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dimanche 13 février 2011
Paris - Bootcamp "spécial jambes"
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Le biathlon, c’est de la balle comme sport
Sur la thématique des sports d’hiver Kevin Fortin vous propose un sport alliant le tir à la carabine et le ski de fond. Discipline olympique, activité proposée en initiation dans certaines stations…Vous avez trouvé ? …Oui, le biathlon. Suivons les traces de M-L Brunet, Simon Fourcade et autres…
Le biathlon (du latin bi, « deux », et du grec athlon, « concours ») est une épreuve combinant deux disciplines. Par coutume, quand on parle du biathlon, on évoque la combinaison du ski de fond et tir à la carabine. De nos jours, la pratique du biathlon au haut niveau est réglementée par l'Union internationale de biathlon qui organise les principales compétitions. Bien que considéré comme discipline du ski ou sport de neige, le biathlon est totalement autonome vis-à-vis de la Fédération internationale de ski, autre institution mondiale ayant autorité sur la majorité des disciplines des sports d'hiver.
Dans les pays nordiques, le ski de fond était le mode de déplacement le plus pratique durant les longs hivers. Les hommes utilisaient des planches de bois pour se déplacer et des armes pour chasser, comme le montrent des vestiges de l'art antique scandinave. En Norvège, des peintures rupestres datant d’environ 5000 ans ont été retrouvées attestant le fait que les hommes pratiquaient déjà la chasse au gibier au moyen de skis pour se déplacer sur la neige. Ces chasseurs organisaient des compétitions pour désigner les meilleurs d'entre eux.
Un soldat armé avec des skis, gravure du Suédois Olaus Magnus datant du XVIe siècle... Dans toute l'Europe du Nord, les écrits composés de sagas et de légendes évoquent l'utilisation combinée de skis et d'armes pour se défendre mais aussi pour se distraire. Ces observations permettent de penser que les pratiques ancestrales du biathlon répondaient à des normes utilitaires : les déplacements, l'alimentation. Elles touchent également le domaine militaire, cadre ou se développe ce sport combiné.
Un sport avant tout militaire
Sur le plan sportif, les origines du biathlon se situent essentiellement dans le domaine militaire. Dès le début de l’ère des Vikings, les populations autochtones du nord de l’Europe se défendaient à skis contre les Vikings danois qui procédaient à de régulières invasions. Au Moyen Âge, des factions militaires armées équipées de skis deviennent des éléments essentiels des armées en Scandinavie et en Russie, des régions régulièrement enneigées.
Au XVIIIe siècle, les unités de patrouilles des armées nordiques pratiquent le biathlon pour surveiller les frontières. Le bon soldat de ces régions est alors à la fois bon tireur mais aussi excellent skieur. En 1767, la première compétition est organisée sur la frontière suédo-norvégienne entre des patrouilles des deux pays. Jusqu’à la toute fin du XIXe siècle, la combinaison du tir et du ski n’est utilisée qu’au sein de l’armée, à l’exception de la chasse.
Le tout premier club de ski associé au tir, le Trysil Skytte og Skiloberlag ou Club de tir et de ski de Trysil, est créé le 30 mai 1861 en Norvège à Trysil. (il a alors pour but de former les soldats pour leurs missions). Le biathlon est également apprécié dans les pays de langue allemande où la combinaison du ski de fond et du tir n’est pas rare. La forme de ces compétitions évolue jusqu'en 1915 et la première course de patrouille militaire. Alors que l'exercice individuel était jusqu'ici de mise, ski de fond et tir sont désormais pratiqués en relais par équipe. Composée de quatre membres, une patrouille militaire est menée par un officier accompagné par un sous-officier et deux soldats. Sur un parcours allant de 25 à 30 km, le relais doit effectuer une séance de tir à mi-distance, couché ou debout. Trente secondes étaient ajoutées au temps du relais en cas d'erreur sur ce pas de tir.
Ce sport connaît un engouement particulier dans les années 1920 et 1930. En 1924, la patrouille militaire fait même partie du programme olympique des premiers jeux d'hiver organisés à Chamonix. Elle devient sport de démonstration à l'occasion des jeux de 1928, de 1936 et de 1948.
Le biathlon moderne
Une fois la Seconde Guerre mondiale finie, le pentathlon d'hiver entre dans une nouvelle ère en se démilitarisant et en s'ouvrant davantage aux civils. La forte connotation militaire laisse place à la pratique par loisir. Aux Jeux olympiques d'hiver de 1948, le pentathlon d'hiver côtoie la traditionnelle patrouille militaire comme discipline de démonstration. Alliant équitation, escrime, tir, ski de fond et ski alpin, ce sport est le pendant hivernal du pentathlon moderne. Mais non reconnu par le CIO, 1948 est l'unique apparition du pentathlon d'hiver au sein du programme olympique. Parallèlement se développe un biathlon d'hiver alliant tir et ski de fond, une discipline qui connaît un rapide engouement en Scandinavie, en Allemagne et en Autriche. Le 3 août 1948 à Sandhurst est créée l'Union internationale de pentathlon moderne qui montre un intérêt immédiat pour cette discipline des sports d'hiver. Présidée par le suédois Tom Wibom, l'UIPM est composée de 17 pays membres. Sur proposition de l'un de ses successeurs, son compatriote Sven Thofelt, le terme de biathlon est officiellement retenu pour désigner ce sport. En 1954, le biathlon est reconnu comme sport par le Comité international olympique. Élaborées en 1955 à Macolin en Suisse, les règles de compétition sont approuvées le 17 novembre 1956 à Melbourne avant que le biathlon intègre officiellement l'UIPM en 1957 (qui devient alors Union internationale de pentathlon moderne et de biathlon en 1967).
Dès lors, après plusieurs années de pratique et de négociations, le biathlon devient sport olympique en 1960 à Squaw Valley, deux ans après l'organisation de premiers championnats du monde à Saalfelden en Autriche. En 1978, un circuit international mondial est créé, la coupe du monde. L'association avec l'UIPM perdure jusqu'en 1993, année de création d'une instance indépendante lors d'une cession extraordinaire à Londres, l'Union internationale de biathlon (International Biathlon Union). La séparation formelle entre les deux fédérations a lieu en 1998. Désormais autonome, l'IBU organise seule la majorité des compétitions de biathlon, les autres sports d'hiver comme le ski alpin, le saut à ski, le ski de fond ou le combiné nordique étant sous l'autorité de la Fédération internationale de ski.
Concepts de base
Une compétition de biathlon se compose d'une course dans laquelle les concurrents parcourent une piste de ski de fond, dont la distance totale est divisée par deux ou quatre séries de tir, la moitié en position couchée, l'autre moitié en position debout. Les erreurs aux tirs sont sanctionnées par des pénalités, minutes rajoutées, pioches ou distance supplémentaire parcourue. Comme dans la plupart des courses, le participant avec le temps total le plus court gagne.
Pour chaque passage au pas de tir, les biathlètes doivent abattre cinq cibles. Chaque cible manquée est pénalisée selon trois façons, en fonction du format de la compétition :
* En réalisant un tour de pénalité d'environ 150 mètres, ce qui correspond environ à 20-30 secondes pour des biathlètes de haut niveau. C'est le cas lors des sprints, des mass-start, et des poursuites.
* En ayant une minute ajoutée au temps total du skieur. C'est le cas lors des courses individuelles.
* En utilisant une pioche, c'est-à-dire une cartouche supplémentaire que le biathlète transporte sur la carabine. Seules trois pioches sont autorisées par tir. Si des cibles restent à abattre après les trois pioches, le biathlète doit alors accomplir autant de tours de pénalité que de cibles restantes. Les pioches ne sont disponibles que lors des relais.
Afin de suivre les progrès des concurrents et la situation relative au long d'une course, des temps partiels (temps intermédiaires) sont pris en différents points le long de la piste de fond, ainsi qu'à chaque passage au pas de tir.
Toutes les techniques de ski de fond sont autorisées dans le biathlon, ce qui signifie que la technique libre (skating) est habituellement préférée, étant la plus rapide, et nécessitant moins de mouvement du haut du corps, ce qui est un handicap lorsqu'une carabine doit être portée sur le dos. Aucun équipement autre que les skis et les bâtons de ski ne peuvent être utilisé pour se déplacer le long de la piste. La longueur de ski minimale est de 4 cm inférieure à la taille du skieur.
Les épreuves. On distingue plusieurs types d'épreuves qui ne seront pas détaillées ici. Mais il y a les épreuves individuelles : parmi cela l'individuelle, le sprint, la poursuite, le départ en ligne dit aussi mass-start
Les épreuves en équipe : le relais, le relais mixte, la course par équipe.
Un point sur le tir. Un pas de tir est divisé en 30 zones d'environ 2,75 m chacune, des zones accessibles à autant de tireurs. Chaque position de tir est numérotée, de 1 à 30 de droite à gauche en regardant les cibles de face. Pour les courses de sprint et d'individuelle, le skieur entrant sur le stand de tir a le choix entre ces 30 positions pour effectuer chaque séquence de tirs, les cibles 1 à 15 étant réglée en position couchée, celles de 16 à 30 en position debout. Il n'a en revanche pas le choix lors des autres épreuves. Ainsi, pour les épreuves de poursuite, de départ en ligne et de relais, l'attribution des positions de tir se fait en fonction de l'ordre d'arrivée sur le pas de tir. Le leader d'une course se positionne ainsi sur le tapis de tir 1, son dauphin sur le tapis de tir 2, etc. En revanche, pour le premier tir des épreuves de relais et de départ en ligne, le biathlète doit se positionner sur le tapis correspondant à son numéro de dossard même s'il mène la course avec un dossard élevé. L'écart entre les athlètes étant généralement trop faible pour déterminer clairement un classement.
C’est un sport pratiqué aussi par les femmes. Parmi les figures marquantes on peut citer Liv Grete Poirée, Corinne Niogret ou Sandrine Bailly. Les règles sont les mêmes hormis pour le relais mixte où les femmes partent en premier pour 6km chacune (elles sont 2) et les deux hommes ensuite ( 7,5 km chacun).
Afin de compléter cet article, voici ce qu’a pu me dire Simon Fourcade, biathlète français.
Kevin Fortin : Comment vient-on à pratiquer cette discipline alliant sport et tir ?
Simon Fourcade : Pour ma part, j ai fait du hockey sur glace jusqu’à 14ans. A 10 ans j'ai découvert le ski de fond avec l’école. J’ai continué en parallèle les deux jusqu’à ce que je décide de m’orienter vers le biathlon pour suivre les copains. Aucune vocation particulière donc. Les résultats ne sont venus qu'à partir de 17 ans.
KF : Quelles sont les qualités d'un bon biathlète ?
SF : Avant tout l’endurance car, que ce soit pour les performances physiques ou la récupération avant le tir, elle est primordiale. Une bonne concentration est également essentielle de manière à savoir s'isoler au moment du tir.
KF : Sur quoi porte le travail d'entraînement ?
SF : Il porte sur le développement de l'endurance, de la puissance, l'augmentation de la capacité de récupération et la technique concernant la partie ski, précision, maîtrise de soi pour l’aspect tir.
KF : Lors des préparations, comment se déroule une journée type ?
SF : Lors d' un stage, cela se déroule de la manière suivante :
7.30 lever
7.35 petit footing
7.45 déjeuner
9.00 entraînement spécifique (longue endurance, intervalles, seuil...) + tir à l effort
12.00 repas
13.00 sieste
15.30 2ème entraînement (2eme longue séance, musculation, renfo musculaire, séance de récup active....) en fonction de l’entraînement du matin
18.00 étirements, massage, position (travail de tir à sec c’est-à-dire au repos sans munitions, travail de stabilité)
19.00 dîner
22.00 dodo
KF : Quels sont les objectifs de l'équipe de France cette année ?
SF : La saison est déjà bien avancée, mais les championnats du monde reste un objectif primordial comme tout les ans. Pour ceux qui sont bien placés au classement général est également important.
KF : Du point de vue de la partie tir, quel est le plus dur, couché ou debout ?
SF : Comme lors d’autres pratiques, on va dire que cela dépend des goûts de chacun. Le tir couché revêt un aspect plus technique, prises d'informations (position, analyse du vent, de la luminosité...) alors que le tir debout quand a lui fait plus appel à un aspect mental car c’est une bataille face à soi même pour mettre les balles dans la cible.
KF : Quels plaisirs apporte ce sport ?
SF : Un sport de compétition exclusivement. Donc un plaisir qu’il faut aller chercher dans l’effort et la souffrance. Si on le voit d'un côté un peu moins SM, plaisir et sensation de glisse grace au ski de fond, et le tir qui vient cassé la monotonie que l’on peut certaines fois rencontrer dans les sports d'endurance.
KF : Y-a-t-il une morphologie idéale pour pratiquer ?
SF : Non pas de morphologie particulière, même si les grands gabarits auront tendance à être avantagés de part l'amplitude qu’ils peuvent déployer et des temps de glisse forcément plus importants. Les gabarits sont également de plus en plus imposant depuis quelques années car la force et la puissance sont devenues primordiales dans notre sport. Sans parler non plus de gabarit de rugbymen ou de skieurs alpins car il faut porter les kilos en bosse.
Les amateurs de tir et de ski trouveront donc leur compte dans ce sport qui demande les qualités du ski de fond et celles du tir. De nombreuses stations proposent cette activité, comme les stations d’Isère, Autrans, bientôt Villard de Lans et autres.
Article rédigé par Kevin Fortin
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samedi 12 février 2011
Yoann, un sportif Capra pas frileux
C'est ça un sportif Capra, courageux et souriant dans l'épreuve !
dimanche 6 février 2011
Paris - Bootcamp "Bienvenue en enfer"
La clairière, ce n'est pas pour se reposer, mais pour échauffer tout le corps, des chevilles aux poignets en passant par les quadriceps qui commencent vite à souffrir. Au loin les karatékas continuent à s'entraîner, mais pas de photo...
Un pont, une rambarde... des squats sur une jambe... équilibre précaire, des pompes, des répulsions... Il a beaucoup d'imagination, Yoann ! Autres joggeurs, vous attendrez pour passer, le pont est bloqué !
A nouveau un petit footing pour retrouver la clairière des 421 pompes de Kevin ! Yoann distribue des morceaux de ceintures de judo que chacun accroche à la ceinture. "Tout le monde à une queue ?"... C'est parti pour un jeu !
Fini le jeu, les choses sérieuses arrivent : sprint, fentes, courses, .... et des abdos de toutes les sortes, droits, obliques,... Le bootcamp spécial abdos, ce n'était pas la semaine dernière ?!
Du gainage, des pompes sur un bras, on ne sait plus ce que c'est, les bootcampeurs en redemandent !!!
La semaine prochaine, c'est un bootcamp spécial jambes avec courbatures durant 48 ou 72 heures assurées ! Kevin avertit : "préparez vos béquilles !"
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samedi 5 février 2011
Bilan du mois de janvier 2011
Traditionnellement le mois commence par quelques statistiques. Et ce mois-ci un record !!!
Nombre de visites sur le mois de janvier 2011 : 15 360 avec un minimum de 321 visites journalières et un maximum de 721. Le nombre de visites est en progression de 14,8% par rapport au mois de décembre 2010. Ce mois de janvier constitue le record de visites depuis l'ouverture de mon site et de mon blog en 2006. Merci pour votre fidélité !
La page la plus lue sur le mois, avec 600 visites, est le récit de Jonathan qui a opéré une sèche de 21kg en 7 mois. Bravo !
Pour relire cet article :
http://gregory-capra.blogspot.com/2011/01/jonathan-une-seche-de-21kg-en-7-mois.html
L'article le plus lu, sur une journée, avec 305 visites, est aussi une prouesse d'amincissement et de remodelage : Charly suivi par Yann, coach sportif, et Gaël, conseiller en compléments alimentaires. Gaël, j'avais oublié de te citer, tu vois, c'est fait !
Pour relire cet article :
http://gregory-capra.blogspot.com/2011/01/charly-6-mois-dentrainement-avec.html
Un autre record pour ce mois-ci, un record sportif : 421 pompes effectuées par Kevin lors du bootcamp du week-end des 22 et 23 janvier. Qui dit mieux ?
Pour revoir les photos de ce défi pompes :
http://gregory-capra.blogspot.com/2011/01/paris-bootcamp-et-defi-pompes.html
Allez, en route pour de nouveaux records...
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dimanche 30 janvier 2011
Paris - Bootcamp spécial abdos
Arrivent des jeux en position de pompes deux par deux : une pompe et on se tape dans la main, une pompe et on se tape sur l'épaule, puis on essaie de déstabiliser l'adversaire en dégageant son bras... un coup à perdre un pec ou un sein !
Toujours par deux, des fentes, des sauts, des flexions en se tapant dans les mains ou en se tenant par la main ce qui donne alors un air de danse d'antan à nos photos... Puis une course en relais, le groupe étant réparti en deux équipes.... Un gage pour l'équipe perdante : 2mn30 de gainage finalement effectuées par tous.
Puis Yoann sort son matériel ... Gants et pao, poignets pour pompes, élastiques,... Le groupe se sépare en plusieurs ateliers pour un travail en binôme. Tout y passe ... jambes, pecs, triceps, dorsaux, abdos, pecs,...
Midi largement passé, le soleil est bien-là. La gelée blanche a fondu. C'est l'heure de la photo de groupe. Le moment des recommandations pour éviter (est-ce possible ?) les courbatures : de nouveau s'étirer ce soir et bien s'hydrater.
Brunch improvisé pour les bootcampeurs disponibles...
P2C Racing, ça déménage !!
Testé pour vous la semaine dernière... Voici comment animer un dimanche : une belle journée rallye sur terre. Sympa, non ?!
Comme vous le voyez, je gère quand même un peu non... Et puis ça évite d’aller vite sur la route et mettre en péril sa vie !
Qui c’est qui vient avec moi fin février – début mars passer une journée en Drôme provençale, entre Valence et Avignon, pour un rallye sur Terre ??
Des questions ? Me contacter : manager@gregory-capra.com
samedi 29 janvier 2011
Concours photo : Arnaud (94)
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vendredi 28 janvier 2011
Gilles - Rennes - Coach Capra
Au lycée, j’étais dans l équipe de dance hip-hop où j ai pu mettre mes qualités physiques en avant, prouvant ainsi qu’un athlète complet se doit d’être fort, endurant, souple et résistant.
Plus récemment, je me suis dirigé vers la pratique de la musculation intensive et le krav-maga pour mon bien-être personnel.
Champion titré et reconnu dans diverses fédérations de culturisme, je mets au service des autres mes années d’expérience et mon savoir-faire pour les aider à progresser et à atteindre leurs objectifs.
Toute la rigueur, les techniques d’entraînement et de préparation physique acquises au cours de ma vie sportive en milieu scolaire et/ou de compétitions, m’ont donné envie de me tourner vers le coaching afin d’aider d’autres personnes à évoluer vers leurs objectifs, canaliser leur énergie, organiser leur vie en prenant soient d’elles, leur corps et leur esprit.
Expérience technique :
La nutrition, première des médecines a suscité mon intérêt très tôt, je m’y suis alors intéressé de près jusqu’à devenir une référence dans ma région dans le milieu sportif. C’est un domaine qui évolue sans cesse et étroitement lié à la préparation physique. Je me tiens donc à la page de toute nouveauté.
De part mon passage à la Brigade de Sapeurs Pompiers de Paris, je suis particulièrement rompu à la gestion du stress et à la psychologie. Attentif aux désirs de mes clients, écoute, efficacité et discrétion sont mes maîtres mots.
Préparation physique dans différents sports, remise en forme, et maintien d’une excellente condition physique sont, pour moi, vitales. Tout comme en nutrition, je suis en perpétuelle formation dans ce domaine et ne cesse d’apprendre.
Expérience pédagogique :
Titulaire du BP JEPS AGFF complété d’une formation personal trainer, j’exerce aujourd’hui la profession de coach sportif. Mes connaissances en physiologie et mes qualités d’animation sont essentielles. Je suis doté d’un bon relationnel qui me permet de sentir les limites des personnes et de les mettre en confiance. Et surtout, je sais être motivant !
Je suis également instructeur de Krav-Maga.
Spécialités :
- Musculation/diététique: prise de masse musculaire, perte de poids, renforcement musculaire.
- Cardio-training,
- Détente, exercices de relaxation, souplesse, détente musculaire, stretching,
- Force athlétique
- Boot camp (entraînement US marines en plein-air)
Qualifications :
- BP JEPS AGFF
- Formation de personal trainer
- Formation à la méthode Grégory Capra
- Formation en conseils alimentaires Grégory Capra
Palmarès sportif :
- Vainqueur de l’open de Clichy - IFBB 2009 catégorie « men’s classic »
- Vainqueur de l’open de Saint-Prix - AFCPAS 2010 catégorie « athlétique » sélectionné en équipe de France pour Mister Univers.
jeudi 27 janvier 2011
Ski de fond : A vous les grands espaces !
Le ski de fond est un sport d'hiver de la famille du ski nordique, populaire notamment en Europe du nord, Canada, Russie ou l'Alaska. A partir de ce sport, se sont développées d'autres disciplines telles que le saut à ski, le combiné nordique (combinaison du saut à ski et du ski de fond) et le biathlon (combinaison du tir à la carabine et du ski de fond). Ce sport se pratique sur des terrains plats ou vallonnés avec la présence de la neige. Excellent pour la santé, respectueux de l’environnement et peu cher, le ski de fond connaît une seconde jeunesse.
Sport olympique dès la mise en place des Jeux olympiques d'hiver en 1924, l'organisme en charge de la réglementation de la discipline et de ses épreuves est la Fédération Internationale de Ski (FIS), cette dernière gère les différentes compétitions qui rythment le calendrier en période hivernale : les championnats du monde (toutes les années sauf année olympique), la coupe du monde (depuis 1982) et la coupe Marathon (depuis 1999 pour les courses longues distances en coopération avec la Worldloppet).
Le ski de fond est originaire des pays scandinaves dans l'Antiquité (1 000 ans avant JC) et serait né plus précisément de l'endroit où se situe de nos jours la Norvège. Le ski de fond a eu plusieurs rôles essentiels pour l'homme au cours de son histoire, il s'agissait avant tout d'un moyen rapide pour se déplacer d'un endroit à un autre et servait à la chasse, ainsi dans la mythologie norvégienne, la présence d'un dieu du ski Ull et d'une déesse du ski et de la chasse Skadi démontre la place prépondérante du ski.
À partir du XIIe siècle, il est utilisé par les troupes militaires dans l'infanterie chez les Vikings puis les Suédois. Enfin, il est aussi à l'origine de grandes découvertes dans des milieux jusque là peu accessibles comme le Groenland. Au XIXe siècle, le ski est importé en Europe centrale par l'intermédiaire des étudiants norvégiens, ainsi que sur le continent nord-américain avec certains émigrants. Le ski connaît également un grand succès en raison de l'innovation apportée par Sondre Norheim avec son télémark.
Son aspect pratique va alors laisser la place à l'aspect sportif et ludique avec la mise en place de compétitions à partir de 1843 en Norvège puis 1877 en Suède et 1879 en Finlande. Le ski de fond devient alors l'un des sports les plus populaires des pays scandinaves. Au XXe siècle, deux ans après la création de la Vasaloppet, le ski de fond est programmé lors des premiers Jeux olympiques d'hiver en 1924 avec deux épreuves : celle du 18 km et du 50 km (uniquement pour les hommes), l'année suivante sont organisés les championnats du monde de ski nordique où le ski de fond y est programmé, cet évènement aura lieu annuellement depuis (hormis année olympique).
Il faut attendre les années 1980 pour permettre au ski de fond de subir une révolution avec la création de la technique du "pas de patineur" ("skating"), jusqu'à alors seule la technique du "pas alternatif" (classique) était présente. Cette innovation accroît la vitesse sur les skis, la FIS reconnaît cette technique et autorise sa pratique en compétition, enfin les stations de sports d'hiver développent alors leurs infrastructures pour que chaque technique puisse être pratiquée. En 1982, la FIS crée la coupe du monde sur le modèle de la coupe du monde de ski alpin où diverses courses (sprint, poursuite, individuel, relais) ont lieu tout au long de la saison hivernale et permettre qu'un classement soit établi. Parallèlement, les courses longues distances (courses de masse) s'organisent pour mettre un calendrier où chaque épreuve puisse être reconnue (Worldloppet), à partir de 1999 la Worldloppet et la FIS décident de coopérer pour mettre en place la coupe Marathon.
Le ski de fond requiert différentes techniques de progression, de virage, de montée et de descente. Pour progresser en ski de fond, on peut utiliser deux techniques : le pas alternatif (technique dite "classique") et le pas de patin, également appelés du terme anglais "skating", une technique utilisée depuis 1985.
La technique dite classique ou pas alternatif se pratique avec des skis traditionnels dont la partie centrale est fartée pour la retenue ou à défaut équipés d'écailles dans le cadre d'une utilisation axée tourisme. Cette technique est aussi appelée celle du pas alternatif, du fait que la glisse s'effectue alternativement sur un pied puis sur l'autre. En style classique, il existe principalement trois sortes de mouvements différents :
- le pas alternatif qui constitue le pas principal. Il s'apparente très grossièrement à la marche : on prend son appui sur un pied afin de propulser le corps en avant, puis on passe à une phase de glisse sur le ski opposé. Les bras participent également puisque l'on prend appui sur le bras opposé au ski sur lequel se fait l'impulsion. Cette similitude avec la marche rend ce pas très accessible aux débutants qui le pratiquent exclusivement. Néanmoins, plus le niveau augmente, plus ce pas se différencie de la marche. Ce pas est généralement utilisé sur les parties montantes, car il permet d'utiliser toute la force du corps (bras, torse et jambes). Néanmoins, son aspect saccadé nuit à la vitesse, et ce pas ne peut être utilisé sur des parties descendantes ;
- la poussée simultanée qui consiste à pousser avec les deux bâtons simultanément en gardant les skis parallèles. Ce pas est le plus rapide, car il ne comporte aucun temps d'arrêt. Il est néanmoins très fatigant, car seule la force des bras, du torse et des abdominaux est utilisée. Ainsi ce pas est utilisé sur les parties descendantes ou lors des sprints durant une compétition ;
- le pas de un ou Stawug ou « un pas / double poussée » qui consiste à utiliser une poussée simultanée alternativement à une propulsion avec un pied. Ce pas est intermédiaire entre les deux précédents, car il associe la vitesse que l'on peut obtenir avec les bras à la puissance disponible avec les jambes. Ce pas est ainsi adapté aux terrains plats ou aux légères montées.
« Peu de gens en ont conscience mais le ski de fond n’est pas réservé aux seniors. C’est un sport ludique, susceptible de plaire à ceux qui aiment la glisse dès lors qu’ils la pratiquent à leur rythme »( Stéphane Rouvès – directeur de Nordic Isère ).
Officiellement, la technique classique interdit d'avoir un appui latéral qui génère une phase de glisse. Ainsi les prises d'appuis doivent se faire dans le sens axial, sauf pour les changements de direction, et sauf s'il n'y a pas de phase de glisse, comme dans une montée "en canard".
Le ski de fond, que ce soit en technique classique ou en skating, est le sport nécessitant la plus forte VO2max (puissance respiratoire), devant la course à pied, la natation et même le cyclisme. En revanche, il implique des mouvements doux et ne traumatise pas les articulations. Citons Bruno Languet, kinésithérapeute de l’équipe de France de biathlon à ce propos « Le ski de fond est un sport complet, qui fait travailler tous les muscles (cœur, jambes, dorsaux, abdominaux ) et permet d’entretenir sa forme physique. […] Il peut se pratiquer jusqu'à un age avancé »
N’hésitez plus à vous lancer à la découverte de nouvelles sensations, de nouveaux espaces. En plus ce sport est auréolé d’une bonne mentalité.
Article rédigé par Kevin Fortin
Grégory Capra en direct sur IDF 1 !
mercredi 26 janvier 2011
Grégory Capra au Sénat
Soirée au Palais du Luxembourg pour une conférence intitulée : « La médecine, un moyen de renouer les fils du dialogue III » en présence de Jean Pierre Plancade, Sénateur de la Haute-Garonne , Vice Président du Groupe d’amitié France-Israël, avec la participation de :
- Roschdy Zem, acteur, parrain d’Un Cœur pour la Paix
- Professeur J.J. Azariah REIN, Chef de service du département de cardiologie pédiatrique de l’hôpital Hadassah, Jérusalem, Israël « La coexistence en milieu hospitalier »
- Dr Nael El LAHAM, cardiologue « Une expérience terrain, le dépistage en Cisjordanie »
-Docteur Muriel HAIM, Présidente fondatrice d’Un Cœur pour la Paix « Bilan de 5 années d’action et Projets pour 2011 »
Calendrier 2011
GREGORY CAPRA"Opération Un Coeur pour la Paix"
6, av Marcel Pagnol
13170 LES PENNES MIRABEAU
Le tarif est de 27 euros + 3 euros de frais d'envoi (pour la France métropolitaine) par calendrier.
N'oubliez pas de mentionner "calendrier" au dos du chèque et votre adresse pour l'envoi du calendrier.
Site de l'association : http://www.uncoeurpourlapaix.org/
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mardi 25 janvier 2011
Anthony - Marseille - Coach Capra
Artiste dans l’âme, à 15 ans, je créais mon groupe de rock. Ma première guitare était une Storm. Rock, musique électronique, house,…, j’ai donné depuis plusieurs concerts en région PACA avec des potes aussi déchaînés que moi !
Après un baccalauréat littéraire, j’ai passé deux ans en faculté (musique et arts plastiques), mais la vie est dure pour les artistes, c’est donc une autre de mes passions qui me fait vivre : le sport.
Adolescent, le désir de m’affirmer m’a conduit à me mettre à la musculation pour transformer mon corps et me transformer tout simplement. Animé d’une grande volonté, je me suis d’abord entraîné seul avant de pousser les portes d’une salle de sport.
Je suis aujourd’hui coach sportif, ce qui me permet de transmettre le plaisir de se dépenser et de se dépasser.
Comme une parenthèse, j’ai pratiqué, durant deux ans, le nanbudo, art martial japonais fondé en 1978 par Maître Yoshinao Nanbu qui a inspiré le feuilleton télé Sankukaï (les trentenaires se souviendront ! ! !). Cet art martial a pour but de se défendre face aux diverses agressions de l'existence. Il consiste à utiliser l'énergie débordante de chacun, souvent mal canalisée, dans des mouvements souples mais dynamiques. J’ai eu l’extrême plaisir de rencontré le fondateur de cet art martial.
Toute la rigueur, les techniques d’entraînement et de préparation physique acquises au cours de ma vie sportive en milieu scolaire et/ou de compétitions, m’ont donné envie de me tourner vers le coaching afin d’aider d’autres personnes à évoluer vers leurs objectifs, canaliser leur énergie, organiser leur vie en prenant soient d’elles, leur corps et leur esprit.
Expérience technique :
J’ai intégré le CREPS d’Aix-en-Provence en 2006 et j’ai obtenu, un an plus tard, le Brevet d’Etat des Métiers de la Forme (BEMF) par le biais d’une formation par alternance qui m’a permis de lier théorie et pratique.
Comme je le disais, je me suis mis à la musculation, à 15 ans, de manière simple (pompes, abdos, exercices avec haltères), puis j’ai rencontré les bonnes personnes et surtout j’ai mis toute ma détermination pour apprendre et réussir. Je cumule maintenant 6 années de pratique de la musculation et 2 années de pratique du fitness.
Expérience pédagogique :
C’est par la musculation que j’ai découvert le monde de la remise en forme, c’est par la musique que je fais la différence dans le domaine du fitness.
Je crée ma propre animation avec des musiques des années 80 à 2000, mes propres chorégraphies, je fais chanter mes clients, des hommes et des femmes de 20 à 50 ans. Mes cours de bike ou de step sont très différents de ceux des autres professeurs de ma salle et sont très fréquentés. J’amène quelque chose de plus.
Hors de des cours collectifs, je passe autant de temps à l’animation du plateau de musculation à dispenser des conseils aux divers pratiquants. Ma collaboration avec Grégory CAPRA me permet maintenant encore plus de développer cet aspect grâce à une démarche totalement individualisée.
Dans un tout autre domaine, j’ai exercé mes qualités pédagogiques en qualité de professeur de guitare et d’animateur dans un centre de loisirs pour enfants et pré-adolescents.
Spécialités :
- Musculation (masse et fitness),
- Amincissement,
- Stretching,
- Bike,
- Step,
- Arts martiaux.
- BEES Métiers de la Forme,
- BAFA,
- Formation à la méthode Grégory Capra,
- Formation en conseils alimentaires Grégory Capra.
Marseille - Bootcamp renforcement musculaire
Maintenant, le haut du corps avec les agrès du parc, le mobilier urbain et une sangle, il faut savoir profiter de tout : tractions (bravo Frédéric, tu as assuré), tirage nuque, pompes, curls biceps,...
Retour sur la pelouse pour un travail des épaules puis des abdos avec du gainage et des relevés de buste. Maintenant le soleil est carrément arrivé !!
Maintenant, repos et au week-end prochain... On va monter en gamme pour rattraper les parisiens !
Me contacter : manager@gregory-capra.com
lundi 24 janvier 2011
Geoffroy en Amérique latine
Geoffroy, coach Capra à Bordeaux, poursuit son trip en Amérique latine et nous envoie ce petit message : "J espere que ca va bien. Ici ca tube.... Que le vaya bien, Geoffroy".
Pour contacter Geoffroy : manager@gregory-capra.com