ou mangé un repas trop copieux.
3/En bateau
Lorsque vous vous baignez, veillez bien à ne pas dépasser les bouées de démarcation qui servent à délimiter les zones pour la navigation de celles pour les baigneurs. Si les embarcations telles que les pédalos ont le temps de vous voir, ce n'est pas toujours le cas des bateaux à moteur qui peuvent parfois aller très vite.
Si vous pratiquez une activité nautique que se soit du pédalo, de la glisse en bouée ou à ski nautique ou du nautisme, le port d’un gilet de sauvetage est obligatoire. En effet, en cas de chute dans l’eau la vitesse exercée et la hauteur du point de chute peuvent rendre la surface de l’eau plus résistante que du béton. Une chute d’un mètre soixante-dix (1m70, taille moyenne d’un adulte) à une vitesse de 50 km/h rend l’eau résistante à 1.2G. Pour les non experts cela équivaut à tomber du second étage d’un immeuble sur la terre.
Lorsque vous vous baignez, veillez bien à ne pas dépasser les bouées de démarcation qui servent à délimiter les zones pour la navigation de celles pour les baigneurs. Si les embarcations telles que les pédalos ont le temps de vous voir, ce n'est pas toujours le cas des bateaux à moteur qui peuvent parfois aller très vite.
Si vous pratiquez une activité nautique que se soit du pédalo, de la glisse en bouée ou à ski nautique ou du nautisme, le port d’un gilet de sauvetage est obligatoire. En effet, en cas de chute dans l’eau la vitesse exercée et la hauteur du point de chute peuvent rendre la surface de l’eau plus résistante que du béton. Une chute d’un mètre soixante-dix (1m70, taille moyenne d’un adulte) à une vitesse de 50 km/h rend l’eau résistante à 1.2G. Pour les non experts cela équivaut à tomber du second étage d’un immeuble sur la terre.
On peut prendre comme exemple notre coach favori qui a testé les joies de la bouée tractée voici son témoignage :
« J’ai profité d’un week end pour tester la bouée tirée par un bateau à moteur, c’est génial. On monte sur la bouée bien gonflée pour glisser sur l’eau. Elle est tractée par un bateau allant à 35 nœuds (soit 70km/h), Lors de la ballade, la mer commence à être mouvementée, de bonnes vagues se forment, sous l’effet du mistral, et me croyant suffisamment aguerri je ne porte pas de gilet…
Faute, grave faute car les vagues aidant, je perds l’équilibre alors que la bouée est hors de l’eau à environ 2m de la surface et atterri dans l’eau violemment ; heureusement les pieds devant ce qui permet de mieux pénétrer dans l’eau. Malgré tout, la chute me coupe la respiration, je sens le choc de la pénétration sur mes cuisses et je trouve le temps très très long entre le moment où je tombe de la bouée et le temps que le bateau arrive à mon secours. J’avoue il ne s’est pas passé plus d’1 minute mais pour moi ce fut une éternité. »
Si vous partez en bateau, n'oubliez jamais de vous munir d'une quantité suffisante d'eau potable en cas de dérive pour pallier à tout éventuel danger de déshydratation et partez toujours accompagné si cela est possible.
« J’ai profité d’un week end pour tester la bouée tirée par un bateau à moteur, c’est génial. On monte sur la bouée bien gonflée pour glisser sur l’eau. Elle est tractée par un bateau allant à 35 nœuds (soit 70km/h), Lors de la ballade, la mer commence à être mouvementée, de bonnes vagues se forment, sous l’effet du mistral, et me croyant suffisamment aguerri je ne porte pas de gilet…
Faute, grave faute car les vagues aidant, je perds l’équilibre alors que la bouée est hors de l’eau à environ 2m de la surface et atterri dans l’eau violemment ; heureusement les pieds devant ce qui permet de mieux pénétrer dans l’eau. Malgré tout, la chute me coupe la respiration, je sens le choc de la pénétration sur mes cuisses et je trouve le temps très très long entre le moment où je tombe de la bouée et le temps que le bateau arrive à mon secours. J’avoue il ne s’est pas passé plus d’1 minute mais pour moi ce fut une éternité. »
Si vous partez en bateau, n'oubliez jamais de vous munir d'une quantité suffisante d'eau potable en cas de dérive pour pallier à tout éventuel danger de déshydratation et partez toujours accompagné si cela est possible.
4/Les animaux marins
Les habitants de la mer peuvent parfois constituer un danger, même si c'est souvent bien malgré eux. Les principales intéressées sont les méduses et leurs tentacules vénéneuses qui peuvent causer des blessures douloureuses, voir parfois graves. Faire attention aux alertes des médias et prévoir des pommades, crèmes et autres contre les piqûres peut se révéler plus que judicieux.
Si en France les eaux ne sont pas suffisamment chaudes pour attirer les requins, attention si vous partez à l'étranger de vous renseigner sur les points de baignades et de plongée sous marine où vous pouvez vous trempez sans aucune crainte.
5/La mer et la plage
Si la mer a ses propres dangers comme nous l'avons vu, il faut également se méfier de la plage. Même sans aller dans l'eau, il existe en effet certains dangers au bord de la mer. Comme par exemple le soleil, auquel il vaut mieux ne pas s'exposer de 12h à 16h, sous peine de coups de soleil, voir parfois d'insolation. D'un autre côté, le sable cache aussi ses dangers (mégots, bouts de verres, seringues…). Mieux vaut donc choisir des plages entretenues si vous avez des enfants, pour être sûr qu'elles ont été nettoyées la veille.
6/Ecouter les médias pour éviter les dangers prévisibles
Aujourd'hui, on peut prévoir les tempêtes et donc partir à la mer quand elle est calme. Mais on vous donne également des indications sur le taux d'ensoleillement, celui de pollution, sur les embouteillages... Pour des vacances plus agréables, Internet, la radio et la télévision sont donc de bons moyens de prévoir au jour le jour les éventuelles difficultés d'une sortie à mer, utilisez les !
Les habitants de la mer peuvent parfois constituer un danger, même si c'est souvent bien malgré eux. Les principales intéressées sont les méduses et leurs tentacules vénéneuses qui peuvent causer des blessures douloureuses, voir parfois graves. Faire attention aux alertes des médias et prévoir des pommades, crèmes et autres contre les piqûres peut se révéler plus que judicieux.
Si en France les eaux ne sont pas suffisamment chaudes pour attirer les requins, attention si vous partez à l'étranger de vous renseigner sur les points de baignades et de plongée sous marine où vous pouvez vous trempez sans aucune crainte.
5/La mer et la plage
Si la mer a ses propres dangers comme nous l'avons vu, il faut également se méfier de la plage. Même sans aller dans l'eau, il existe en effet certains dangers au bord de la mer. Comme par exemple le soleil, auquel il vaut mieux ne pas s'exposer de 12h à 16h, sous peine de coups de soleil, voir parfois d'insolation. D'un autre côté, le sable cache aussi ses dangers (mégots, bouts de verres, seringues…). Mieux vaut donc choisir des plages entretenues si vous avez des enfants, pour être sûr qu'elles ont été nettoyées la veille.
6/Ecouter les médias pour éviter les dangers prévisibles
Aujourd'hui, on peut prévoir les tempêtes et donc partir à la mer quand elle est calme. Mais on vous donne également des indications sur le taux d'ensoleillement, celui de pollution, sur les embouteillages... Pour des vacances plus agréables, Internet, la radio et la télévision sont donc de bons moyens de prévoir au jour le jour les éventuelles difficultés d'une sortie à mer, utilisez les !
Article rédigé par Frédéric
Pour me contacter : manager@gregory-capra.com
le danger est partout quoi que l'on face .
RépondreSupprimerToujours respecter les consignes de sécurité même si on s'y sent en sécurité et que cel nous ennuie. Un petit truc peut nous sauver la vie
RépondreSupprimerLAURE