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lundi 1 août 2011
Bilan du mois de juillet 2011
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dimanche 31 juillet 2011
Prise de masse : les progrès de David
Séjour sportif : la pétanque
La pratique de la pétanque est inscrite dans les traditions de la Provence. Cette activité a évolué depuis plusieurs années pour devenir une réelle activité sportive, donnant lieu à des championnats internationaux.
En tant qu’activité de loisir, elle gagne à se vulgariser. La pétanque est une activité particulièrement ludique, qui réunit plusieurs générations, dans un contexte très convivial. La pétanque est souvent considérée comme un jeu. D’ailleurs, ne dit on pas « jouer à la pétanque » !
Les règles du jeu étant très simples, aucun apprentissage particulier n’est nécessaire pour prendre du plaisir.
Les dangers de la pétanque
La réussite d’un carreau peut projeter la boule vers un spectateur, votre partenaire ou votre adversaire. Attention à éloigner les enfants de l’aire de jeu.
La pétanque peut provoquer des douleurs de genoux lorsque l’on ramasse ses boules ou cochonnet, dans ce cas aidez vous d’un aimant au bout d’une corde cela ménagera vos articulations.
En plein soleil portez un chapeau ou casquette, lunettes de soleil et réhydratez vous.
La pratique de la pétanque présente finalement peu de dangers particuliers.
Les bienfaits
La dépense énergétique est mineure, mais l’impact sur les articulations est certain, en favorisant les mobilisations et l’entretien articulaire, le maintien d’un bon tonus musculaire et l’entraînement de l’équilibre.
S’y ajoutent une stimulation et un entretien des facultés cognitives et cérébrales, et une socialisation renforcée. Jouer à la pétanque encourage à moins vieillir.
Et n’oubliez pas de vous rendre au boulodrome à pied ! Et si vous vous laissez emporter par le jeu, la pratique se prolonge plusieurs heures. C’est autant de temps que vous ne passerez pas chez vous à ne rien faire.
Résumé
La pétanque permet de varier la pratique des activités physiques, avec un bénéfice articulaire indéniable associée à un partage de passion et de convivialité pour l’amélioration du bien être. C'est pour cela que j'ai décidé d'inscrire la pétanque au programme de mes séjours sportifs comme aujourd'hui avec Franck!
Pour réserver un prochain séjour sportif : manager@gregory-capra.com
Sèche 2011 : Samir... les abdos
- juin 2011 http://gregory-capra.blogspot.com/2011/06/seche-2011-samir-en-toute.html
samedi 30 juillet 2011
Enzo : bientôt des abdos parfaits !
Comment progresser aux tractions ?
Savoir faire des tractions est essentiel pour le développement d’un physique fort et harmonieux. C’est d’ailleurs l’un des critères d’entrée de nombreux métiers (armée, pompier, sports…). J’ai déjà accompagné de nombreux pompiers dans la réussite de leurs concours, sur la partie physique et, notamment, afin d’exploser leurs max aux tractions. C’est d’ailleurs sur ce point que je vais nous éclairer.
Est ce que les tractions en amplitude max sont traumatisantes pour les articulations ?
Quelque soit le mouvement on ne verrouille jamais une articulation :
· ça l’abîme
· ça génère un relâchement du muscle que l’on cherche à contracter (ici le dos) et donc on se retrouve, pendant la série, à alterner contraction-relâchement.
En conclusion, ce n’est ni efficace ni sécuritaire … mais certains concours cités plus-haut l’exigent pourtant !
Dans quelle mesure peut-on intégrer un programme de tractions au sein d’un programme de musculation traditionnelle. La musculation ne va-t-elle pas freiner la progression aux tractions ?
Si on veut progresser en dos, les tractions sont un super exercice et nécessitent une simple barre alors que tous les tirages requièrent une machine, bien souvent coûteuse.
Maintenant il est certain qu’une personne de 110kg aura moins de facilités à monter le poids de son corps qu’une personne de 60 kg. Toutefois, je connais des culturistes qui enchaînent beaucoup de tractions, alors arrêtons les excuses et au boulot
Il serait plus judicieux d’avoir un programme de tractions qui « s’imbrique » bien dans le reste des activités de la semaine (sportives ou professionnelles d’ailleurs car si vous avez un métier fatiguant, il faudra bien en tenir compte dans votre programmation sportive et votre diète).
Le travail lesté aux tractions est-il efficace pour améliorer son max ?
Oui, un travail en force est à mettre en place lorsque l’on veut augmenter le nombre de répétitions sans lest.
A l’époque où des vrais diplômes existaient (BE HA.CU.M.E.S.E), on a tous fait des séries lestées aux dips et aux tractions pour faire le minimum requis (20 tractions et 30 dips pour avoir 10/20 !!).
Est-il nécessaire de travailler avec différentes prises (supination/pronation) et différents écartements pour bien progresser aux tractions supination ou pronation écartement largeur d’épaules ?
Pas forcément nécessaire, si on doit passer un examen avec une certaine prise, mais intéressant oui.
Une prise serrée va développer le dos dans son épaisseur (et taper un peu dans les bras) alors qu’une prise large élargira plutôt le dos.
Que proposez à une personne qui souhaite progresser aux tractions ?
Il est très complexe de proposer quelque chose comme ça sans connaître le profil des personnes qui vont lire ce message.
Partons du postulat que j’ai face à moi une personne sportive sur le plan cardio (footing, VTT, etc) mais novice en musculation. Premièrement, je lui conseille de ne pas travailler que son dos ! L’équilibre des masses et le gainage du corps sont importants pour le corps, sa santé et pour être efficace sur un grand nombre d’exercices comme les tractions.
Si on est incapable de faire 8 répétitions en tractions, l’entraînement va devoir être très fourni en exercices de poulies hautes et basses + tractions assistées. Il serait idiot de s’obstiner à faire 1 ou 0 tractions 15 fois par séances, cela s’avérerait improductif.
Pour quelqu’un capable d’en faire au moins 10, on fera un échauffement en poulie haute (supination ou pronation, large ou serrée… il faudra choisir la même prise de main que les tractions à reproduire lors de l’examen à passer). Une fois les 4 séries (progressives en poids) faites, on va passer aux tractions. Une série de 6 lestée puis 2min 30 de récupération puis une série sans lest (max de répétitions possibles, 9-10 pour notre exemple) puis 1min30 de récupération puis 6 lestées jusqu’à faire 3 séries lourdes lestées + 3 séries au poids de corps.
L’entraînement pourra se poursuivre avec divers tirages avec barre ou poulie.
Vous l’aurez compris, ces éléments sont donnés à titre indicatif et ne peuvent être appliqués à tous. Une programmation tenant compte de votre niveau d’entraînement, âge, condition physique doit être établie pour bien progresser.
Pour toute information supplémentaire, n’hésitez pas à me contacter en direct : manager@gregory-capra.com
Bon sport et à très bientôt !!
Alexandre : coaching Capra - séance 5
Mercredi - Cédric est rentré de vacances et il se la pète sévère avec son bronzage (je lui en veux déjà avant même de commencer). Il a cru m'impressionner avec ses cordes à sauter mais je suis le spécialiste :) sauf que ses cordes sont un peu courtes et du coup ce n'était pas aussi facile que ça.
Je reconnais être un peu mou aujourd'hui et on enchaîne directement avec mon exercice préféré (beurk): les pompes. Je sais pertinemment que je devrais en faire bien plus régulièrement pour être au mieux, à moi de me sortir les doigts du cul (pour parler vertement) et de m'y mettre.
Gêné du bras à l'épaule, on change la séance "haut du corps" pour travailler suir les jambes. Ces dernières se sont finalement remises du bootcamp de la semaine passée, véritable cauchemar à chaque fois que je voyais un escalier ;)
Au final, une bonne séance, un bon travail même si je pense avoir beaucoup râlé (la matinée au taff n'a pas été simple lol).
Jeudi - Je ne sais pas ce que j'ai mangé ou consommé mais j'enchaîne 2h30 de cardio (footing, rameur et vélo) sans même vraiment être fatigué. Faut croire que le boulot finit par payer. Après mes sparrings en MMA de l'autre jour, je commence à retrouver un bon cardio.
Du côté de la balance, ça baisse très très très doucement seulement.
Article rédigé par Alexandre pour son blog : http://alnmx3.skyrock.com
Pour contacter Cédric : manager@gregory-capra.com
vendredi 29 juillet 2011
Piqûres et morsures d'été
Avec l’été, le sport et les vacances sont propices aux balades en pleine nature. Et qui dit nature, dit insectes et reptiles… Certains d’entre nous auront donc la malchance de croiser la route d’un de ces gentils animaux. Rassurez-vous cependant, la France est loin d'être un pays risqué. N’est ce pas Greg !!!!
La piqûre
L’inoculation de venin est intradermique c'est à dire dans le tissu conjonctif dense de la peau. Au niveau des muqueuses et de la conjonctive (œil) la diffusion du venin est plus rapide ce qui entraîne un gonflement plus important.
Trois réactions sont possibles :
1/ REACTION LOCALE
La piqûre est douloureuse. On peut voir une rougeur locale, un gonflement (oedème local) de quelques centimètres, une légère induration. Cette réaction s’accompagne parfois de démangeaisons. Produite par les amines vasoactives et par les peptides, cette réaction disparaît en générale en quelques heures.
En fonction de l’endroit de la piqûre, le gonflement peut être plus important : par exemple au niveau du visage (paupières, ailes du nez, oreilles, lèvres) et du cou. Une piqûre dans la bouche ou dans la gorge peut provoquer un tel gonflement que la personne peut étouffer.
2/ REACTION TOXIQUE
Les symptômes seront plus intenses en fonction du nombre de piqûres.
Suite à de multiples piqûres, la quantité de venin injectée est plus importante. A la réaction locale s’ajoutent alors des signes généraux : œdème au niveau des piqûres, de la fatigue, des vomissements, de la diarrhée, des maux de tête, une chute de tension parfois des convulsions et une perte de connaissance.
Une personne adulte qui présente plus de 20 piqûres d'hyménoptère (famille des guêpes, abeilles et frelons) doit être hospitalisée pour une surveillance.
3/ REACTION ALLERGIQUE (Choc anaphylactique)
La réaction allergique ne dépend pas de la dose de venin injectée. Une seule piqûre suffit à la déclencher. Un intervalle court de deux mois entre deux piqûres peut être un facteur de risque au développement d’une réaction allergique au venin d’hyménoptère.
Une personne présentant une douleur et un gonflement local de plus de 10 cm ainsi que des symptômes persistant plus de 12 heures, court un plus grand risque, lors d'une prochaine piqûre de développer une réaction allergique grave.
Les symptômes sont :
1. cutanés : urticaire généralisé, rougeur, démangeaisons et gonflement important (Angio-oedème : urticaire s’étendant au tissus sous-cutanés et/ou sous muqueux)
2. respiratoires : œdème de la langue qui provoque des difficultés pour avaler, œdème de l’épiglotte et du larynx, bronchospasme qui s’accompagne d’une oppression thoracique, d’angoisse et cyanose (coloration bleuté de la peau).
3. cardiaques : chute de la tension, vertiges, perte de connaissance
4. digestifs : nausées, vomissements, diarrhée
5. neurologiques : coma
L’obstruction des voies respiratoires et le choc cardiovasculaire peuvent entraîner la mort de la victime.
Que faire en cas de piqûres ?
· Si possible, identifiez l’insecte qui vous a piqué.
· Lors d’une piqûre, la douleur est immédiate et un œdème local se développe rapidement.
o Les abeilles laissent l’aiguillon et la glande à venins accrochés à la peau de la victime. L'appareil continue ainsi à injecter les réserves de venin. Dans ce cas, retirez rapidement le dard avec l’ongle ou avec le bord non tranchant d’un couteau (en glissant parallèlement à la surface de la peau) ou d’une carte de crédit. N’utilisez pas de pincette, la glande à venin pourrait éclater et libérer encore plus de venin.
o Le frelon a un dard plus long. La piqûre est plus profonde. Le venin peut être injecté directement dans les vaisseaux sanguins, accélérant ainsi la réaction.
· Oter les bagues en cas de piqûre à la main.
· Certains auteurs recommandent d'approcher de la zone piquée une source de chaleur (sèche-cheveux, eau la plus chaude possible) puis une source de froid (glace). Cela permettrait de diminuer la douleur et le gonflement.
· Bien désinfecter avec de l’eau et du savon, puis appliquer une solution antiseptique. (Les hyménoptères sont des omnivores et volent des arbres fruitiers vers les poubelles.)
· Pour une douleur intense, prenez un antidouleur par voie orale.
· Vérifiez si vous êtes en ordre de vaccination contre le tétanos.
Consultez un médecin
· Lorsque la réaction locale est importante (gonflement, rougeur, chaleur, douleur) et dure plus de 24 heures. Une infection peut se développer à l’endroit de la piqûre.
· Quand la piqûre a eu lieu dans la bouche ou dans la gorge, le gonflement peut être rapide et important avec des difficultés respiratoires. Donnez un glaçon à sucer et consultez immédiatement un médecin ou conduisez la victime à l’hôpital. Le traitement est symptomatique.
· En cas de réaction allergique suite à une piqûre. Appelez le 15 ou le 112 pour un transport d’urgence à l’hôpital. L'allergie se manifeste par une éruption cutanée avec fortes démangeaisons, un gonflement du visage, des vertiges, de la pâleur. Retirez rapidement le dard s’il y en a un, désinfectez, couchez la victime et surélevez ses jambes.
· En cas de piqûres multiples (plus de 20 chez l’adulte), transportez la victime à l’hôpital pour une surveillance.
Les morsures
Le seul serpent venimeux que vous pouvez croiser, c'est la vipère. Sa morsure est identifiable par deux petits points, souvent entourés d'une auréole rouge. Heureusement la vipère n'est pas toujours agressive et injecte son venin seulement une fois sur deux. En plus sur les 2000 à 3000 morsures par an, seules 2 ou 3 sont mortelles, cela reste donc exceptionnel. Les vipères sont présentes le plus souvent dans le sud et dans les montagnes.
Si vous ne les brusquez pas, elles vous laisseront tranquille. Par contre, évitez de soulever des pierres ou de mettre les mains dans des troncs d'arbre.
Comment les reconnaître ? Elles mesurent 50 à 60 cm de long, ont une tête triangulaire caractéristique, et sont de couleur brune ou grise avec un dessin dorsal noir en zigzag.
Quels sont les bons gestes à retenir ?
· Si une personne se fait mordre, allongez-la rapidement et inclinez le membre touché vers le sol, ainsi le venin se diffuse moins rapidement.
· Appelez les secours d'urgence. Au cas où ce ne serait pas possible, allez directement aux urgences les plus proches, en prenant soin de déplacer la victime avec calme et délicatesse pour qu'elle bouge le moins possible.
· Rassurez-la. Toutes les morsures ne sont pas dangereuses, et le venin n'est pas toujours injecté. Par ailleurs, même si le serpent a injecté son venin, celui-ci met plusieurs heures pour se diffuser dans tout le corps. Donc pas d'affolement.
· Retirez les bagues et bracelets qui pourraient gêner la circulation du sang.
· En attendant, et selon les moyens dont vous disposez, vous pouvez nettoyer la plaie à l'eau et au savon pour désinfecter. Ensuite, faites un petit bandage, non serré. Et pour atténuer la douleur et éviter les gonflements, appliquez si possible de la glace.
A ne pas faire en cas de morsure :
· Ne vous prenez pas pour un super aventurier en voulant aspirer héroïquement le venin de la victime. N'inciser pas non plus pour faire "sortir" le venin. Enfin, n'injectez pas vous-même un sérum anti venimeux. Même si c'est une bonne idée que de vouloir éviter la diffusion du venin dans l'organisme, ces gestes sont dangereux pour la victime et pour vous-même lorsqu'ils sont mal faits. Par exemple, il suffit que vous présentiez la moindre petite plaie dans la bouche (c'est très fréquent et pas forcément visible) pour que du venin passe également dans votre corps. Et là vous ne pourrez plus aider la victime !
· Ne faites pas de garrot. Si vous bloquez la circulation du sang, un œdème va se former, et la peau ne sera plus oxygénée correctement.
· N'appliquez pas d'alcool ou d'éther sur la plaie car cela favorise la diffusion du venin.
· Pas de "remontant". Ne donnez pas du thé, du café ou encore de l'alcool à la victime car cela aura pour effet d'augmenter les battements du cœur et par conséquent de favoriser la diffusion du venin.
Enfin, si vous allez dans un pays tropical, le risque est largement plus grand. Renseignez-vous avant de partir auprès de votre médecin.
Article rédigé par Fred
Pour me contacter quand j'irai mieux : manager@gregory-capra.com
Avant / Après : Sébastien - Meyreuil (13)
jeudi 28 juillet 2011
Grégory Capra opérationnel pour les massages
lundi 25 juillet 2011
Bootcamp Capra Paris - Défi gainage
Pour contacter Maxime : manager@gregory-capra.com
Grégory Capra : parcours accrobranche
Paris Plages : vivement le mois d'août !
Pierre - Carcès et tout le Var - Coach Capra
J’ai tout d’abord commencé le football, comme beaucoup d’enfants vivant en milieu rural. Après 10 années en tant que gardien de but, je décidais d’arrêter ce sport pour me mettre aux sports de combat, disciplines me correspondant beaucoup plus.
Durant l’adolescence, mon caractère a beaucoup changé, voire durant une courte période, trop changé. Mes parents ne voulaient pas que je fasse de la boxe mais dans ce sport, j’étais sûr d’apprendre des choses qui me serviraient.
J’ai appris à me servir de mes poings et de mes pieds, puis j’ai appris à me servir de mes coudes et mes genoux.
Mais j’ai surtout appris les règles. Pas de coups bas, pas de triche. Transpirer, s’entraîner, travailler. J’ai découvert le prix de l’effort, la valeur de l’amitié. J’étais un jeune perdu, je suis devenu boxeur. J’ai combattu. Je suis tombé. Et je me suis relevé.
Les victoires ne m’ont pas rendu plus fort. Les défaites ne m’ont pas rendu plus faible. Le ring m’a appris que quelque soit les styles, que ce soit thaï, kick, full ou anglaise, elles ne sont qu’une seule et même famille. Mais surtout, la boxe m’a appris que le monde ne se limitait pas aux douces cordes du ring. Elle m’a fait découvrir d’autres cultures, d’autres sourires, d’autres voix, d’autres âmes. Grâce à la boxe, je connais aujourd’hui l’importance de l’entraide. Je sais aussi la force du lien social.
La boxe m’a appris le respect. Le respect que l’on doit aux autres. Celui que l’on doit à soi-même. Avec la boxe, mon corps a appris la douleur. Avec elle, il a appris à se soigner.
Le sport m’a tout appris. Et c’est tout ça que je veux transmettre aussi.
Expérience technique
Vingt ans de pratique sportive dont huit à haut-niveau m’ont apporté énormément d’expériences tant sur la préparation physique que mentale, trop souvent négligée et pourtant nécessaire lorsque l’on veut atteindre des objectifs. Mon bagage technique s'appuie sur un vécu composé de réussites, mais aussi d’échecs. Je les ai surmontés grâce à une résistance mentale et une ouverture d'esprit, nécessaires pour évoluer et vaincre, que cela soit son adversaire ou soi-même.
Après toutes cas années, j'aspire à la transmission de mon savoir-faire et de mon savoir être, mais aussi de mon expérience de sportif de haut niveau.
Expérience pédagogique
Depuis l'âge de 15 ans, date à laquelle j’ai eu mon premier petit diplôme fédéral, je me consacre uniquement à ce métier en passant un maximum de formations qualifiantes afin d’avoir le plus de connaissances possibles mais aussi pour remettre à jour ces dernières. Le sport, ses techniques, sa science sont en constante évolution. Il est donc pour moi évident qu’il faut se remettre sans cesse à jour.
Etant de la génération où le BEES commençait à disparaître pour se faire remplacer petit-à-petit par le BPJEPS, je me suis empressé de passer la partie tronc commun du BE afin de bénéficier de certaines connaissances absentes dans le nouveau programme qu’offrait le BP. J’ai ensuite passé ce dernier avec l’option Activités Physique pour Tous.
Passionné par les sports de combats et arts-martiaux, j’ai également passé quelques diplômes fédéraux afin de pouvoir partager mon savoir et mon expérience de pédagogue mais surtout de pratiquant.
Très axé sur l’approche du sport et plus particulièrement de la préparation physique de Christophe Carrio, j’ai naturellement suivi quelques stages avec lui afin de parfaire mes connaissances en matière de coaching.
Ma technique est aux antipodes des méthodes à la californienne. Pas de gonflette à gogo, mais une approche intensive adaptée à chaque niveau de sportivité. Un programme de nutrition adéquat est aussi au menu, sans en être le plat principal.
Spécialités
- Grand adepte du CARRIO TRAINING SYSTEM
- Préparation physique: performances, bien-être, minceur….
- Sports de combat : muay thaï, kick boxing, boxe américaine, karaté contact
- Self-défense
Qualifications
- BEES TC 1°
- BPJEPS Activités Physiques pour Tous
- MF 2° de boxe américaine/full-contact
- Instructeur de boxe thaï
- CQP fitness
- DIF karaté contact (en cours)
- Initiateur 1° de football
- BAPAAT VTT-rando
- Formation à la méthode Grégory Capra
- Formation en conseils alimentaires Grégory Capra
Palmarès sportif, distinctions et sports pratiqués
- boxeur classe B (semi-pro; niveau international) de muay thaï : 28 combats-20 victoires- 8 défaites
- 10 ans de pratique en boxe américaine, kick boxing, muay thaï, karaté contact
- Ceinture noire de boxe américaine
- Ceinture noire de karaté
- Prajeet noire de muay thaï
- 10 ans de football
- Niveau 1 de plongée-sous-marine
dimanche 24 juillet 2011
Sèche 2011 : Rémy... 5 mois plus tard
Maxime : 21 minutes de gainage !
vendredi 22 juillet 2011
NON, les frites ne font pas grossir !
On ne cesse de nous dire que les frites c’est pas bon, cela fait grossir, c’est gras et qu’un sportif ne doit pas approcher à moins de 20 mètres d’une frite sans devoir faire 20 pompes après.
1/ Un peu d’histoire et d’idée préconçues
Au XVIIe siècle déjà, la "cartoufle", nom alors donné à la pomme de terre, est applaudie pour ses qualités nutritives.
Il est vrai que ce tubercule riche en amidon n'est pas avare non plus en potassium et en vitamines B1, B2 et C. Aussi, nous ne saurions trop vous recommander, lorsque vous lavez vos frites à l'eau après leur coupe, de limiter la durée du bain pour qu'elles conservent ces éléments bienfaiteurs pour notre santé...Évidemment, ne nous voilons pas la face et osons voir la vérité... en face: la frite est plongée dans l'huile et tous les diététiciens la pointeront du doigt, avec raison, comme de la "nefast food". Pas trop bonne pour le corps, la frite ne le serait-elle pas, par contre, pour l'esprit? Aliment fédérateur et convivial, convoité par toutes les classes sociales sans aucune distinction de sexe ou de culture, très souvent associée à la fête ou à des instants de plaisir pur, nous en sommes convaincus!
2/ La réponse !
Nous avons donc mené l’enquête, farfouiller tous les manuels de diététiques, réunis 40 spécialiste du goût, de l’agronomie, de la médecine, de la diététique et voila la conclusion de cette dure mission donné par le coach Capra :
NON, les frites ne font pas grossir ! Et NON, les frites ne sont pas mauvaises pour la santé ! Au contraire, la pomme de terre est un ingrédient nécessaire à la bonne forme ! Ce légume - féculent est composé d'acides complexes qui doivent combler 50% de vos besoins nutritionnels. OUI aux bonnes frites faites maison, NON aux grasses frites industrielles !
Ennemies jurées des régimes, meilleures amies des enfants, stars de la Belgique, les frites font couler beaucoup d'encre et de salive ! Issues des pommes de terre, les frites ne sont pas mauvaises pour la santé. Elles peuvent donc être savouré sans complexe
Pour tordre le cou aux idées reçues, voici 5 bonnes raisons de manger des frites :
· La valeur nutritionnelle : les pommes de terre contiennent des fibres, des vitamines B1, B2, PP, C, du fer, du magnésium, et du potassium.
· Ça cale ! Les féculents favorisent la sensation d'être rassasié : vous mangez moins puisque la faim disparaît plus vite.
· Ça relaxe : il y a de la tryptophane dans la pomme de terre. Cette molécule présente dans les féculents favorise la détente (voire l'endormissement oui oui c’est prouvé).
· Votre corps a besoin d'au moins 3 c. à café d'acides gras essentiels présents dans les huiles végétales. Supprimer tout le gras de votre alimentation est très mauvais.
· C'est bon pour le moral : vous faire plaisir stimule la production d'endorphine, la molécule du bonheur, présente dans votre cerveau. Un plat de frites permet de prendre un repas convivial intergénérationnel (parfait dans le menu plaisir hebdomadaire par exemple)
3/Comment préparer des frites non grasses ?
C'est l'huile de cuisson qui rend les frites grasses. Pour des frites légères, il faut bannir les produits surgelés bourrés de graisse et préférer des frites maison qui vous permettront de doser la quantité d'huile. Voici quelques astuces pour de bonnes frites light :
· Découpez des frites épaisses : plus la frite est fine, plus la surface de contact avec l'huile est grande...
· Optez pour une cuisson au four à 190°. Vos frites seront plus digestes et moins grasses que si elles baignent dans l'huile.
· Préférez l'huile d'arachide bio aux autres : elle résiste mieux aux hautes températures. Vous ne risquez donc pas d'ingérer des toxines libérées par une huile brûlée (jamais de cuisson à l’huile de palme ou à la Végétaline reconnu toxique et cancérigène).
· Séchez bien vos frites une fois qu'elles sont découpées ! C'est l'eau qui fixe la graisse sur les aliments !
4/ Le conseil et la recette du chef
Et enfin, pour être le plus complet et le plus impartial possible, la meilleure cuisson est au four de sachet surgelés préparés à ce mode de cuisson (elles ne contiennent que l’équivalent de 2C d’huile). Si vous préférez les faire vous-même, voici une recette facile :
Pour 4 personnes, 800 grammes de frites, 1 CS d'huile (4 huiles) et du paprika. Mélanger les frites et l'huile dans un saladier, ajouter le paprika. Etaler les frites sur une feuille de cuisson sur la plaque du four, les unes à coté des autres. Faire cuire 20 minutes à four chaud et les faire griller 3 minutes à la fin. Saler.
Vous verrez, c'est vraiment très bon et très peu calorique.
Article rédigé par Frédéric
Pas sûr que j'approuve cet article !!! Pour me contacter : manager@gregory-capra.com
jeudi 21 juillet 2011
Nicolas : sport + sophrologie + massage
Derrière son air timide …… Nicolas sait être à l’écoute de ses « clients ».
Je dois dire que la combinaison d’une heure de remise en forme par semaine avec une séance de sophrologie et massage tous les 15 jours environ me fait un bien énorme tant au niveau du corps que dans la tête (peut-être un peu plus dans la tête que sur le corps d’ailleurs !!!!)
En une heure, Nicolas me fait un massage complet de la tête aux pieds toujours avec un mélange de plusieurs types de massages entre pressions glissées, effleurages lents, mouvements fluides et harmonieux et tient toujours compte de mes demandes, comme par exemple cette « boule d’angoisse » que j’avais lors de notre dernière séance et qu’il a su évacuer par un très bon massage au niveau du nombril.
Et ce que j’adore par-dessus tout …… c’est ce massage des fesses ….. muscles très sollicités et dont on se préoccupe très rarement.
Témoignage rédigé par Sébastien
Pour contacter Nicolas : manager@gregory-capra.com
mardi 19 juillet 2011
Clara : concours sapeur-pompier volontaire réussi
Depuis l’été 2010, je suis les conseils du Coach afin d’avoir un niveau correct pour mon entrée en tant que sapeur pompier volontaire, mais c’est seulement à partir de janvier 2011, lorsque je découvre qu’une convention existe entre l’IUT HSE (où je souhaite poursuivre mes études) et le Service Départemental d’Incendie et de Secours du Haut Rhin, que je décide de vraiment m’y mettre : j’ai 5 mois pour atteindre un niveau sportif irréprochable pour pouvoir prétendre faire partie des sapeurs-pompiers volontaire au Centre d’Incendie et de Secours de Colmar. Je décide donc de faire appel à Gregory, connu pour son professionnalisme et son écoute, pour me faire progresser essentiellement au niveau des pompes, des tractions mais aussi de la chaise et du gainage !
C’est donc parti pour 5 mois d’entraînement quotidien, sous l’œil attentif du Chef !
Puis la date des tests approche et Gregory est là pour donner les derniers conseils afin d'atteindre mes objectifs.
Début juillet, je réussis avec succès les tests pour entrer SPV au CSP de Colmar et ce, grâce à sa patience, son écoute, son professionnalisme, ...
C'est vrai que j'ai beaucoup transpiré, j'ai eu quelques moments de doute mais le Chef était toujours là pour me re-motiver et c'est vraiment appréciable !
Un grand MERCI parce que tu m'as permis d'atteindre mes objectifs : en 5 mois, je suis passée de 20 à 60 pompes, de 5 à 16 tractions et j'ai atteint les 5min au gainage et à la chaise !!!
Encore un grand merci pour ta patience, Chef !
Témoignage rédigé par Clara
Pour me contacter : manager@gregory-capra.com
Augustin : un mois de coaching
Augusto, Picardie
Pour me contacter : manager@gregory-capra.com
Bootcamp foot australien : Alexandre raconte
Stade Carpentier, ce soir, c'est "bootcamp" avec Maxime (photo), très branché sports de combat. En attendant les autres, on parle MMA. Maxime a fait beaucoup de boxe anglaise et de judo aussi. Il est assez impressionnant, sec de chez sec, le bougre! Finalement, on ne sera que 4: des joueurs de football australien et moi. Les footeux préparent une grosse compétition pour mi-août qui aura lieu en Australie.
Dans le stade, l'atmosphère est plutôt sympa: ça joue au foot, ça court et ça s'entraîne même en boxe et combat libre autour du terrain.
Après quelques tours de piste histoire de faire monter le cardio et de réveiller les muscles, la séance peut commencer. Maxime a décidé de nous faire une bonne séance de renforcement musculaire avec des étapes cardio. On s'attaque donc aux marches, à cloche-pied, pieds joints, avec medecine-ball etc. Autant dire que ça pique assez vite et que je redoute déjà les courbatures du lendemain.
Le gros avantage de ne pas m'entraîner seul est l'émulation qu'un groupe (même en petit nombre) peut produire. Compétiteur dans l'âme, le fait que d'autres gars fassent les mêmes exercices que moi en même temps me motive à ne rien lâcher et à tout donner, quitte à mourir sur place.
Après 20 bonnes minutes sur les escaliers, on repasse sur la piste pour quelques sprints. Ca a l'air simple, mais des sprints après des squats ou des fentes à chaque fois, c'est assez usant et éreintant. Encore plus quand ce sadique de Maxime vous confie le medecine-ball :) Sur les derniers sprints, j'ai l'impression d'être plus frais que mes compères, mais c'est un leurre. Je suis véritablement HS.
Le final autour des mollets, des pompes (ce que je hais le plus), des abdos (finalement j'aime bien et je souffre pas trop) et du gainage finit par me donner une sensation de "gerbe" qui me rappelle les bons vieux souvenirs d'autrefois quand je faisais des entraînements hardcore. Après tout, ça veut dire que j'ai bien bossé, non?
Suite à mes séances avec Cédric, je me sens déjà beaucoup mieux aussi. Et même en cardio, je m'attaque à de bons exercices. Par exemple, j'ai démarré un petit cycle de cardio: avec course à 60% de ma VMA pendant 1mn30 et 30 secondes de récup, pendant 40 minutes. Ca n'a pas l'air comme ça, mais c'est bien usant!
A suivre!
Article rédigé par Alexandre pour son blog : http://alnmx3.skyrock.com
Pour contacter Maxime : manager@gregory-capra.com
Portrait d'un bootcampeur : Lionel
lundi 18 juillet 2011
Faire du sport en pleine chaleur
Le sportif est un animal homéotherme. En plein effort, il doit lutter pour ne pas trop s’écarter des fameux 37,2° dévolus à son espèce. Pas facile lorsqu’on roule à vélo, lorsqu’on court ou que l’on dispute une partie de tennis en plein cagnard !
Pour compléter l’article précédent « Sport et chaleur, mes conseils pratiques ». J’ai décidé de vous apporter quelques précisions sur la pratique sportive en pleine chaleur.
1. Habituez-vous à la chaleur
Il est possible d’habituer l’organisme à la chaleur afin d’améliorer les performances en milieu caniculaire. L’entraînement en milieu chaud permet d’ajuster une série d’adaptations physiologiques qui vont atténuer le stress du à la chaleur. En effet, le système nerveux s’adapte, le processus de sudation est activé pour une température corporelle moins élevée et le volume plasmatique augmente. Cette période d’acclimatation à la chaleur requiert une consommation massive d’eau qui permet d’augmenter le volume sanguin corporel. Commencez les séances d’entraînement avec une intensité d’exercice modérée mais de longue durée pour stimuler l’acclimatation. Le footing est par excellence le mieux adaptée.
En clair, l’acclimatation à la chaleur améliore la tolérance aux températures élevées et la performance sportive. Un apport hydrique supérieur par rapport à un entraînement en condition ambiante est juste nécessaire.
Avec l’été qui est là et les grandes chaleurs aussi, il faut prendre quelques précautions si vous voulez continuer à pratiquer du sport.
2. Reconnaître les symptômes de la chaleur
Parfois, votre corps ne supporte plus la chaleur parce que la transpiration et l’hydratation sont insuffisantes. A ce moment-là, il vous envoie des signaux d’alerte. C’est le moment d’arrêter votre effort. Les crampes de chaleur frappent quand les pertes en eau (sueur, urine) ne sont pas compensées. Résultat, la fatigue se fait sentir et vous avez des nausées. La syncope intervient souvent quand la phase d’acclimatation n’a pas été respectée. Le cœur n’est pas assez alimenté en sang, c’est la perte de connaissance assurée. Reprendre son effort après un malaise de ce type, c’est prendre le risque d’un coup de chaleur, accident qui peut être mortel. A la perte de connaissance s’ajoute un autre signe, l’arrêt de la transpiration. Le sportif qui subit cela a un rythme respiratoire accéléré et ses gestes sont hésitants, maladroits.
3. Rappel des bons gestes
1. Bien s’hydrater
2. S’acclimater
3. S’habiller correctement
4. Privilégier plats et boissons salés
5. Choisir le bon endroit et le bon moment
6. Protégez la peau, les yeux et la tête
4. Que faire en cas d’urgence ?
Si vous avez mal à la tête et que vos jambes flanchent, arrêtez immédiatement votre effort et mettez-vous à l’ombre. Il est important de bien vous réhydrater, en buvant lentement. En cas d’étourdissements, allongez-vous et placez vos jambes en l’air, afin de favoriser la circulation sanguine. Si jamais vous êtes confronté à une personne victime d’un coup de chaleur (perte de connaissance prolongée), cherchez à faire baisser sa température corporelle au plus vite. Mettez-la à l’ombre, passez-lui de l’eau sur le visage, retirez son tee-shirt, et essayez de créer un courant d’air frais. Après avoir alerté le SAMU (numéro d’urgence : le 15), placez la personne inconsciente sur le côté. La position dite "latérale de sécurité" est la plus adaptée en cas de vomissements, pour éviter que la victime ne s’étouffe (à ne pratiquer que si on est formé bien sur !).
5. Y a-t-il des précautions particulières pour les sportifs ?
Une personne qui n’est pas entraînée ne doit pas démarrer ou reprendre une activité physique ou sportive en période de forte chaleur. Pour un sportif entraîné, les mesures exprimées ci-dessus suffiront parfaitement.
Par contre des conseils pour votre activité physique peuvent être utile :
Échauffez-vous. Bien sûr, la lumière du soleil procure un sentiment de bien-être – et vous voulez en profiter, mais votre corps doit d’abord être bien préparé.
Ne vous précipitez pas. Augmentez le tempo graduellement et laissez votre corps s’adapter à la chaleur.
Prenez des pauses. particulièrement pour boire de l’eau, et restez à l’écart du soleil si vous le pouvez.
Soyez à l’écoute de votre corps. Ces petits inconforts peuvent indiquer que vous devez vous reposer.
Un athlète déshydraté est un athlète malheureux — même si vous êtes seulement un sportif de fin de semaine qui fait une promenade de santé. La déshydratation peut avoir des conséquences désagréables et même très sérieuses sur la santé; pour les éviter :
Buvez beaucoup d’eau et augmentez la quantité lorsque la chaleur et le taux d’humidité grimpent :
- Avant votre séance d’exercice : 0,5 à 0,8 litre.
- Pendant l’exercice : au moins 0,25 litre toutes les 15 ou 20 minutes.
- Après l’exercice : 0,5 à 0,8 litre pour chaque 0,5 kilogramme de poids perdu.
Pour des exercices prolongés dans la chaleur (disons pendant plus d’une heure) buvez une boisson isotonique pour vous aider à maintenir l’équilibre des électrolytes et augmenter votre niveau d’énergie.
Suffoquer dans le smog, ce n’est pas très agréable. Par conséquent :
- Évitez de faire de l’exercice là où il y a beaucoup de circulation – ne faites pas de jogging ou de vélo derrière un autobus.
- Faites de l’exercice tôt le matin ou en fin de soirée.
- Faites de l’exercice à l’intérieur si la qualité de l’air est vraiment mauvais dehors.
- Arrêtez l’exercice immédiatement si vous éprouvez de la difficulté à respirer.
Maintenant que vous savez comment combattre la chaleur de l’été, trouvez les activités les plus intéressantes pour vous que se soit l’aquagym, la randonnée pédestre, la natation, le vtt, le badminton, le beach-volley ou la pétanque l’essentiel est de profiter au mieux de la chaleur ambiante pour s’amuser en toute sécurité, seul ou accompagné. ;-)
Article rédigé par Frédéric
Pour me contacter : manager@gregory-capra.com