Rencontre avec Maureen B., présidente de l'association Paris Cockerels, et bootcampeuse d'un jour, en compagnie de deux bootcampeurs.
Contrairement à l'annonce de la météo, le ciel est resté clément ce dimanche tant au bootcamp à Vincennes qu'aux abords de la Tour Eiffel pour l'entraînement du football australien au stade Emile- Anthoine, rue Jean-Rey, 75015 Paris.
Le lieu était bien choisi, puisque l'Ambassade d'Australie se trouve à deux pas...
Composé d'un ballon conique – qui lui n'a pas fini sa course dans les douves du château de Vincennes, le football australien se pratique à 18 contre 18. En Europe, c'est plus limité à 9 contre 9. Avant de se lancer sur le stade, la découverte des passes s'impose.
Choisi par Maureen que nous retrouvons sur place,notre entraîneur d'un jour P-H, élève ingénieur dont l'école lui a fait permis de pratiquer le football australien, qui nous fait découvrir ce sport. Il nous explique le «hand-pass» et le «kick». Le «hand-pass» permet de faire passer le ballon à son partenaire sur le terrain. Il faut tendre le bras gauche en avant, tenant le ballon, et avec la main droite le lancer, comme un service au volley. Le «kick» est un frappé du pied pour envoyer le ballon le plus droit possible à son partenaire pour une distance plus longue. Toute l'astuce est de maintenir le ballon avant la frappe, les poignets retournés et la pointe du ballon vers le pied pour assurer une trajectoire rectiligne.
Explications du coach, P.H., à Maureen et ses deux recrues
Ces formalités étant faites, l'équipe commence l'entraînement autour du stade. Puis enfin le match arrive...
«Les Australiens naissent avec un ballon comme biberon» nous indique P-H, tellement leurs frappes sont précises et droites. Maureen nous explique les règles.Un but marqué entre les poteaux, c'est 6 points de marqué, à l'extérieur, 1 points sous réserve d'être dans le cadrage des 2 autres poteaux extérieurs. Le joueur qui prend le ballon, doit le poser par terre tous les 10 mètres. Le jeu s'arrête à réception du ballon par l'équipe adverse.
On retrouve les pratiques du rugby avec le ballon qui part en l’air. «Come on, Greg» crie un des joueurs australiens de l’équipe !
Come on Greg !
Les mêlées du rugby ne sont pas loin !
Les petits nouveaux, plus sages, étaient sur le banc de touche, encourageant tour à tour chacune des équipes. Après avoir observé, les jeunes femmes se sont essayées à leur premier match !!!
Retrouvez cet article sur le blog des Paris Cockerels, l'équipe de football australien de Paris : http://pariscockerels.wordpress.com/
Article rédigé par "Le Poulpe", bootcampeur Capra
Pour me contacter : manager@gregory-capra.com
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