dimanche 21 août 2011
Bootcamp Capra Paris - Maximal
Thomas : Retour en Normandie
Me voici de retour après 15 jours de vacances en Espagne (Lloret de Mar). Soleil, chaleur, grosses soirées... mais également maintien de l'entraînement... eh oui, on se doit d'être toujours au top pour représenter le team, ...Tout y était réuni pour revenir motivé à 200% afin d'aider un maximum de personnes à se sentir mieux dans leur corps et dans leur tête.
On y va à fond, sur la région de Caen et Deauville ! Le coach du Team Capra bas normand is back !!!
Thomas - Caen & Deauville - Coach Capra
Le nombre de sportifs et de coaches de mon équipe qui sont partis cet été en Espagne, c'est incroyable, à croire qu'ils se sont transmis le message !
Pour contacter Thomas : manager@gregory-capra.com
Massage énergétique avec Grégory Capra
Après sa formation et s’être fait la main sur les gens du Sud, Grégory voulait s’attaquer aux parisiens (dont je fais partie). C’est donc ce vendredi 19 août que j’ai eu l’occasion de retrouver Greg (qui, comme à son habitude, est arrivé toujours avec la banane) dans l’espace détente du club de sport où il donne aussi ses cours de musculation (et oui ..... nous les parisiens .... nous n’avons pas le droit à une belle salle comme celle de l’Isle sur Sorgue).
Ce que j’aime chez Greg ..... c’est qu’il est toujours à fond dans ce qu’il fait, toujours à l’écoute de ses clients (pour qui il ferait n’importe quoi) .... mais qu'il sait prendre le temps de se mettre sur «off» pour prodiguer ses massages.
Après les questions d’usage, Greg commence son massage alors que je suis installé sur le dos. Contrairement à certains qui se sont endormis pendant le massage ..... nous avons tout de même pas mal discutés pendant cette séance (mais bon c’est aussi un peu de ma faute .... nous avions tellement de choses à nous raconter). Je peux témoigner (pour ceux qui connaissent le débit de parole de Greg - typique du Sud) qu’en mode «off» Greg sait chuchoter ... si si j’vous jure !
Ce qui est impressionnant, c’est l’énergie que dégage Greg pendant son massage assez tonique et très appuyé surtout au niveau des trapèzes (comme je le voulais).
Comme quoi ..... même en mode «off» ..... Greg a toujours au fond de lui cette «boule d’énergie» qu’il nous transmet de façon positive.
En tout cas .... Greg a «encore une fois» réussi à atteindre son objectif ...... en arrivant à réduire la tension que j’ai au niveau des trapèzes ..... mais je peux vous dire qu’il a dû lutter ..... et oui, même si je ne suis pas un sportif dans l’âme ..... j’ai réussi à lui résister et même à l’impressionner ...... comme quoi !!!!! (mais je lui laisserai le soin de commenter ce passage…).
Témoignage de Sébastien
Pour me contacter : manager@gregory-capra.com
samedi 20 août 2011
L'entraînement de Jason Momoa pour "Conan le Barbare"
L'avenir nous dira si Jason Momoa deviendra, un jour, gouverneur de Californie...
Si vous voulez un entraînement combat ou crossfit, je suis là : manager@gregory-capra.com
Mathieu : Défi course à pied autour de la France
Pour me contacter : manager@gregory-capra.com
vendredi 19 août 2011
Sofiane : un sportif Capra en vacances
Pour contacter Sofiane : manager@gregory-capra.com
Le trapèze fixe ou volant, du fitness à sensations fortes
Kevin Fortin vous présente une discipline sportive complète et un type de fitness aérien accessible à tous les amateurs de sport original. Étant en fait une forme de fitness acrobatique, il constitue également une activité idéale pour ceux qui apprécient les sports qui priment la grâce. Se retrouver en hauteur dans les airs est avant tout tonifiant pour le corps. Par ailleurs, tout en musclant notre corps, cette forme de fitness garantit des moments euphoriques, à chaque nouvelle posture qui est adoptée. Les exercices, qui sont ici des acrobaties, sont exécutés selon les capacités de chacun. On se lance ?
C’est un sport qui s’adapte aux goûts de ces pratiquants. Trapèze fixe ou volant ? La différence ? Le trapèze fixe est à 3 mètres du sol soutenu par deux montants métalliques fixés à terre et au plafond. Il ne se balance pas. Le trapèze volant, lui, est à 7m20 du sol, suspendu à une structure métallique, il se balance. A vous de voir et de choisir. Vous êtes sportif/sportive, vos abdominaux sont solides et vous aimez sentir votre corps travailler, optez pour le fixe. Vous êtes tonique, à la recherche de sensations fortes et vous vous abandonnez sans retenue, alors le trapèze volant est fait pour vous…
Le trapèze qu’il soit fixe ou volant peut se concevoir comme un sport et un art.
Le trapèze volant s’effectue à une hauteur moyenne de 7 mètres du sol. Les supports d’entraînement utilisés sont des structures en métal comparables à celles que les professionnels du cirque utilisent. Cette activité est totalement sécurisante lorsqu’on se fie à des professeurs trapézistes spécialisés dans le domaine. Les pratiquants sont attachés à des harnais ainsi qu’à des sangles de sécurité. Une fois équipé, il ne reste plus qu’à sauter dans les airs pour s’adonner à une séance d’entraînement.
Types d’exercices de trapèze volant
Il existe plusieurs types d’acrobaties. Parmi les plus accessibles : le cochon pendu, le ballant, le salto-arrière et le catch. Le cochon pendu est la figure la plus simple à exécuter pour un débutant. En gros, une jambe est accrochée à la barre, l’autre étirée et les mains étendues pour augmenter cette sensation de voler dans les airs. Le bassin doit être complètement détendu, tandis que le dos sera arqué. Rappelons que le principe de ce type de fitness aérien est basé sur l’écoute du coach sportif et non sur la force du sujet. En se laissant guider par le professeur, les mouvements s’exécutent naturellement. Le trapèze volant étant un sport entier, il permet de muscler l’ensemble du corps : buste, jambes, cuisses, bras et abdominaux sont particulièrement sollicités. Le trapèze fixe, variante du trapèze volant, conviendra à ceux qui souhaitent travailler plus spécialement leur gaine abdominale. Très exigeant pour les bras et les épaules ce sport ne s’adresse pas à tout le monde.
La pratique du trapèze est encore peu répandue et peu connue au Québec, mais elle se développe depuis quelques années. Plusieurs endroits en France proposent maintenant des cours pour débutants. « Les cours se donnent en groupe, mais c’est en réalité du coaching personnel, car chaque personne va à son rythme. Les gens deviennent accros, ils ont l’impression de voler », explique Patrick Malley. La plupart des gens qui s’adonnent au trapèze le font pour décrocher, sortir de leur quotidien. D’autres ont un attrait pour les sports extrêmes, et aiment se dépasser et avoir des sensations fortes. De nombreux adeptes sont des professionnels qui l’utilisent comme exutoire. D’autres personnes utilisent cette activité pour combattre leur peur des hauteurs. Évidemment, je la déconseille aux personnes qui souffrent vraiment du vertige.
Avant de s’inscrire à des cours, c’est une bonne idée d’aller visiter l’endroit en question et de s’informer des conditions de sécurité. « Les participants sont toujours attachés à un système de sécurité dès qu’ils sont dans les airs, et on utilise aussi des longes de sécurité pour les suivre; c’est très sécuritaire », explique Patrick Malley. « Au départ, les gens ne sont pas très haut dans les airs; nous utilisons alors un trapèze fixe et nous installons également des matelas par terre. Le professeur est toujours proche et aidé d’un assistant ». Le professeur doit être capable de suivre les gens et de les faire évoluer selon leurs capacités et leur niveau. « Il faut voir la limitation de la personne et sa forme physique de base ».
II/ Le trapèze , tout un art
Volons dans les airs, prenons un peu de hauteur avec le duo Melt, trapézistes…comme ceux qui ont dû faire rêver les jeunes adeptes de cirques et autres pistes aux étoiles.
Pour se faire, j’ai l’honneur de vous présenter Guillaume Blais, 27 ans, canadien artiste de cirque et Céline Masson, 32 ans, française, coach en cirque et artiste.
KF « Bonjour à vous deux, avant tous, présentez-nous votre sport . Depuis quand le pratiquez-vous ? A quel âge avez-vous commencé ? »
GB « J’ai commencé à pratiquer le trapèze à l’âge de 21 ans. J’ai développé mon intérêt pour le cirque lorsque je travaillais au Cirque du Soleil à l’époque comme coiffeur. J’ai donc décidé de me réorienter pour une carrière plus artistique. C’est à ce moment que j’ai fais une audition dans une école de cirque à Montréal et que j’ai été accepté pour m’amener à un niveau professionnel. »
CM « Je pratique depuis un bout de temps mais de manière régulière et professionnelle depuis 6 ans. J’ai commencé à l’âge de 6 ans en France dans des cours récréatifs. »
KF « D’où provient ce sport ? »
GB « Pour ce qui est de la provenance, j’en ai vraiment aucune idée. Tout ce que je sais est que le grand volant a été inventé par un Français vers la fin du 19e siècle, Jules Léotard. ET si je ne me trompe pas c’est aussi la provenance du nom du vêtement le « Léotard », utilisé souvent au trapèze. »
CM « Pour moi ce n’est pas un sport, c’est une discipline artistique et je trouve ça réducteur de classer les arts du cirque dans la catégorie sport. Pour moi la différence c’est l’art et le message que l’on fait passer qui compte et pas uniquement la performance physique. Pour ce qui est de la provenance, comme l’a dit Guillaume c'est d’abord le grand volant qui est apparu pour ce qui est du trapèze fixe je ne sais pas. »
KF « Savez-vous comment le trapèze fixe est-il né en France en tant que sport de fitness ? Comment est-il sorti du milieu du cirque ? »
GB & CM « Nous vivons au Canada donc pour ce qui est de la France je ne sais pas. Par contre au Canada le Cirque du Soleil, en partenariat avec Rebook, a développé il y pas si longtemps un genre de fitness sur trapèze et ça s’appelle Jukari. »
KF « Comment se déroule une séance ?
CM « Si c’est une séance de fitness je ne sais pas, je n’ai jamais essayé. Par contre lorsque j’enseigne à l’école de cirque aux adultes récréatif, l’échauffement dure environ 30min et le reste du cours dure 1h30 donc après tout dépend de l’endurance de la personne, elle peut rester tout ce temps sur l’appareil ou prendre des pauses mais en général quand on débute, c’est pas de mal de souffrance surtout pour les mains. »
KF « A qui s’adresse ce sport ? »
CM « Pour ce qui est des cours récréatifs, à tout le monde car ceux qui veulent vraiment passe au-delà du reste. »
KF « A partir de quel âge peut-on commencer et jusqu’à quel âge peut-on le pratiquer ? »
CM « On peut commencer en général vers 6 ans et on peut pratiquer longtemps si on prend soin de son corps en tant que professionnel et tant récréatif tout dépend de la forme physique de la personne mais en général je dirais jusqu’à la cinquantaine. »
KF « Et quelles conditions physiques requises ? Y-a-t-il un niveau sportif à avoir ? »
GB « Une tolérance à la souffrance, être fort surtout du haut du corps, de bons abdos et de la souplesse. Pour le niveau tout dépend de ce qu’on veut faire. »
KF « Comment en vient-on à vouloir pratiquer ce sport ? »
CM « Comme pour moi ce n’est pas un sport je pense que les gens viennent essayer le trapèze car il ont vu un show et veulent aussi essayer ou c’est simplement réaliser un rêve. Le rêve le plus vieux de l’homme, celui de voler comme Icare. »
KF « Quelles sensations cela procure-t-il ?
GB et CM « Les sensations en tant qu’artiste sont multiples mais ce qui prime c’est le plaisir et l’adrénaline, c’est comme une drogue »
KF « A quelle hauteur commence t-on en débutant et au final quand on est bon ( j’ai cru lire 7 mètres ). »
GB et CM « En fait il n’y a pas vraiment de hauteur débutant ou bon tout dépend de ce que l’on pratique et au final dans les shows tout dépend de la hauteur du plafond. »
KF « Quelle tenue est la plus adaptée ( jogging…short…) ? »
CM « Le plus adapté pour l’entraînement, c’est des vêtements près de corps, genre leggings et débardeur »
KF « Y-a-t-il une morphologie adéquate ? »
GB et CM « Non ! »
KF « Existe-t-il différents types de trapèzes ? »
GB « Oui: Trapèze fixe duo, solo, trio, quatuor; trapèze ballant solo, duo; trapèze danse duo, solo; trapèze Washington solo, duo; petit volant et grand volant. »
KF « Vivez-vous de ce sport lors par exemple de démonstration ? »
GB et CM « Nous sommes pas des sportifs même si le rythme de vie s’apparente bien souvent à celui de sportif de haut niveau mais bien des artistes car notre but et de faire rêver et de faire oublier l’espace d’un instant que l’apesanteur existe. »
KF « Pensez-vous à une reconversion » « Quel est votre but ultime ? »
CM « Bien sûr puisqu’il est difficile de tenir jusqu’à la cinquantaine même si cela arrive pour certain. Le plus simple pour les artistes de cirque c’est de coacher ou de devenir directeur artistique ou de monter sa compagnie ou d’ouvrir son école mais dans tous les cas de rester dans le domaine du cirque et ou du spectacle. »
GB « Vivre que de mon art et le plus longtemps possible! »
Pour ce qui est du jukari, je vous laisse vous renseigner pour savoir ce qui l’en retourne de cette nouvelle forme d’aérobic « aérien » inventé donc en effet en collaboration avec Rebook et le Cirque du Soleil.
En ce qui concerne le trapèze ( fixe ou volant ), en tant que sport, je n’ai qu’une chose à vous dire : si vous aimez frissonner et avoir votre dose d’adrénaline tout en faisant une séance de muscu peu ordinaire, alors n’hésitez plus et faites vous plaisir, envoyez-vous en l’air !
Article rédigé par Kevin Fortin
jeudi 18 août 2011
Un sujet aux poils !
L’été, la plage, la piscine, les chemises ouvertes, les tee-shirts col V et les torses nu nous montrent quoi ?
Des torses avec une pilosité variée, allant de la touffe de bison au duvet et au glabre. Une peau lisse de bébé. En cette période estivale, pour certains, une question s’impose, laisser la toison ou la tondre ? Les hommes aussi sont partagés entre le désir d’une pilosité abondante – signe extérieur de virilité – et un corps glabre, musclé façon gladiateur. Comme souvent, les modes et tendances sont influencés par le milieu gay, mais nous ne sommes plus forcément dans ces stéréotypes. Tous les modèles cohabitent chez tout le monde.
Kevin Fortin vous propose donc de vous faire une idée, dans cet article qui ne prend pas partie pour le clan des « pour » et celui des « contres ».
Les différences, qui s’estompent entre les hommes et les femmes en référence à l’égalité et à la parité, se déplacent de la scène socioculturelle, traditionnelle, pour se concentrer sur ce que j’appelle la « plastique identitaire ». La mise en forme, la mise en scène du corps avec des vêtements proches d’une seconde peau ou soucieux du bien-être multipostures et multifonctions apparaissent aujourd’hui fondamental. Le corps se montre d’autant plus nu ou derrière un vêtement – que je qualifie de « revêtement » ( intégré ou contestataire, normé ou créatif ) – qu’il signifie d’emblée la différence dans le sens du masculin ou du féminin, ou du mélange et de la confusion volontaire des genres. On peut aussi interprété dans ce même sens le rapport à la pilosité, qui rend compte et témoigne pour ces raisons de rapports à soi et aux autres très complexes.
L’homme des cavernes avait pour principal attribut masculin sa pilosité abondante, et à l’époque, on prend le pari que leurs compagnes en étaient satisfaites ! Mais en 2011, le Neandertal a déjà un peu moins la cote : beaucoup d’hommes aujourd’hui n’hésitent pas à sortir rasoir, cire et crème dépilatoire pour traquer le moindre poil. Pourtant, l’épilation masculine est loin de faire l’unanimité. Bien que l’épilation masculine se soit démocratisée ces dernières années, certaines femmes sont encore adeptes de l’homme velu. Et malgré les idées reçues, « ce n’est pas sale ».
1/ Explications
Vers les années 70, les poils chez les hommes étaient signe de virilité. On les exhibait, on les montrait et ça ne serait venu a l’idée de qui que ce soit d’en couper un seul, autre qu’un de barbe ou de moustache. Quand on était un homme, un vrai, on était poilu, et le plus possible. Cependant, depuis peu, des hommes ont commencé à s’épiler. Cette « mode », lancée par la communauté homosexuelle, et immédiatement reprise par les figures de la séduction masculine, est en train de se répandre. On rase, on épile, on arrache, on coupe, on passe au laser, toutes les méthodes sont bonnes pour se débarrasser des poils. La guerre est lancée !
Le pour : Eh oui, pour certains le pour n’existe pas, mais la jeune génération de femmes trouve en général plus séduisant un peau sans poils, un peau douce et « de bébé ». C’est plus doux, moins râpeux, ça sent moins, bref c’est super, et les hommes l’ont bien compris. Enfin certains.
Le contre : Eh oui, à chaque bonne chose ses mauvais cotés ! Dans les inconvénients, on a le fait qu’une peau sans poils conduit beaucoup moins bien les sensations, et on devient inéluctablement moins sensible aux caresses, le sens du toucher en général est engourdi. Certains hommes trouvent que ça fait « tapette », qu’on est pas un homme si on s’épile, etc... et ne s’épileraient pour rien au monde. Et puis ça prend du temps, parce que si on épile à la pince, c’est long, si c’est rasoir, c’est rapide mais il faut administrer tous les soins à la peau si on ne veut pas qu’elle tire. Et des poils rasés qui repoussent, il faut le dire c’est laid.
2/ Au cours de l’histoire
Les poils font partie intégrante de l’humain. Ils ont depuis longtemps posé question et sont le vestige de notre vie archaïque, du temps où l’Homme préhistorique, qui vivait nu, possédait sa propre protection pour supporter le froid. Les poils ont rarement été un critère de beauté. Il n’y a qu’à voir les peintures des siècles derniers où les personnages sont représentés sans poils. Mais les poils sont aussi une affaire de culture. Et oui ! Il existe des pays où les poils ont la cote, et d’autres où ils sont tabous.
Depuis les années 90, l’épilation est à la mode. Qu’elle soit d’ordre religieux, esthétique, érotique ou hygiénique, l’épilation, pratique universelle, est devenue une coutume courante. Mais pourquoi cette chasse au poils ?
Les exemples au cours de l’Histoire ne manquent pas pour montrer que la chasse aux poils est ancienne. Il semble que l’épilation soit d’origine égyptienne. En 1150 avant notre ère, les femmes du harem de Ramsès III étaient toutes épilées particulièrement au niveau des aisselles. Bien avant notre ère, les Chinoises s’arrachaient les sourcils pour les remplacer par un trait de crayon noir jugé plus gracieux. Les jeunes hommes de la bourgeoisie romaine aimaient avoir les jambes glabres, certains s’épilaient toutes les parties du corps. Les techniques en usage étaient la coquille de noix incandescente, pour que les poils repoussent plus doux ou l’utilisation de la résine. Ces techniques ont évolué au cours du temps et, au moyen âge, les croisés ont rapporté d’Afrique une cire naturelle qui bouleversa les pratiques et fit naître d’autres techniques. Les concoctions à base de sulfure naturel d’arsenic et de chaux vive, le sang de grenouilles ou de chauve-souris, la pince de bronze ou de la cendre mouillée de vinaigre font partie des moyens utilisés au cours de l’Histoire pour empêcher la repousse.
3/ Un poil, c’est quoi ?
On les traque, on les épile. Mais alors, que sont les poils, en quoi nous servent – ils ?
Les poils sont des phanères se présentant sous l’aspect de filaments cornés implantés obliquement dans le derme par invagination de l’épiderme. Les poils se composent donc d’une tige libre à la surface de la peau, ou poil proprement dit, et d’une partie invisible enchâssée dans le derme, la racine, dont l’extrémité en cupule (le bulbe) reçoit la papille vasculaire nourricière.
Le poil comporte des annexes : une glande sébacée, l’ensemble formant l’appareil pilo-sébacé ; le muscle érecteur, dont la contraction, sous l'influence du froid, d’une émotion, est à l’origine du phénomène de la "chair de poule". Grâce aux réseaux nerveux ramifiés entourant les follicules pileux, les poils participent aux sensations tactiles. Mais le rôle des poils ne se limite pas par là, ci-après sont énumère d’autres rôles.
Le refroidissement du corps : Ce n’est pas pour rien qu’aux endroits du corps les moins exposés à l’air, soit aux aisselles et à l’aine, se retrouve la plus forte densité de poils. Ceux-ci conservent plus longtemps la sueur pour permettre un refroidissement plus efficace. Les poils jouent le même rôle qu’un T-shirt pendant une canicule l’été. En absorbant la sueur, il ralentit l’évaporation et prévient ainsi la déshydratation.
La protection : Les poils protègent les parties génitales de la femme contre les coups et les irritations dus aux frottements. Les poils sur les jambes et les bras protègent aussi contre les irritations dues au frottement des vêtements.
La sensibilité : Les poils font partie intégrante du sens du toucher, ils ont des récepteurs tactiles adaptés à la douleur. Ainsi, c’est eux qui détectent la chaleur intense d’un objet en premier et déclenchent le réflexe de recul. Il vous est sûrement arrivé de brûler vos poils avec une allumette sans que votre peau ne le soit.
Comme les poils réagissent au froid avec leur muscle érecteur causant la chair de poule, ils sont sensibles aux variations de température. Ils jouent un rôle de thermomètre avertisseur du système nerveux autonome. Ils détectent plus rapidement et de manière plus précise le changement de température. Ces informations sont essentielles pour permettre au corps de réagir le plus rapidement possible à une variation brusque de la température pour maintenir sa température constante.
S’il fait très chaud le corps baisse son tonus musculaire, augmente le débit de la circulation sanguine aux extrémités et les glandes sudoripares font évaporer de l’eau. S’il fait froid, le corps augmente son tonus musculaire, provocant le frisson qui produit de la chaleur, la circulation sanguine diminue aux extrémités et les graisses sont utilisées pour produire de la chaleur.
La douceur de la peau : Comme chaque poil est relié à une glande sébacée, il sert à faire écouler l’huile vers la surface de la peau et à l’étendre. En effet, le muscle lisse, le muscle arrecteur du poil (M. arrector pili) qui se termine en dessous de l’épiderme. Il peut redresser le poil (horripilation « chaire de poule ») et comprimer la glande sébacée.
Les glandes sébacées, sécrètent le sébum (l’huile) qui lubrifie et assouplit la peau. C’est ce qui permet d’émollier la peau et ainsi obtenir une peau douce au toucher.
4/ Quelques témoignages
Pour terminer, je vous propose de voir les réactions que j’ai recueillis pour vous à la simple question « pour ou contre les torses poilus ? (Idem pour épaule et dos, cela afin de faire le tour de tout ou presque le haut du corps)
- Jean-Marc ( 37 ans ) « Pour, ca fait masculin »
- Gwenaëlle ( 27 ans ) « Contre ! C’est disgracieux, pas agréable à toucher et ca donne pas envie de poser sa tête sur le torse de son copain quand il y a trop de poils . »
- Julie ( 20 ans )« Contre. Pourquoi, même chose que Gwenaëlle, et je rajouterais pas de bisous non plus pour le dos et les épaules contre aussi pour les mêmes raisons »
- Nicolas ( 34 ans ) « Tout est histoire de goût ! perso, un dos et des épaules velues ne m’attirent pas du tout. En général, l’individu pourvu de cette pilosité aura forcement une belle peau de lapin sur le torse ! Etant adepte de l’épilation masculine, je vote naturellement contre, enfin ca sera fonction de la caractéristique du poil… »
- Djibril ( 24 ans )« Contre ! ! ! ! ! J’aime les peaux lisses, comme un bébé »
- Jeff-Marco ( 54 ans ) « Tout dépend du physique, de l’épaisseur…moi j’aime bien un peu mais dès que ca devient genre grizzly, beurk ! »
- Anaïs ( 25 ans ) « Moi je dis qu’un homme qui prend soin de lui c’est agréable ! Couper ou tondre des poils un peu trop présents ( sans forcement épiler ) c’est déjà bien. Et beaucoup de mes copines pensent pareillement. »
- Stéphane ( 30 ans ) « Etant moi même poilu, il ne faut pas que les poils soient trop longs…leur donner un coup de tondeuse de temps en temps »
- William ( 33 ans ) « Alors grande question. Moi, ma préférence va aux mecs poilus, étant déjà poilu. Mais je trouve beaucoup plus sexy qu’un torse imberbe même raser ou épiler. Dire qu’il y en a qui se torture pour ça ! Sinon après en ce qui concerne les autres zones, ben ca dépend. Si c’est grizzly ou juste un duvet. Puis on a moins froid avec »
- Alexis ( 20 ans )« Bah moi qui le suis, je complexe par rapport à ceux qui n’en n’ont pas. Je voudrais être glabre. Donc je suis contre ! »
- Maxandre ( 26 ans ) « Avec ou sans, cela ne me dérange pas. Le tout est que cela ne fasse pas singe »
- Marie-Christine ( 50 ans ) « Dos et épaules, contre. Torse par principe contre mais après, chez certains ça ne me gène pas. Si le mec est assez baraqué, s’il le porte bien, OK. Mais attention, pas une jungle non plus »
- Nicolas B. ( 29 ans ) « Dos et épaules, contre. Après, un mec qui a un torse poilu, ca dépend. Certains le portent bien et d’autres non »
Cette chasse au poils ou le refus de faire quoique se soit prouve bien la difficulté de certains hommes à se trouver dans cette société. Les hommes sont malmenés. Le modèle traditionnel s’est effondré, son système de valeurs ne correspondait plus au goût du jour. Et leur identité a volé en éclat. Au bord du gouffre, les médias les sommes de « cultiver leur part de féminité », et ils ne s’y retrouvent plus . Les hommes naviguent en aveugle.
Aujourd’hui, ils se transforment et accomplissent même un travail de complète réinvention, sous le regard de la société et de leur compagne. Bien loin de clichés qui les voudraient soit hyper féminisés ou qui les annonceraient en grande fanfare et tambours au retour du macho.
Cette nouvelle façon d’être « viril » doit intégrer des valeurs féminines sans pour autant renoncer aux fondements du masculin. Il faut à la fois retrouver une différence tout en étant complémentaire à la gente féminine. On peut être masculin, épiler ou raser, sans être macho. Aux hommes de relever le défi.
Article rédigé par Kevin Fortin
Pour me contacter : manager@gregory-capra.com
Jérôme : Triathlon du lac des Settons 2011
Au final, Jérôme fait une très bonne performance en natation, il sort 22ème de l'eau en 21mn 11 sec pour 1500 m. En vélo, il roule bien, même si ce n'est pas son fort. En course à pied, il boucle les 10 km en 37 mn 56 sec. Il améliore bien ses temps et termine 56ème sur 300 participants en 2 h 32 mn 30 sec.
mercredi 17 août 2011
Le beach volley : un jeu de ballon qui se pratique en mode bronzing, musculation et réseau amical…
Si le beach volley fait tant d’adeptes sur les plages, c’est parce que c’est le jeu de ballon idéal pour s’occuper sainement, en tonifiant tout l’organisme et en se modelant des fesses de Vénus ou d’Apollon au passage, car mine de rien c’est hyper physique, tout en se faisant plein de potes sur la plage ou devant la mairie avec lesquels on se retrouve ensuite autour d’un verre.
Pourquoi aller taper quelques balles à Paris-Plages ?
Pour galber la silhouette
En volley, la balle ne doit jamais toucher le sol. On ne cesse de courir d’un bout à l’autre du terrain pour la rattraper, surtout en beach, où l'on n’est que deux à couvrir la moitié de la surface de jeu. La dépense physique est par conséquent importante et constante.
Des jambes sculptées
D’autre part, sur le sable, les appuis changent : ce sont les muscles profonds, d’ordinaire peu sollicités, qui travaillent. Résultat : les jambes se musclent en longueur, le retour veineux s’améliore, l’effet peau d’orange s’estompe.
Enfin, comme en volley-ball classique, la plupart des gestes se font en détente (sauts, fléchissements…) ce qui développe harmonieusement l’ensemble de la musculature, des pieds jusqu’au bout des doigts.
Pour développer sa coordination
Sur un terrain de beach, il faut être capable de se déplacer dans tous les sens (devant, derrière, sur les côtés), de sauter, de se baisser et de plonger.
Dans un même temps, il faut savoir frapper la balle, soit pour la réceptionner, soit pour la passer, soit pour faire une attaque. Le tout, en gardant toujours un œil sur les adversaires et sur la balle qui ne cessent eux-mêmes d’évoluer. Réflexes, concentration et coordination sont de rigueur. Une minute d’inattention et le point est perdu !
Pour remuer ses méninges
Sport d’adresse et de coordination, le beach-volley est aussi une discipline très tactique, où le mental et l’intellect priment. Pour gagner, il ne suffit pas d’être bon physiquement, il faut mettre en œuvre tous les moyens pour déjouer les attaques des adversaires et à son tour feinter pour les piéger.
Mettre en oeuvre une stratégie
C’est la raison pour laquelle l’entente avec le partenaire est primordiale. La stratégie doit être élaborée d’un commun accord et, dans la mesure où, contrairement au volley indoor (6 joueurs), le beach ne se joue qu’à deux, il faut compter sur l’union des efforts pour réussir. Ici, pas question de rester sur le carreau !
Pour s'amuser
Au volley, chaque geste et chaque point comptent, il y a un véritable enjeu. Pas le temps de souffrir ou de s’ennuyer ! Dans la mesure où il y a un roulement au niveau des placements (passeur/serveur), les rôles changent régulièrement, ce qui évite aussi la monotonie.
Activité d’été par excellence, le beach volley est présent sur presque toutes les plages – et même en ville ! - dans un esprit très bon enfant. Il suffit de tracer un terrain sur le sable, de monter le filet, de trouver un ballon et le tour est joué ! La plupart du temps pratiqué de façon informelle, il tend les bras à tous les volontaires, débutants et confirmés. On a toujours besoin de quelqu’un pour compléter une équipe : c’est idéal pour se faire des amis… et plus si affinités !
Pour bronzer uniformément
Contrairement au volley indoor, le beach volley se pratique en plein air, au soleil, et en maillot. Il n’y a rien de tel pour se faire un bronzage sublime côté pile comme côté face.
Crème solaire indispensable !
Cependant, comme le vent, en rafraîchissant l’atmosphère, est trompeur, il ne faut surtout pas oublier de s’hydrater, de porter des lunettes de soleil couvrantes, et de se tartiner de crème solaire à fort indice de protection, en insistant sur les épaules, le nez, le buste et les oreilles. Sinon, brûlures garanties !
Dès demain, je m'y mets...
Pour jouer avec moi : manager@gregory-capra.com
Un massage avec Grégory Capra à l'Isle-sur-Sorgue
Je n’avais pas encore rencontré Greg. Je l’avais eu à plusieurs reprises au téléphone pour définir mon programme de coaching (si, je fais du sport !), toujours disponible, un rien farceur, bref un contact toujours des plus agréables.
Je me décide à prendre rendez-vous pour un massage (il faut dire que nous sommes assez près géographiquement), d’une part pour enfin le connaître, d’autre part pour tester ses talents de masseur et me détendre avant un gros week-end de travail.
Il m’accueille avec un beau sourire, et m’invite à m’installer sur la table de massage de l’institut, impeccable, où il officie.
Lumière tamisée, musique relaxante, et je vais, une heure durant, me laisser faire. Nous parlons beaucoup au début (c’est ça les gens du Sud !) mais peu à peu les effets du massage m’apaisent. Je finirai même par m’endormir quelques minutes … moi qui ai du mal à lâcher prise même dans ces moments. Un massage tonique, appuyé mais juste ce qu’il faut pour en ressentir les effets. Merci Greg, je reviendrai.
Allez-y avant qu’une star américaine ne le réserve à temps complet !
Témoignage rédigé par Thierry - 47 ans - Saint-Laurent-d'Aigouze (Gard)
Prendre un rendez-vous pour un massage : manager@gregory-capra.com
Peut-on faire du sport en cas de pic de pollution ?
1. Quels sont les effets de la pollution ?
Les principaux effets s'exercent sur l'appareil respiratoire. Ozone, dioxyde d'azote, dioxyde de soufre… sont des gaz agressifs pour les muqueuses respiratoires car ils atteignent facilement la périphérie de l'arbre pulmonaire. En provoquant une inflammation de la muqueuse bronchique, ils favorisent une hyperréactivité bronchique non spécifique, la sensibilité aux allergènes et aux infections virales.
2. Quelles sont les manifestations sur l'organisme ?
Le dioxyde de soufre provoque de la toux et des essoufflements. Il aggrave ainsi l'asthme et la bronchite chronique. L'ozone est connu pour induire des irritations oculaires, mais également une toux nuisible aux enfants et aux asthmatiques. Quant au dioxyde d'azote, il amplifie les symptômes de l'asthme et la sensibilité aux allergènes et aux infections. D’autres polluants sont fortement nocifs pour l’être humain à forte dose d’où un suivi journalier des qualités de l’air.
3. Sommes-nous tous égaux face à la pollution atmosphérique ?
Certaines personnes sont plus sensibles que d'autres. L'âge et l'état de santé jouent considérablement.
· Les enfants : leur appareil respiratoire étant immature, ils sont beaucoup plus sensibles que les adultes à la pollution. Il faut savoir que l'appareil respiratoire poursuit son développement jusqu'à l'âge de 8 ans.
· Les personnes âgées : leurs défenses respiratoires sont diminuées.
· Les sujets atteints de pathologies respiratoires (sinusite chronique, bronchite chronique, rhinite, asthme, insuffisance respiratoire chronique…) : leurs muqueuses respiratoires sont fragilisées.
· Les patients présentant des pathologies cardiovasculaires sont plus sensibles.
4. Le sport peut-il accroître les effets nocifs de la pollution ?
Oui, en cas de pratique intense ou soutenue car l'inhalation des polluants est beaucoup plus importante et profonde. Il faudra donc diminuer voir stopper la pratique sportive en cas de gêne ou qu’en on a connaissance de pic de pollution. Au delà du stade 2 une alerte relayée par les médias précise de ne plus pratiquer d’activité physique au risque de nuire à sa santé.
5. L'intensité de la pollution varie-t-elle durant la journée ?
Oui, notamment car la température et le vent influencent la pollution. Par exemple, le vent tend à disperser les polluants. En revanche, une température élevée empêche leur dispersion. La nuit, les couches d'air à proximité du sol se refroidissent tandis que les couches immédiatement supérieures restent plus chaudes. Ces dernières font barrage à la dispersion des particules toxiques, en formant une sorte de couvercle, le fameux smocks de Paris ou de Marseille. Ainsi, les fins de journées sont particulièrement polluées, alors que les matinées se caractérisent généralement par une meilleur qualité de l'air, surtout lorsqu'il y a du vent. Il sera donc préférable de faire notre sport entre 6 et 9heures du matin.
6. Quelles sont les heures à éviter ?
Les horaires qui correspondent aux pics de pollution se situent entre 9 et 21heures mais il est fortement déconseillé (proscrit pour toutes les catégories décrite en 3/) de faire du sport entre12-14 heures et entre 18 et 21heures.
7. Qu'en est-il du sport en salle ?
Appartements, maisons, bureaux, gymnases, salles de sport… n'échappent pas à la pollution. Si la qualité de l'air extérieur est correcte, une aération fréquente permet de diminuer considérablement les concentrations polluantes. En revanche, en cas de pic de pollution, il n'est pas plus sain de pratiquer un sport en salle, plutôt qu'à l'extérieur. Et même dans ces conditions, il est essentiel d'aérer quotidiennement afin de permettre le renouvellement nécessaire de l'air.
En conclusion
En cas de pics de pollution intense, la pratique sportive est déconseillée chez les enfants, les seniors, les personnes atteintes de pathologies respiratoires et cardiovasculaires. Il est recommandé aux adultes pratiquant un sport de façon irrégulière, de ne pas choisir les jours de très forte pollution, et aux sportifs réguliers d'exercer leur activité le matin, le plus tôt étant le mieux. Et bien entendu, évitez de courir à proximité d'un axe routier. Toujours prendre connaissance de la qualité de l air par diverses sources journaux, bulletin météo, presse écrite site de qualité de l’air ou de Météo France.
Article rédigé par Frédéric
Pour me contacter : manager@gregory-capra.com
mardi 16 août 2011
Bootcamp clandestin
Aujourd’hui, pas de « bootcamp » proposé par Grégory CAPRA. Nous avons donc fait la grève ! Sous l’impulsion de Vanessa, nous nous sommes quand même retrouvés à 10h30 (heure Vanessa) pour nous faire un « bootcamp » clandestin. Aux commandes, euh… Moi… Merci Vanessa… Et bien, je ne me suis pas dégonflé, et hop, j’ai entraîné la petite troupe dans le Parc de St Cloud. Au programme, cardio et abdo-fessiers (pour faire plaisir à Vanessa quand même un peu !).
Je leur propose donc de faire un bon footing en montant dans le parc par le chemin ayant un bon dénivelé. C’est parti ! Ca monte ça monte, attention, accrochez vos poumons !
Pas toujours facile de trouver son souffle dès le début dans une montée un peu … longue hein les gars ? Aller courage ! C’est bientôt fini !
En haut de ces différents lacets, il en manque pour faire les 21 de l’Alpe d’Huez, reposons un peu le rythme cardiaque et faisons quelques mouvements pour réveiller les bras et les triceps. Le principe est simple ; on descend en contrôlant le mouvement un max, et on remonte en dynamique. Ca peut chauffer assez vite finalement ! On fait des petites séries de 20 rep. Pour chauffer un peu les bras, au cas où il ferait un peu froid.
Je leur avais promis du cardio, place à un entrainement qui en général fait bien monter le rythme cardiaque, le fameux « fractionné ». Le principe est assez connu et je me suis servi de l’extrait d’un bootcamp fait avec romain qui utilise un petit circuit en pente. La descente est faite en récupération, et la montée est faite en allure rapide, voir sprint à la fin de cette dernière. On le fait 5 fois… Bon ok, on l’a fait 4 fois, Vanessa était partie pour le 5ième, mais je la soupçonne d’avoir fait comme moi… économiser pour gérer jusqu’au bout l’exercice.
Effet recherché atteint, les visages sont un peu rouges, transpiration apparente, donc je vais les laisser récupérer en marchant vite, puis reprise du footing, vers le prochain exercice… Il me faut un endroit ou s’allonger…
Terrain trouvé ! Après être passés par un petit chemin de traverse, nous nous arrêtons dans le petit parc pour enfant, car vous voyez, le terrain est sympa… pas trop dur, pas trop mouillé. Mais malgré tout, « sale » pour notre petit Barbie bootcampeuse !
Premier set de fessiers ; soulevé de jambes (20rep.), puis mouvement dynamique jambe tendue/genoux vers poitrine (20 rep.) et enfin genoux fléchis et on tend la jambe/on plie (20 rep.) et tout ça sans s’arrêter. On sent bien les fessiers hein ??? (spéciale dédicace à Nadine). Nous sommes prêt pour « Alcatraz », je crois Esté !
Nous passons à un travail sur les abdominaux.
Le travail est moins quantitatif qu’avec Romain ou Maxime. Mais je voulais que le geste soit appliqué et surtout pas douloureux. Je rappelle donc que la tête doit être reposée dans les mains qui la soutiennent (très important) et qu’à aucun moment, la tête ne conduit le mouvement de soulevé. Ce sont UNIQUEMENT les abdos qui concentrent l’essentiel du mouvement. Nous faisons donc soulevé de face (15 fois montée dynamique et descente contrôlée/lente), coude touche le genou opposé dont la cheville repose sur le genou correspondant au coude qui travaille… Ahhh vous avez suivi là ?? On alterne (15 rep. les 2 côtés) et pour terminer la séquence, soulevé de bassin jambes pliées, les genoux vont venir toucher la poitrine, mouvement toujours fait grâce aux abdominaux.
Tout cela enchaîné sans arrêt. Ce qui fait une séquence finale de 60 abdos ni vu, ni connu. Récupération de 1 minute comme ça, on en profite pour déconner et rigoler, et hop, on refait la séquence « fessiers »… Pendant la transition, nous parlons de choses et d’autres… De tentations, de soirées rigolotes, d’envies diverses et variées… Hum hum nous citons des noms de coachs, de clients… la température est susceptible de monter vous dites ??? Naaaaan !
Je leur ai ensuite proposé un autre exercice qui en général galbe assez bien les fessiers… une combinaison de 2 exercices inspirés de Maxime. Le 1er sera un relevé de jambe arrière en position de gainage, enchaîné par des cercles faits grâce aux muscles du fessier… Et on ne se trompe pas dans les comptes… Ok, pour éviter ça, chacun compte 5 tours de fessiers pour la peine !
Certains sont vraiment prêts pour une choré, là… Hum hum !
C’est alors que de temps en temps… Le corps parle et les positions de certains participants s’expriment d’elles même ! Hé hé ! Alloooo Vanessa ??? Un souci ? Elle en jette notre « Barbie Tomb Raider Vanessa », non ?
Bon, ce n’est pas le tout, mais on est venu pour bosser, alors, hop, on repart pour encore un petit footing qui nous ramènera à des étirements classiques… Euh, sauf un… qui rapproche toujours les gens. Je le tiens de mon trop court passage à l’école du cirque.
Un étirement qui sert aussi à travailler la souplesse… En binôme, le premier travaille stabilité et détente de la jambe et posant sa cheville sur l’épaule de son partenaire accroupi. Le coéquipier n’a qu’à se lever progressivement pour étirer les muscles, jusqu’à ce que le premier dise stop et ne puisse plus étirer, car parfois, ça peut faire mal, donc molo molo !!! Enfin, sauf pour certains… trop petit ???
Mais parfois… C’est pas si simple… Mine de rien, ca demande un peu de pratique !
Parfois, être coach, c’est pas facile facile, quand on a des cocos qui lèvent la jambe … à la française !!! Hey, les gars, tendez la jambe !!! Hey ! les gars, le dos, ne vous le brisez pas ! Tenez vous !!!
Evidemment… Notre petit RDV ne pouvait se terminer autrement que par la séance photo de groupe ! ! ! Merci les amis !
Article rédigé par Arnaud.
Julien - Marseille & Avignon - Masseur Capra
Fort de mon expérience professionnelle et ayant travaillé dans le domaine du sport, je profite de cette approche pluridisciplinaire pour apporter le meilleur de mes connaissances et une oreille attentive aux besoins et requêtes de chacun.
Comme cela est souvent le cas en kinésithérapie, une atmosphère douce, une main sécure, ainsi qu'une respiration calme sont la clef du bien-être.
Les massages proposés ne sont aucunement à visée thérapeutique mais simplement une porte ouverte sur la détente et le relâchement du corps et de l'esprit.
J'exerce le massage de confort à domicile afin d'évacuer le stress et les tensions du quotidien ou tout simplement dans un but d'évasion et de plaisir des sens.
Je me déplace avec une table de massage pliable, différentes huiles parfumées ainsi que de la musique douce.
Au cours de ma formation, j’ai exercé dans les plus grands établissements européens : 12 mois de stage de pratique clinique au CHU de Bordeaux, au HIA Val de Grâce à Paris, à Kiné Prado 24 Marseille, à la Clinica di Vercelli en Italie.
Spécialités
- Massage californien et suédois
- Massage tonifiant
Qualifications
- Diplôme d'Etat en physiothérapie (masso-kinésithérapie)
- Massage de confort.
Loisirs - divers
- VTT
- Football
- Chasse sous-marine
- Ski
lundi 15 août 2011
Grégory - Avignon & Arles - Coach Capra
Je pesais 60 kg tout mouillé, mais j’étais déjà tracé. Je ne pensais qu’à prendre de la masse et de la force… erreur de tout débutant ! Je ne faisais que manger, sans me préoccuper des calories ou de la qualité de la nutrition. Je suis donc monté à 100kg… Après mes études, j’ai eu un déclic, je me suis intéressé davantage à la diététique, aux différentes techniques d'entraînement, … J’ai donc commencé à pratiquer ces connaissances sur moi-même et je suis passé de 100 kg en masse à 85 kg bien « propre », en 6 mois de régime, en y allant progressivement.
Mes mensurations, aujourd’hui : entre 1m73 et 1m74 et 82 kg pour les compétitions de Body, un tour de bras entre 47 et 48 cm à froid… mon point fort, à ce qu’il paraît !
Je n’ai pas fait de prise de masse depuis 2 ans mais je compte en faire une après septembre, histoire de gagner un peu de viande surtout au niveau des cuisse et du dos !
Mon objectif est d’améliorer mon physique sur la symétrie surtout et la sèche.
Au niveau professionnel, j’espère ouvrir ma propre salle de remise en forme où j’aimerais, comme je le fais déjà dans les salles où j’interviens, apprendre au gens à bien s’entraîner, faire les mouvements, juste démontrer que la musculation ça ne sert pas qu’à gonfler, que ce n’est pas une pratique de bourrins, que ça permet de se sculpter un corps et d’être bien dans sa peau, aussi bien d’aspect que fonctionnel (pour le mal de dos etc), que tout le monde peut pratiquer, d’ailleurs j’ai de plus en plus de femmes qui se mettent aux machines car je les suis et je leur montre comment bien exécuter les mouvements, elles sentent les résultats et comprennent l’intérêt et les avantages du travail sur machines ou haltères et ne voient plus le cliché de « salle de bourrins ».
Expérience technique
Mes performances sont :
- au développé couché, en maxi, 200 kg
- au développé couché, en séries de 8 à 10 répétitions, 150 kg
- au squat, mon maxi, cul par terre, 240 kg
- au squat, en série, 160 kg sur 10 rep
- biceps 3 rep à 100 kilo et triceps idem généralement travail à la barre à 80 sur 6 rep et haltères 40 kg
J’attache une grande importance à l’exécution du mouvement (sauf quand je travaille en force) pour vraiment cibler le muscle que je veux travailler. J’ai beaucoup évolué donc dans ma façon de m’entraîner.
La diététique est une chose primordiale dans le body, je suis plus dans le style de vie et d’entraînement fitness US maintenant, en calculant tout ce que je mange aussi bien en apport de protéines, glucides et lipides. Je reste assez bas en lipides et même en glucides pour rester « propre » toute l’année, sauf en septembre prochain où je vais attaquer une prise de masse mais « propre » car on a tendance à manger trop d’hydrates et cela n'est pas nécessaire aussi bien pour l'entraînement que pour la ligne. « On est ce qu’on mange donc faut faire attention à notre nourriture », « si tu manges comme tout le monde, tu ressembleras à tout le monde », ce sont mes deux citations cultes !!!
Expérience pédagogique
J’ai passé un bac littéraire. Ensuite je me suis orienté vers STAPS, j’ai obtenu la Licence STAPS Education Motricité. Pour des raisons personnelles, je n’ai pas continué vers l’enseignement qui était mon objectif primaire. La musculation a commencé à prendre de plus en plus de place, j’ai voulu m’orienter vers la préparation physique, j’ai donc passé, en 2005, un BEES HA.CU.M.E.S.E. au CREPS d’Aix-en-Provence. Dès que je l’ai obtenu, j’ai commencé à bosser en salle.
Le body est devenu mon style de vie en fait c’est déjà mon métier, je suis coach sportif dans les environs d’Avignon, Arles et Nîmes (en fait sur une quarantaine de km autour d'Arles).
Spécialités
- Musculation/diététique, prise de masse musculaire, définition musculaire, programme pour perdre du poids,
- Renforcement musculaire,
- Préparation physique générale,
- Cardio-training,
- Stretching.
Qualifications
- Licence STAPS,
- BEES HA.CU.M.E.S.E (Haltérophilie, Culturisme, Musculation Educative, Sportive et d’Entretien),
- Formation à la méthode Grégory Capra,
- Formation en conseils alimentaires Grégory Capra.
Loisirs - divers
Mes passions dans ma vie sont bien sûr le « fitness way of life » : muscu, cardio, diet,… Je suis aussi un geek, j’adore toutes les nouvelles technologies, les belles voitures de sport, mais, surtout, mon principal intérêt, ma motivation, ma fierté est ma fille de 6 ans, Karla, qui est ma plus grande fan (lol) et qui me motive chaque jour bien que sa mère soit partie vivre en Suisse depuis l’année dernière et que donc je la vois moins ....