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dimanche 10 avril 2011

Bootcamp Capra Paris - Jeu de jambes

Marathon de Paris

40 000 coureurs dans le bois de Vincennes et nous et nous... enfin, les braves ! Les autres avaient déserté pour quelques jours de vacances à l'île de Ré, dans les Pyrénées, à Rome, à Chicago, à Bali. Nous excuserons ceux qui étaient à Dublin ou Marrakech pour le boulot. Certains ont voulu expliquer leur absence par leur inscription au marathon de Paris. Difficile à croire !


Merci aux nouveaux tout juste arrivés de Sens et de Washington DC.


Saut

Maxime avait choisi pour thème de ce bootcamp "Jeu de jambes", non à cause du marathon de Paris, mais à cause de sa qualité de boxeur et pour préserver son dos et son épaule victimes de contractures. Maxime a expliqué qu'il était faible et avait des carences ! 1m75 80kg sec... personne ne l'a cru !


Arnaud au sprint

Sous un soleil radieux, après quelques foulées, l'entraînement commence par un échauffement musculaire rapide, histoire de faire monter le rythme cardiaque, puis un défi opposant deux équipes : sprint, saut, spint puis sprint, pompes, sprint,...


Maxime explique

Finalement remis de sa blessure au dos et à l'épaule, Maxime enchaîne avec des séries de pompes. Pour faire travailler complètement les muscles pectoraux. Toutes les sortes de pompes y passent bras écartés d'un mètre, bras à largeur d'épaules, mains serrées (mi corazon),...

Mi Corazon

Pompes avec pieds surélevés

Encore plus dur

Quand cela devient trop facile, Maxime innove : pompes avec pieds surélevés, posés sur le dos d'un partenaire en gainage, pompes à deux avec pieds surélevés pour l'un et supportant partiellement le poids de son partenaire pour l'autre.


Maxime vs Arnaud
Trop d'amour entre ces deux-là, Arnaud a droit à 30 pompes de plus avec Maxime !
Fessiers

La séance continue avec un travail des fessiers et des abdos. Noë a pris l'appareil et réussit quelques belles photos en gros plan (voir l'album sur Facebook).


Stretching

Pour finir, une séance complète d'étirements : mollets, cuisses, dos,... toujours sous le soleil, avant un retour en machant vers le château de Vincennes. Les marathoniens ne sont plus là...

La salade

Difficile d'innover pour la photo finale. Maxime propose "une salade" tandis qu'Arnaud se remémore ses années dans la troupe du Cirque du Soleil !
Pour participer au prochain bootcamp : manager@gregory-capra.com

vendredi 8 avril 2011

Bootcamp Capra Paris - Reprise en main - Les dernières vidéos



Mêlée


Kevin, notre sergent instructeur, est aussi un joueur de football américain, c'est cela qui a dû lui inspirer de nous demander de faire une mêlée... C'est là que Nicolas s'est pris pour Michalak !




Le tunnel


Kevin nous a demandé de faire "un tunnel". Là, nous avons compris pourquoi il fallait apporter des tenues de rechange. Appréciez la métode utilisée pour motiver les recrues !




Rampe !


Pas de pitié pour les bleus bites, tout le monde rampe devant le Chef ! Et vite...


Attention méga bootcamp militaire sous les ordres de Kevin, dimanche 1er mai. Soyez tous présents, tous au rapport !


Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

Kilian : 3 médailles aux championnats de France Cadets de judo

Kilian - Coach Capra Paris

Kilian, coach Capra à Paris, est avant tout un professeur de judo reconnu. Pour la deuxième année consécutive, trois de ses élèves de l'AJ91 Longjumeau-Massy décrochent une médaille aux championnats de France Cadets (13 et 14 ans) qui se sont tenus les 2 et 3 avril 2011 à l'institut du judo à Paris.

"Ca fait crier !" comme dit Kilian...

Pour contacter Kilian : manager@gregory-capra.com

jeudi 7 avril 2011

Entretien avec le patineur du IIIème millénaire, Florent Amodio

Florent Amodio

Une nouvelle étoile du patinage est née. Doté d’un patinage frais, dynamique, vivant et novateur, Florent Amodio, lifte le patinage en amenant avec lui de nouvelles musiques, de nouvelles chorégraphies, une nouvelle façon d’appréhender la glace. Portrait d’un show man, aussi talentueux que gentil. Le sport aime les belles histoires. Celle de Florent Amodio en fait partie. Patineur artistique, artiste, danseur, champion de France Elite 2010, médaillé d’argent au TEB 2010, Florent est né le 12 mai 1990 à Sobràl ( Ceara au Brésil ). Abandonné par sa mère à sa naissance, il est adopté par un couple de français. Il grandit à Frémanville dans le Val d’Oise. Sa mère est institutrice et son père travaille dans l’informatique. Le couple a également adopté une petite fille du même village que Florent. Il aurait pu traîner dans les favelas, ou devenir footballeur. Mais la vie en a décidé autrement et c’est sur la glace que son génie s’illustre. Celui-ci commence le patin à 4 ans, précoce, en compagnie de ses parents lors d’une séance publique. Remarqué par Bertrand Glesser, l’entraîneur du club de Cergy-Pontoise. « J’étais en train de donner un cours et je vois passer un petit bonhomme entre mes jambes. J’ai trouvé qu’il avait un sacré coup de patin. J’ai demandé à ses parents s’ils voulaient bien me le confier. Trois ou quatre mois après, il était déjà avec moi en stage. A partir de là, on a commencé notre histoire et ça fait quinze ans maintenant », raconte Bernard Glesser lors d’une interview en décembre 2009 lors des championnats de France à Marseille. Doué et volontaire, doté d’un impressionnant sens du rythme, Florent progresse donc très vite. Au début de sa carrière sportive, Florent Amodio commence ses premières compétitions et gagne le titre de champion de France minime en 2002. Il va connaître au cours de sa formation des blessures graves au genou entre 2002 et 2004. Ce coup du sort en aurait découragé plus d’un, mais Florent est d’une nature optimiste et rechausse ses patins persuadé que sa maladie l’a rendue plus fort. Je continue avant de lui laisser la parole. La suite lui donne donc raison puisqu’il obtient rapidement de bons résultats. 2009/2010 sera l’année de la consécration : un titre de champion de France et une belle 12ème place au JO de Vancouver le font passer d’espoir à celui de outsider.


Kevin Fortin : « Florent, peux-tu donc rapidement te présenter ? » Florent Amodio : « Je suis donc Florent Amodio, né au Brésil en 1990. Actuellement je vis à Paris. Je suis champion d’Europe de patinage artistique. J’ai décroché mon bac STG en 2007 et j’ai obtenu mon brevet d’éducateur sportif dans la foulée. Et là je vais attaquer STAPS à l’INSEP. Je vis à l'INSEP à Vincennes. Je suis coaché à la fois par Nikolaï Morozov et Annick Dumont. Quand je dis que je vis à l’INSEP, en fait c’est pas si simple. Je prépare mes championnats avec Nikolaï et quand je suis en France, je suis entraîné par Annick. Mais je suis aussi très souvent aussi à New York. Donc je vis entre Paris New York et Moscou. »

KF : « Qu’aimes-tu ? Hobbies, sortie, musique… ? »

FA : « J’aime la musique, celles des clubs, des boites de nuit. J’aime essentiellement le R’n’B, mais en fait j’écoute un peu de tout, allant des Blacks Eyes Peas à Mickael Jackson. Je suis addict à mon Ipod. Je ne peux pas vivre sans mon Ipod. Et puis, bah, j’aime les belles femmes, les belles voitures ... J’aime aussi jouer au foot , écouter du hip hop, danser, beaucoup au sol. Je kiffe la vie à chaque instant ! »

KF : « Comment se passe l’alternance entre la Russie avec Nicholai et Champigny avec Annick ? »

FA : « Très bien, j’ai vraiment trouvé mon équilibre !! Ce sont deux coachs géniaux à mes yeux et j’apprends tous les jours et c’est le principal ! Ma nouvelle équipe me correspond et ils nous restent pleins de belles choses à faire!"


KF : « D’ailleurs, très souvent, et ce fut le cas au TEB, tes sons font mouches, et dépoussièrent un peu ce que traditionnellement l’on peut entendre. A ce sujet, Annick Dumont dit de toi, je l’a cite « Florent ne ressemble à personne. Il a un coté félin et danse comme personne. » Mais pour autant tu restes humble et tu as su garder la tête froide là où certains aurait pris le melon. »


KF : « Tu as un parcours à ton image, assez atypique. Commencer à patiner à 4 ans là où certains courent, font du vélo… »

FA : « Oui en effet j’ai commencé le patinage à 4 ans et de fil en aiguille parce que j’aime mon sport, j’étais plutôt doué, petit, et heureux de faire ce sport surtout. Alors en alliant les podiums au bonheur procuré et ressenti, j’ai continué et bossé de plus en plus pour en arriver là ! »

KF : « Après ton BES, tu suspends tes études pour te consacrer à fond au patinage et cela a payé vu ton palmarès. Toi qui, rappelons-le, est le plus jeune des trois représentants français ayant été au Championnat d’Europe de patinage artistique à Berne (en Suisse). Redis-nous ton palmarès »

FA : « Champion de France 2010 / 12eme JO de Vancouver / 1er finale des grands prix junior / 3eme au NHK ( Japon 2010 ) / 2ème au Bompart / 6eme final senior / champion d’Europe »

Florent incarne sans aucun doute la relève du patinage tricolore. Entré chez les seniors la saison dernière, il n’a connu qu’une grande compétition, les JO de Vancouver où il termina 12ème. Cette saison, il a franchi un cap en choisissant de quitter son entraîneur de toujours, Bernard Glesser, qui l’a connu à 4 ans pour s’entraîner avec le russe N. Morozov. Un choix qu’il n’est pas près de regretter."

KF : « Venons en au sport que tu pratiques. Peux-tu nous le présenter ? Es-tu pro, semi. Tu es en catégorie senior ? Quelle est la différence entre junior et senior ? »

FA : « Nous sommes amateurs, c’est-à-dire pas de salaire fixe. Je suis patineur individuel, c’est-à-dire que je patine seul et dois effectuer un max de difficultés sur la glace. Nous avons deux programmes, un court qui dure 2"50 max et un programme long qui dure 4"40 max ( c’est extra physique ) car c’est de l’effort non stop ! »


KF : « Pour en être là aujourd’hui, avoir ce niveau, tu t’es beaucoup entraîné, en quoi d’ailleurs consiste un entraînement ? Comment choisis-tu musique, costume ? »

FA : « Pour les entraînements, en fait, tout dépend de la période. Si l’on prépare une compétition ou si l’on est dans une phase d’apprentissage, il peut y avoir des entraînements basés simplement sur la technique, d’autres que sur la condition physique, d’autres sur le montage de programmes, d’autres sur les pirouettes ... »

KF : « Justement, tiens, quel est ton choix au niveau du placements de combinaison, des sauts ? Quelle est ta signature patinistique ? »

FA : « C’est le coach qui décide de tout ça ! »


KF : « Points forts et points faibles ? »

FA : « Mon point fort : danseur , je kiffe la vie donc je le fais sentir au public et ça aide vachement , au niveau des expressions, du dynamisme… Mon point faible : je n’ai pas encore le quadruple. »


Florent, est d’un petit gabarit (1m65) mais c’est un véritable show man ( je confirme pour l’avoir vu en live) qui a besoin d’assurer un spectacle pour performer et du soutien du public qu’il n’hésite pas à solliciter. C’est un danseur-né qui puise dans ses racines brésiliennes pour briller. Il a sa vision du patinage « Ma vision du patinage, c’est moi qui m’amuse. J’ai vraiment conscience de ma chance ». Florent est aussi le symbole du passage de témoin Joubert-Amodio. L’entraîneur national, Annick Durant, ne tarit pas d’éloges sur ce dernier « Il est comme un papillon sur la glace ».


KF : « Ton meilleur et pire souvenir ? »

FA : « Le meilleur c’est ma victoire au championnat d’Europe bien sur (sourire) et mon pire ce sont les championnats du monde junior, lors de mon programme court où je fais le pire programme de ma vie mais j’en ai tiré un max de leçons c’est le principal ! »

KF : « La patinoire où tu préfères faire des galas »

FA : « Toutes du moment que le public est bouillant ! »

KF : « As-tu un modèle de patinage ? »

FA : « Lambiel et Plushenko ! »

KF : « A quoi ressemble la journée type d’un patineur en stage de préparation (du lever au coucher ) »

FA : « patin patin patin ! (sourire) »


En effet, lors de ces périodes, Florent passe plus de 5 heures par jour sur des patins. Entraîné depuis le mois de mai 2010 par Morozov, ancien danseur sur glace, Florent Amodio a travaillé sa chorégraphie et donne de l’ampleur à ses programmes. Ne lui manque sans doute qu’une palette technique un peu plus étoffée.


KF : « Que vas-tu spécifiquement travailler comme points cette année afin d’atteindre tes buts. »

FA : « Le quad devient la priorité ! » Car notre prodige n’a encore jamais passé en compétition le quadruple saut, la plus grande difficulté. « J’aimerais bien mettre le quad dans le long. Ce serait une avancée dans mon travail. L’image que j’ai de moi, comme étant le meilleur du monde, c’est avec le quad. »


KF : « Quels sont tes objectifs cette année, le gros enjeu ? »

FA : « Je pense avoir rempli totalement mon objectif en devenant champion d’Europe mais maintenant ce n’est que le début. Je dois continuer à bosser mais cette saison était magnifique !! »


KF : « Quels sont tes ambitions, tes projets, tes envies ? »

FA : « Mes ambitions… continuer à être heureux, transcender un max de foules ! Mes envies futures… Continuer sur ma lancée continuer à bosser et rafler le max de médailles !


KF : « Même si tu es encore jeune et que tu as sans nul doute un très bel avenir devant toi, penses-tu déjà à ta reconversion ? Si oui, vers quel domaine ? »

FA : « Oui même si c’est très flou, j’aimerais bosser soit à la télé, soit radio. On verra bien, je tiens juste à profiter pour le moment de chaque instant car c’est juste un rêve qui devient réalité !! »


Les futurs championnats du monde (prévus initialement au Japon) devaient permettre à Florent « de refaire de grosses performances comme à Berne » et commencer la montée progressive vers les sommets en direction de Sotchi 2014. Souhaitons lui que malgré les évènements et leurs déplacements, il pourra concrétiser ses projets.


Article rédigé par Kevin Fortin


Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

lundi 4 avril 2011

Bootcamp Capra Paris - Reprise en main - Les premières vidéos

Pour faire suite au compte-rendu de Nicolas, voici en vidéo ces exercices bizarres appelés "les randoris sautillants" ou "la chaise bancale". Les sportifs souffrent mais la bonne humeur est là. Il faut dire que Kevin fait ce qu'il faut pour les encourager !




Randoris sautillants




La chaise bancale


Allez, venez nous rejoindre dimanche prochain !


Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

Jérôme : Triathlon Argentine 2011

Jérôme, concentré avant le départ

Jérôme, un des sportifs dont je m'occupe et dont j'ai relaté les performances au duathlon de Creil le week-end dernier, participait hier au Triathlon Argentine 2011. N'allez pas imaginer Buenos-Aires, la Casa Rosada, les boîtes à tango, ... , il s'agit du triathlon de la ZUP Argentine de Beauvais, là on tombe de haut, non ! Surtout lorsque l'on se remet dans l'ambiance météo d'hier (cf le résumé du bootcamp "Reprise en main" dans la boue) !


Jérôme était inscrit dans la catégorie la plus élevée de ce triathlon, dite "Sprint" : 750m de natation, 20km de vélo, 5km de course à pied. Il termine 29ème en 1h 02mn 13 sec. Jérôme améliore sa performance de 7mn 30sec par rapport à l'an dernier. Une progression énorme !

Jérôme : "une bonne natation"

Jérôme : "une partie vélo où j'ai bien progressé, mais il y a encore du boulot"

Jérôme : "une partie course à pied !!!"
Bravo à Jérôme ! Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

dimanche 3 avril 2011

Bootcamp Capra Paris - Reprise en main

Kevin, faut reprendre les choses en main !

Aujourd'hui, c'est mon premier bootcamp. Voilà de nombreux mois que Kevin me travaille au corps pour que je participe. Jeudi soir encore, il m'a dit : "Viens Nico, tu es le Gourcuff qui manque à cette équipe, je compte sur toi". Grand seigneur, je ne lui en ai pas voulu, je sais que Yoann ne joue pas très bien en ce moment...


Ma décision est prise, je vais les sauver. Mon réveil sonne à 5h00. Le doute m'assaille une seconde, il pleut... mais, comme Yoann, je suis un breton, quelques gouttes ne me font pas peur. L'aventure commence...


Après avoir traversé Paris d'ouest en est, me voilà à Vincennes à 10h30. L'organisation est manifestement défaillante, le lieu de rendez-vous n'est pas au CSO mais devant le château. Faute de goût !

Petites foulées

Nous partons en petites foulées jusqu'à une clairière isolée de tous et de tout dont seul Kevin connaît l'existence. Là, à l'abri des regards indiscrets, la séance de torture peut commencer. Jusqu'à ce jour, le canard était pour moi un animal d'autant plus sympathique qu'on l'avait gavé et qu'il finissait dans mon assiette mais, aujourd'hui, c'est devenu un animal cruel qui n'a qu'un seul objectif : celui de me casser les jambes (pas les pattes, ni les pieds,..). Aucun animal ne pouvant illustrer le pas chassé, le talon-fesse ou la montée de genou, fin de la séance zoologie (j'en vois déjà qui vont détourner ma pensée...).


Les choses sérieuses vont commencer

Randoris sautillants

Mêlée

Kevin ayant, tout comme moi, un sens aigu de l'observation et de la psychologie, nous passons à un entraînement en corps à corps : petits randoris sautillants (ne suivant que leur plus vil instinct, certains ont terminé en randori dans la boue), petits exercices de chaise (façon Philippe Stark, très bancale), mêlée virile 15 contre 15 (moi qui n'avait jamais fait de rugby de ma vie, j'ai enfin compris le succès de ce sport qui vous permet d'avoir la tête dans l'aisselle de votre partenaire tandis qu'un gai compagnon vous caresse la nuque). Visiblement, les autres bootcampeurs apprécient aussi.


Bataillon d'abdos

Motivation avant de ramper sous le tunnel !

Franchir le pont


Sur ces entrefaits, histoire de libérer la tension accumulée par tant de testostérone (je vous épargne les intermèdes pompes et abdos), nous passons donc au pont et au tunnel mais remarquons que notre photographe respectant la déontologie de son métier vous épargnera les photos les plus compromettantes. Votre journaliste lui se fait un devoir de reporter certaines déclarations des participants : "C'est mon fantasme de me faire chahuter par une équipe de rugby !".


Tout ruisselant de sueur après tant d'efforts, les muscles congestionnés par l'afflux de sang, le visage couvert de boue, les vêtements déchirés, le regard hagard et le souffle court, Kevin juge que le moment des étirements est venu. On pourrait croire que c'est le plus simple des exercices, mais non, il ne faut pas confondre sa droite de sa gauche !


Combat de charentais


Mission accomplie, il ne restait plus qu'à faire la photo finale qui est, paraît-il, de tradition, mais pas n'importe où, dans le ruisseau, et pas avant que deux bootcampeurs, visiblement satisfaits par la séance de rugby ne se soient adonnées à une séance de mud-wrestling.


Photo finale dans le ruisseau !


Vous vous posez donc la question : "Est-ce que je reviendrai ?". Réponse dans quinze jours...


Article rédigé par Nicolas, à l'issue de son premier bootcamp.

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

samedi 2 avril 2011

Le massage sportif

Massage sportif

J'ai mis en place depuis quelques mois une activité nouvelle : le massage. Je précise bien qu'il s'agit de massages stimulants ou relaxants mais non thérapeutiques.


Aujourd’hui nous allons nous attarder sur un massage normalement réservé aux sportifs de haut niveau mais que je propose à tous : le massage sportif. Ce massage possède des vertus relaxantes et apaisantes surtout après un effort physique. Il permet notamment d’éviter les crampes ou encore les déchirures musculaires.


Les sportifs amateurs peuvent aussi bénéficier de ce massage qui procure des effets bénéfiques lors d’un entraînement. Il est pratiqué avant et surtout après l’effort pour prévenir la douleur et les blessures ainsi que pour compléter le processus de récupération.


Les bienfaits du massage sportif


Un peu comme l’échauffement, le massage permet de mettre le corps en condition avant un effort physique. C’est un massage assez tonique qui consiste à malaxer le corps pour agir sur la circulation sanguine. Il est vigoureux et direct. Plusieurs techniques sont utilisées : la friction, le pétrissage, les effleurements ou encore les percussions.


Certains massages peuvent être pratiquées avec de l’huile. Les amateurs peuvent aussi bénéficier de ce massage car malgré les effets bénéfiques du sport, certains mouvements sportifs exécutés à tort et à travers peuvent nuire à la santé. Pour que le massage soit efficace, il est nécessaire de boire un litre d’eau après l’effort ainsi qu’après le massage.


Le massage sportif est donc à la fois préventif et curatif car il permet d’éviter les claquages durant l’effort physique, il permet d’éviter rapidement les douleurs dues aux crampes et les tensions qu’elles peuvent provoquer. Ce massage agit directement sur les zones concernés et agit rapidement.


Envie de tester le massage sportif ? Me contacter : manager@gregory-capra.com

vendredi 1 avril 2011

Bilan du mois de mars 2011

Mars 2011, un mois bien calme..., il va falloir se réveiller ! Je compte sur vous !!! Voici les statistiques. Nombre de visites sur le mois de mars 2011 : 9 965 avec un minimum de 180 visites journalières et un maximum de 637. Le nombre de visites est toute de même en progression de 5,8% par rapport au mois de février 2011.

Les nageurs français

La page la plus lue sur le mois, avec 759 visites, est un article rédigé en août dernier par Kevin Fortin. Pourquoi cet article refait-il surface ? Peut-être grâce aux championnats de France de natation qui ont eu lieu du 10 au 13 mars dernier à Dunkerque.


Pour relire cet article :


http://gregory-capra.blogspot.com/2010/08/zoom-sur-la-natation-francaise.html


Grégory Capra pour Têtu Men


La page la plus lue sur une journée avec 361 visites est un article consacré aux compléments alimentaires que j'ai rédigé pour le blog du magazine Têtu... une collaboration que j'apprécie toujours !


Pour relire l'article :


http://gregory-capra.blogspot.com/2011/03/proteines-gainer-creatine-le-point-sur.html


Bootcamp Capra à Vincennes


Un record a été égalé ce mois-ci, celui du nombre de participants au bootcamp hebdomadaire. C'était dimanche dernier, un bootcamp "Spécial Charlotte" animé par Sylvio. Quand est-ce qu'on bat ce record ?


Pour relire le compte-rendu de ce bootcamp :


http://gregory-capra.blogspot.com/2011/03/bootcamp-capra-paris-special-charlotte.html



Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

jeudi 31 mars 2011

Jérôme : Duathlon de Creil


Le départ


Dimanche 27 mars 2011, première compétition de la saison pour Jérôme, un des sportifs que j'entraîne en coaching individuel et qui participe régulièrement au bootcamp Capra de Vincennes. Jérôme raconte...


J’ai participé ce dimanche à la première compétition de la saison : le duathlon de Creil. Le duathlon est une épreuve qui enchaîne 5 km de course à pied, 20 km de vélo et de nouveau 2,5 km de course à pied.


La particularité de cette épreuve est qu’elle se courait en équipe de 3, 4 ou 5 duathlètes, le but étant de passer la ligne au minimum à 3. Le départ est donné toutes les minutes.


Mon équipe était composée de 5 coureurs : Quentin (un jeune à l’avenir très prometteur), Denis, Bertrand, Jean Michel et moi.


Après avoir mis un peu de temps à rassembler l’équipe pour retirer les dossards, installer le matériel dans le parc à vélo, les premières équipes s’élancent. Notre départ approche, nous sommes la 15 ème équipe sur la grille de départ. Ca y est, on nous appelle, le cœur bat fort. Et voilà le départ est donné !!!!


Tous en selle



Nous nous élançons pour les 5 premiers kilomètres de course à pied. Nous partons à vive allure, j’impose le rythme mais derrière ça commence à grogner. Jean-Michel, blessé au genou, nous demande de ralentir. La première côte arrive, on contrôle gentiment le rythme. Pour moi, les jambes sont là mais il vaut savoir la jouer en équipe. Après le côte, une descente un peu casse gueule et hop le plat, où le train s’impose de lui-même. On entame la deuxième boucle, et là, au moment d’aborder la cote, Jean Michel rencontre beaucoup de difficultés. On décide de le lâcher et de continuer sans lui. On termine le parcours un ton au dessus avant d’entrer dans le parc à vélo. La transition est longue (on perd peut-être 2 min). Mais nous voilà, enfin, tous les quatre en selle pour aborder la partie vélo.


Arrivée


Je pars un peu dans l’inconnu, car le vélo est loin d’être mon point fort. Le parcours est assez sélectif car au bout de 2 km, il y a une grosse montée à plus de 7 %. Les cuisses chauffent mais je me sens bien et sans m’en rendre compte j’ai déposé mes coéquipiers. Je les attends sur le plateau et nous partons tous en ligne à prendre des relais. Les relais s’enchaînent aussi vite que les kilomètres. On encourage, au passage, les autres équipes du club. On termine la première boucle et nous repartons sur la deuxième avec cette fameuse cote à 7 %. Et rebelote, je redépose mes coéquipiers. Une fois qu’ils m’ont rejoint, je tente de mener le tempo, vu qu’ils commençaient à être un peu émoussés. Mais, ça ne roule pas au point que Denis nous abandonne. Donc, nous continuons à trois. Là, plus le droit à l’erreur. J’enchaîne les relais avec Quentin et nous bouclons le parcours vélo avec des pointes à 49 km/h. La transition se fait plutôt bien et nous partons pour le dernier tour de course à pied.


A peine après avoir démarré, Bertrand se plaint d'une crampe au niveau des mollets. Il faut qu’il tienne mais il y a là côte où Jean-Michel a lâché. Je calme le rythme pour lui permettre de récupérer. Une fois la côte montée, ça suit. On se cale sur le tempo de Bertrand, je l’encourage, il serre les dents et s’accroche. Plus que 300 m, on décide d’accélérer et de terminer au sprint.


Je passe la ligne en premier. Le chrono tombe 1h06 min 49s, soit 10 min de mieux que l’année dernière avec la même équipe. Nous terminons à 4 min des Cadors du club. Et de mon point de vue, j’ai eu de très bonnes sensations sur cette épreuve.


Jérôme - Sportif Capra


Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

lundi 28 mars 2011

Dublin Castle : The coach house

Dublin Castle : The coach house

Hier, il est parti à Dublin. Ce sportif Capra s'est donné à fond, ces deux derniers mois, transpirant jours et nuits dans des exercices endiablés. Il avait peur de manquer dans la capitale de cette contrée reculée. J'ai promis de m'occuper de lui. Déjà, j'ai trouvé "The coach house" dans la cour du château de Dublin. Je peux organiser des séjours sportifs n'importe où !


Et comme du château de Dublin au château de Vincennes, il n'y a qu'un pas, je l'attends dans quinze jours pour vérifier sa condition physique lors d'un bootcamp Capra. Donc pas trop de Guiness !

To contact me : manager@gregory-capra.com

dimanche 27 mars 2011

Bootcamp Capra Paris - Spécial Charlotte

Un coach dans la brume

Il fait beau, ce matin, comme vous dites à Paris. C'est à dire qu'il ne pleut pas ou presque... Pourtant une affluence importante est enregistrée pour ce bootcamp, le record précédent est égalé ! Les habitués et beaucoup de petits nouveaux que j'avais bien travaillés au corps. Je suis très content de leur présence.

Charlotte et Maylis

La raison de cette affluence ? Le départ de Charlotte vers la Côte d'Azur et donc son dernier bootcamp (last but not least). Une Charlotte très en forme et dont j'espère l'énergie n'aura pas désarçonné les nouveaux.


Squats chargés

Une grande prairie est nécessaire pour faire transpirer tout ce monde. Départ en footing vers le bois de Vincennes, une allée cavalière et un grand espace enherbé. Quelques squats chargés suivis d'un sprint pour tenter de calmer tout le monde. Sylvio a fort à faire ...


Pompes

Des pompes sur le rythme du Chef : en bas, en haut, au milieu... Et pour les filles, du gainage... Trop gentil, le Chef ! Quelques courses en brouette, quelques portés,...

Abdos

190 abdos, après 80 squats et 40 pompes, ça vous dit ? Lessive obligatoire au retour à la maison ! Footing vers le château en footing. Charlotte insiste pour transporter Sylvio sur son dos. Il manque de vomir et met fin prématurément à cette chevauchée fantastique.

Photo de groupe

Quelques étirements et la photo de groupe finale. Y aura-t-il des courbatures demain ? Je l'espère ! Et vous comprendrez pourquoi en lisant la suite...

Sylvio et Charlotte

La boucle est bouclée. Charlotte avait suivi son premier bootcamp sous la direction de Sylvio. Et donc le dernier aussi. Nul doute que cette photo fera le chemin jusqu'à Opio !


Spécial dédicace pour Greg !

Pour finir, les bootcampeurs demandent un gros plan sur leur mollets. Une spécial dédicace pour moi, une provocation à laquelle je réponds en demandant que le thème du prochain bootcamp soit : "Reprise en main". Rendez-vous dimanche prochain !
Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

samedi 26 mars 2011

Concours photo : Jérémie (92)

Jérémie par -7°C à Tignes

"Cette photo a été prise le 20 mars 2011, à Tignes, à 2500 mètres d'altitude. Il devait faire moins 7 degrés, mais, avec le soleil, cela ne donnait pas l'impression de froid. C'était à l'arrivée d'une remontée mécanique (pour ne pas dire tire-fesses... lol). C'est le dernier point d'un sommet, on ne pouvait pas aller plus haut.
L'endroit était superbe, je voulais, avec des amis, faire une photo gag. J'avais vu sur ton profil une photo qui m'a donné l'idee de faire pareil.
La surprise des skieurs à l'arrivée du tire-fesses de me voir torse nu en train de me faire shooter !"

Jérémie - Boulogne-Billancourt (92)

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

Le hockey sur glace


Les gladiateurs !

Roi des sports d’équipe sur glace, Kevin Fortin vous propose un sport de gladiateurs. Munissez–vous d’une crosse, de vos patins et d’une bonne dose de testostérone, et allons jouer au hockey !

Le hockey sur glace, appelé le plus souvent hockey, est un sport d’équipe se déroulant sur une patinoire spécialement aménagée. L’objectif est de marquer des buts en envoyant un disque de caoutchouc vulcanisé, appelé rondelle ou palet, à l’intérieur du but adverse situé à une extrémité de la patinoire. L’équipe, qui comprend un gardien de but et cinq joueurs de champ, se déplace en patins à glace et manipule la rondelle à l’aide d’un bâton de hockey, également appelée crosse en France et canne de hockey en Belgique et en Suisse.
Le hockey est originaire du Canada et s’est développé à la fin du XIXe siècle en Amérique du Nord. Sport de vitesse, il est souvent surnommé « sport collectif le plus rapide du monde ».


Hockey sur glace


Histoire : Depuis l’antiquité, l’homme a joué à des jeux où un objet était frappé avec un bâton incurvé. Par exemple, une peinture de Pieter Bruegel (père), « Les chasseurs dans la neige »(1567), montre des joueurs qui utilisent des bâtons courbés pour jouer avec un petit objet sur la glace.

L’utilisation du mot « hockey » pour désigner de tels jeux est attestée depuis 1785 (1527 pour hockie) mais son étymologie est incertaine. Il dérive peut-être du vieux mot français d’origine germanique hoquet (bâton de berger, crochet), ou de l’hokkie hollandais, diminutif de hok (chenil ou cabane et désignant dans ce cas les cages de but). Beaucoup de ces jeux furent développés pour les champs, mais furent joués également sur la glace, comme on le voit sur certaines peintures hollandaises du XVIe siècle. Cependant les origines du jeu moderne se trouvent en Amérique du Nord. Les immigrants européens ont apporté en Amérique du Nord une multitude de jeux similaires au hockey, tels que le shinty écossais, le Bazhig kamm joué en Bretagne, le hurling irlandais et le hockey sur gazon, joué en Angleterre. Ces jeux semblent avoir été adaptés pour être joués sur la glace, et avoir importé certains aspects du jeu de la crosse (comme la dureté physique) joué par les Amérindiens de la famille iroquoise.

En 1825, Sir John Franklin écrivait : « Le jeu de hockey joué sur la glace était le sport du matin » sur le Grand lac de l’Ours durant une de ses expéditions arctiques. En 1843, un officier de l’armée britannique à Kingston (Ontario) écrivait : « J’ai commencé à patiner cette année, m’améliorant et j’ai eu rapidement un grand plaisir à jouer au hockey ». La Society for International Hockey Research indique, en se référant à un article de la Boston Evening Gazette de 1859, que la première partie de hockey sur glace eut lieu à Halifax cette année-là. La première partie à utiliser une rondelle au lieu d’une balle eut lieu en 1860 sur le port de Kingston entre d’anciens vétérans de la Guerre de Crimée. Cependant, les villes de Windsor et de Dartmouth, toutes les deux en Nouvelle-Écosse, revendiquent également le privilège d’avoir vu naître le hockey sur glace.
Le développement du jeu moderne eut lieu à Montréal au Québec. Le 3 mars 1875 fut joué le premier match codifié au Victoria skating rink de Montréal. En 1877, des étudiants de l’université McGill (James Creighton, Henry Joseph, Richard F. Smith, W. F. Robertson et W. L. Murray) rédigèrent sept règles et le premier club, le McGill University Hockey Club, fut fondé en 1880. Le jeu devint si populaire qu’il fut présent au carnaval d’hiver de Montréal de 1883. En 1885, A. P. Low introduisit le hockey à Ottawa. Durant la même année, un second club fut créé à l’Université d’Oxford. En 1888, le nouveau gouverneur du Canada, Lord Stanley (dont les huit fils et deux filles devinrent des amateurs de hockey), impressionné par le match qu’il vit au tournoi de 1888 du Carnaval d’hiver de Montréal, décida de créer un trophée pour récompenser la meilleure équipe de ce même tournoi en 1889. La Coupe Stanley fut attribuée en 1893 au champion amateur du Canada, les Montréal AAA. À cette époque, Montréal regroupait une centaine d’équipes et des ligues existaient à travers tout le Canada. Également en 1893, des joueurs de Winnipeg eurent l’idée d’utiliser des équipements de cricket pour protéger les jambes des gardiens.

1893 fut également la date du premier match aux États-Unis entre l’Université Yale et l’Université Johns-Hopkins. La ligue américaine amateur de hockey fut fondée en 1896 à New York, et la première équipe professionnelle, les Portage Lakers, fut créée en 1903 à Houghton dans le Michigan.

Le développement : Les cinq fils de Lord Stanley apportèrent le hockey sur glace en Europe, en affrontant une équipe de la Cour d’Angleterre (incluant les futurs Edward VII et George V) à Buckingham Palace en 1895. En 1905, la Fédération française de hockey (FFH) fut fondée. En 1908, le patineur français Louis Magnus créa la Ligue internationale de hockey. Le premier championnat d’Europe de hockey eut lieu en 1910 à Montreux et fut remporté par la Grande-Bretagne. En 1909 est fondée la plus vieille équipe encore existante aujourd’hui : le Club de Hockey Canadien de Montréal. Les règles continuent d’évoluer : en 1913, apparition du hors-jeu de ligne bleue et de la séparation de la patinoire en trois parties. 1917 voit l’apparition de la Ligue nationale de hockey (National Hockey League en anglais).
En 1920, le hockey sur glace devient sport olympique lors des olympiades d’été d’Anvers, et dix ans plus tard, 1930 : premier championnat du monde de hockey remporté par le Canada à Chamonix en France.




Terrain de hockey sur glace


Entrons dans le vif du sujet, jouons ! Le hockey sur glace se joue sur une patinoire. Chaque équipe est composée de six joueurs (cinq joueurs de champ et un gardien de but) qui sont équipés de patins à glace. L’objectif est de marquer des buts en envoyant un disque de caoutchouc vulcanisé dans le filet adverse, placé à l’autre extrémité de la patinoire, à l’aide d’une crosse.
Les cinq joueurs de champ sont généralement trois attaquants (un centre, un ailier gauche et un ailier droit) et deux défenseurs. Un groupe de trois attaquants forme une ligne d’attaque et une paire de défenseurs forme une ligne de défense. Il existe également des lignes spécifiques aux situations d’infériorité ou de supériorité numérique.

Les changements de ligne peuvent intervenir lors des arrêts de jeu, mais également au cours du jeu (on parle alors de changement volant).

Une équipe de hockey compte une vingtaine de joueurs en tout (quatre lignes d’attaquants, trois ou quatre de défenseurs et deux gardiens de buts).

Certaines charges et certains contacts sont autorisés sur le porteur du disque. Il s’agit, avant tout, de gêner l’adversaire, de le déstabiliser lors de prochains contacts, de le fatiguer et de lui faire perdre le palet. C’est une technique de base au hockey. On parle alors de mise en échec. Toutefois, les actions dangereuses ou contraires aux règles, sont sanctionnées par des pénalités ou punitions. Le joueur fautif doit alors sortir du jeu pour une certaine durée, sans être remplacé.

La bande (ou la balustrade) entourant la glace permet de garder la rondelle à l’intérieur de la patinoire, le jeu pouvant ainsi durer plusieurs minutes sans interruption. Quand l’action s’arrête, le jeu reprend toujours par une mise au jeu (ou engagement).
Les deux règles majeures limitant les mouvements de la rondelle sont le hors-jeu, qui stipule que le palet doit entrer dans la zone d’attaque (ligne bleue) avant tout joueur de l’équipe attaquante, l’arbitre effectue une remise en jeu à l’endroit où la faute a été commise et le dégagement interdit, qui interdit à un joueur en défense de dégager le palet derrière la ligne rouge située dans sa zone d’attaque. Plus exactement, on entend par dégagement interdit : lorsqu’un joueur frappe le palet alors qu’il se trouve derrière la ligne médiane et l’envoie derrière le but adverse, il y a dégagement interdit et le palet est remis en jeu près de la cage de but du joueur fautif.
Une des caractéristiques les plus spectaculaire du hockey sont les charges. La charge est une technique de défenses de base, elle consiste à heurter , à coincer le long de la bande ou faire tomber l’attaquant qui perd ainsi le contrôle du palet. C’est vraiment dans ces phases de jeu que le joueur prend conscience de l’utilité de son équipement protecteur.

Un match dure trois périodes de 20 minutes chacune, l’horloge étant arrêtée à chaque arrêt de jeu. En cas d’égalité à la fin du temps réglementaire, la procédure varie suivant le contexte et suivant les règles spécifiques à chaque championnat. Le match peut alors se poursuivre avec une période de prolongation en mort subite pour déterminer un vainqueur. Si le score est inchangé à l’issue de la prolongation, une séance de tirs de fusillade ( tirs au but ) peut se dérouler.

Un match peut également comporter des combats entre joueurs, combats tolérés ou interdits selon les ligues et les compétitions.

Il y a différents niveaux : les moustiques / les poussins / les benjamins / les minimes / les cadets / les espoirs.
Les équipes Z ( de loisirs ), la ligue Magnus.

Popularité en France : En France, il est surtout populaire dans le massif des Alpes (Grenoble, Morzine, Villard de Lans, Mont Blanc, Briançon, Gap…) et dans le nord-Ouest (Rouen, Amiens, Caen, Brest…). Le Grand-Est (Strasbourg, Épinal, Mulhouse, Dijon…) et le Centre (Tours, Angers…) ont également des équipes de haut niveau. D’autres grandes villes (Lyon, Toulouse, Nice, Nantes, Bordeaux, Valence) possèdent une patinoire adéquate et une équipe, mais leur popularité locale n’est pas aussi forte et les clubs ne peuvent pas souvent faire concurrence aux autres sports (comme les clubs de football par exemple).

Fin de la partie !

Article rédigé par Kevin Fortin

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Les énergies de Caterina et Mathieu

Mathieu et Caterina

Métro ligne 2, "Anvers,... Anvers", 20 marches à monter, encore 20 marches, je sors de la station de métro, ça sent le brûlé ... les cendres de l'Elysées-Montmartre, un peu de plat, puis j'attaque la montée, ça monte, la rue tourne sur la gauche, ça monte encore ... Il en faut de l'énergie pour rejoindre le 58 de la rue des Trois Frères !
Caterina et Grégory

Trottoir de droite, il y a du monde à l'extérieur, un verre à la main, mes amis sont déjà arrivés. La bise à tous. Je me fraie un chemin pour pénétrer dans la galerie, la bise à Caterina et Mathieu. La couleur m'envahit, du noir, du jaune et surtout du rouge. Moi qui passe tant de temps à choisir tel ou tel ton de bleu, de gris ou d'orange lorsque je refonds mon site ou crée des flyers...

Il sont venus, ils sont tous là !

Lorsque Mathieu m'a proposé de m'associer à l'évènement que constitue son exposition, j'ai dit oui tout de suite. Coach sportif et mannequin, j'ai forcément une âme artistique... Qui a dit bien cachée ? Mathieu et Caterina m'ont raconté leur rencontre lors d'une précédente exposition à la Bastille. Quasiment les mêmes motifs, sur toile pour Mathieu, sur des objets en céramique de la vie quotidienne pour Caterina. Depuis, ces deux-là forment un couple artistique... seulement artistique ! Ils enchaînent les exposition, la prochaine à Toulon.

Grégory, Noë et Charlotte

L'espace étant réduit, deux soirées de vernissage ont été programmées : les 17 et 24 mars. L'occasion de faire découvrir à mes amis sportifs les oeuvres de Caterina et Mathieu et de passer un bon moment avec eux ! Et là, j'ai vu des choses interdites se faire... pop-corn, punch, champagne,... j'ai tout noté !
Un bon moment de convivialité et de détente, il y avait même un masseur sur place... A refaire !
Bises à tous !

L'exposition est ouverte jusqu'au dimanche 27 mars à la Galerie 3F - 58, rue des Trois Frères - 75018 Paris (M° Abesses ou Anvers).

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vendredi 25 mars 2011

Concours photo : Stéphane (94)

Stéphane - Chamrousse - 18 mars 2011

Stéphane passe une semaine de vacances à Chamrousse. C'est la dernière semaine de l'hiver. Il décide de supplanter tous ses rivaux dans le concours photo "Sport dans la neige" ! Quel est votre verdict ?
Une pancarte trop petite...

L'arrivée du printemps devrait mettre fin à ce concours. Un autre est déjà lancé que vous connaissez sûrement. Il est intitulé "Sèche 2011". Je compte sur vous...

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Vivre et parler du « Bootcamp »

Grégory Capra

Si vous tapez sur un moteur de recherche « bootcamp » (Où est le temps du bon vieux dictionnaire ?), vous y trouverez de nombreuses définitions aussi utiles que diversifiées… En ce qui me concerne, ce n’est ni un logiciel « made in Apple » (fabriqué par Apple), mais plus près du programme de minceur proposé par d’autres sites. Plus concrètement… Voici comment je vis LE bootcamp proposé et développé par Grégory CAPRA et son équipe de coach.

Je suis un musicien trentenaire qui aime beaucoup le sport. Seul problème, mon activité professionnelle ne me permet pas pour le moment d’intégrer à nouveau un club de sport. Alors faire du sport seul, pas toujours très motivant. Un jour J’ai rencontré par hasard Grégory CAPRA avec qui j’ai parlé de sport .Il m’a proposé de me faire travailler et transpirer. Au départ, j’étais moyennement partant, car la pratique de la fonte en salle ne me correspond pas du tout. Mais je me suis laissé prendre au jeu et j’ai laissé Grégory me guider dans ce lieu.

Grégory m’a présenté alors « mon » coach. Un sportif qui travaille au sein d’une équipe de coachs recrutés par Grégory et son équipe. Lors de ma première séance, Romann me pose des questions sur mes pratiques sportives et mes habitudes alimentaires. Ceci afin d’établir un profil d’activité et d’orientation des différentes séances que nous feront ensemble. C’est parti pour la reprise du sport ! Nous sommes au début de l’été 2010.

Arrive petit à petit la reprise scolaire avec Septembre 2010 avec elle des idées de projets, des nouvelles idées sportives entre autres. Nous y voici le « bootcamp ». Sur un des sites gérés par Grégory, on peut lire la définition suivante de ce mot :

« Le but du bootcamp est de vous permettre de pratiquer une activité sportive adaptée à votre niveau, en plein air, à base de renforcement musculaire et avec un rythme suffisant pour solliciter votre système cardiovasculaire »
(Grégory CAPRA, profil Facebook de l’équipe)

Cependant, je ne suis pas encore inscrit ou partant. Je vois le compte rendu du premier rendez-vous à Paris (quartier de Nation) début Septembre. Je regarde de loin ainsi les 5 premiers rendez-vous du « bootcamp », et lis de près les résumés de ces derniers moments sportifs. L’ambiance semble agréable, les entrainements faisables pour un petit sportif sur le retour comme moi, les coachs changent afin de proposer des exercices différents… Et bien tentons… J’arrive à me libérer enfin pour le 7ième Bootcamp. Après « prises de contacts », « sous la pluie », « la perte de poids », la fameuse « récupération active », « la mutinerie », « sport et culture », le « parcours de santé », autant de thèmes intéressants et qui peuvent convenir à tout sportif de toute condition. Enfin, je vais connaître cette pratique qui semble nouvelle.
Première série de pompes

31 Octobre 2010.

Le réveil sonne à 8h30. « Bon aller, quand faut y aller, faut y aller ! » Une petite musique entrainante pour accompagner le réveil et le petit-déjeuner, j’enfile le jogging et direction la gare RER pour me rendre à Vincennes. 50 minutes de trajet environ.
Je sors de la ligne 1 du métro. Je regarde un post-it sur lequel j’avais écrit les renseignements pour le point de ralliement (bootcamp ça sonne militaire non ?). Sortie N°2 « Château de Vincennes ». Je me dirige donc vers cette sortie. Quelques sportifs sont devant les escaliers. Ce doit être le groupe que je vais devoir suivre. Je m’approche, mais pas trop… Mon côté timide sûrement (et puis si ce n’est pas ce groupe, j’ai l’air fin !). Je reconnais Grégory qui arrive, c’est donc bien ce groupe. Le sourire matinal et la pêche de ce garçon donne tout de suite l’envie de bouger. C’est parti !
Nous commençons tout de suite par un petit footing, pour nous diriger vers le bois de Vincennes. Sur le chemin, un petit coin dégagé d’arbres… Première pause.
Premiers exercices, on travaille les épaules. Des mouvements répétés qui sont censés faire travailler les épaules. Très vite, les autres sportifs qui paraissent habitués mettent la tonalité de l’ambiance : « On n’est pas des hôtesses de l’air ! », « un nouveau recrutement pour Air-France ? »… Je souris. Nous allons un peu plus loin. Kévin, le coach du jour a besoin de place…
Kévin trouve une petite place dans laquelle nous allons pouvoir travailler plus intensément les épaules et le haut du corps… Les pompes… Un exercice typique ! Enfin typique, mais alors pas forcément facile. Notamment quand le coach a, lui, plus que l’habitude de les faire. Je peine au bout d’un certain temps, mais les conseils et encouragements de Gregory ou de Kévin nous redonnent de temps en temps des petits sursauts d’énergie. En regardant autour de moi, je vois certains qui tiennent, d’autres moins… et d’autres, qui râlent gentiment pour signifier qu’ils souffrent ! Je ne me rassure pas en regardant ma montre… encore 1h !!!
A la fin de ce bootcamp, une photo de groupe est faite… Cela devient la « tradition » de ce rendez vous. Personnellement j’ai passé un très bon moment, le soir même les débuts de courbatures se font sentir…
Bootcamp de Noël

Les saisons passent et les rendez-vous dominicaux sportifs perdurent ! Ma résistance augmente au fur et à mesure de mes entraînements. L’ambiance devient de plus en plus propice à la formation d’un lien amical entre les membres réguliers du « bootcamp ». A chaque bootcamp son coach, son thème, ses participants… Je retrouve toujours ce plaisir de pratiquer du sport avec des gens très sympas, et le réveil peut sonner, je ne lui en veux pas !
Je continue le plus régulièrement possible mes séances en coaching particuliers, mais j’avoue que je préfère retrouver mes nouveaux ami(e)s sportifs le dimanche matin pour redoubler d’efforts face à des coachs aussi variés que de vrais instruments à fabriquer des courbatures ! Mais je note que ces dernières sont de moins en moins longues à partir, où moins douloureuses. Je me surprends même à acheter dans les magasins spécialisés des tenues qui m’aideront à affronter le froid, la neige, le vent… Les éléments ne nous arrêteront pas ! Moi qui avais du mal à me motiver pour le sport seul, avec ce groupe, je suis parti pour faire du sport même sous la neige !!
Football australien

Le concept de « bootcamp » se développant, nous sommes devenus de vrais « bootcampeurs ». Ainsi, lorsque la pratique s’étend à la pratique de sport en particuliers et de préparation physique, nous sommes appelés à soutenir les troupes ! C’est dans cette optique que l’équipe des « cockerels » nous a accueillis pour tester le bootcamp au service de l’entrainement au football australien. C’est évidemment avec plaisir qu’avec quelques autres ami(e)s bootcampeurs, nous nous sommes rendus à cet entrainement. Attention c’est du sérieux nous dit-on ! Effectivement, la concentration est de rigueur !
L’équipe de foot australien nous a même proposé de participer à une partie de leur entraînement. Et pour les remercier, quoi de plus normal que d’accepter et d’écouter les conseils pour la pratique de ce sport !

A ce jour, Il y a eu de nombreux bootcamps. Grégory que j’ai revu récemment lors d’une séance de coaching particuliers me demande après un exercice de squat (exercice de musculation visant à faire travailler les cuisses) :
« Et le cardio ça va ? », ce à quoi je réponds que tout va bien, et que ce n’est pas le souffle qui me manque maintenant. Nous nous disons que ces rendez-vous de bootcamp sont mine de rien de bons moyens de travailler plusieurs points sportifs et tout en gardant une bonne ambiance.
Lorsqu’en plus on y retrouve une bande de potes sportifs près à se dépasser c’est quand même bien plus sympa !
De plus au fur et à mesure des rencontres, certains sont devenus des spécialistes des abdos, d’autres des pompes, d’autres de l’endurance. Certains sportifs de clubs viennent même trouver le plaisir de s’entrainer avec nous parfois pour casser la monotonie de leur travail. Gymnastes, triathlètes, sportifs de combats… Ce qui de temps en temps nous motive à aller encore plus loin dans l’effort.
Toujours une photo finale !

Pratiquer le sport et s’entrainer lors d’un bootcamp ou tout simplement reprendre une activité sportive par l’intermédiaire du bootcamp est tout à fait compatible. Débutant, agé, jeune, ou confirmer, on trouvera surement de quoi vous faire transpirer et toujours dans une ambiance qui accompagne d’un sourire des mouvements qui laisseront place plus tard à de bonnes courbatures. Cette « famille » de bootcampeurs est bien sympathique et son nombre n’en est pas limité ! Et c’est vraiment à faire au moins une fois… Par mois ?? hé hé !
The Capra way

Je ne suis pas prêt d’arrêter personnellement et je songe même à pousser le défi plus loin : participer à des compétitions telles que des semi marathons, des aquathlons découvertes ou autres… Dès que mon métier me le permettra ! Une chanson française nous dit que le travail c’est la santé… Le sport aussi, et je rajouterai même une bonne dose de moral !

Arnaud alias… Kénny du bootcamp !

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

lundi 21 mars 2011

Maxime : le drapeau

Le drapeau

Sur cette vidéo, Maxime réalise la figure de freestyle appelée "The human flag", traduisons simplement par "le drapeau", une figure difficile qui demande énormément de force. Cela nécessite d'avoir de bonnes épaules, un dos très puissant mais surtout un très bon gainage pour permettre le maintien des jambes dans cette position.

Quel est l'entraînement de Maxime, sportif Capra à Paris, pour atteindre cette performance ? Plus de 680 tractions pronation, supination ou nuque ; plus de 750 pompes ; des centaines d'abdominaux tous les jours.

Maxime a décidé de progresser, c'est à dire de tenir encore plus longtemps dans une position horizontale parfaite. La démonstration sera faite au prochain bootcamp auquel Maxime assistera.

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com