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mardi 8 avril 2014

Pascal parmi les premiers au Marathon de Paris 2014

Pascal - Marathon de Paris 2014
Pascal est entraîné par mon équipe depuis plusieurs années. Dimanche dernier, il participait au Marathon de Paris, un parcours sur les bords de Seine,dans le bois de Vincennes et le bois de Boulogne. 

A 32 ans, ce sportif inscrit un bel exploit à son palmarès : 2 h 46 min  51 sec, 200ème sur plus de 30 000 participants ! 

Bravo, Pascal !

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

samedi 24 août 2013

Edwin, finisher de l'EmbrunMan 2013

Edwin au départ de l'ironman d'Embrun
Levé le matin à 4h00, je ne me sens pas stressé. Petit-déjeuner copieux et derniers préparatifs, je prends la route pour Embrun à 4h30.

Une fois là-bas, je rejoins la cohue des 1500 participants pour déposer mon vélo et mes affaires nécessaires aux transitions dans le parc.

J’enfile ma combinaison de natation, mes lunettes et le bonnet de l’organisation et me dirige avec mes 1499 frères d’armes aux barrières qui nous séparent de la ligne de départ.

Le speaker nous annonce une eau à 21° mais ce n’est pas trop ce qui m’intéresse. J’essaie de repérer la première bouée jaune afin de me positionner au mieux.

Les femmes sont parties en avance de 10 minutes et les barrières s’ouvrent pour nous laisser accéder à la ligne de départ. Ca joue des coudes pour gagner quelques places.

Départ de la natation
Pan ! Coup de feu. Il est 6h00. C’est parti pour 3800 mètres de natation dans le Lac de Serre-Ponçon. Ca court de partout, chacun essaie de prendre le plus de vitesse pour faire une entrée dans l’eau efficace. Mes premiers 300 mètres sont un supplice. Pourtant sans stress depuis les prémisses de ce challenge, je me mets à hyper-ventiler, je suffoque comme si je n’avais jamais nagé de ma vie. Impossible de caler ma nage, même sur un simple 2 temps.

C’est seulement au bout de ces 300 premiers mètres que je vais enfin réussir à nager correctement mais avec un point de côté, et ce, durant tout le premier tour (2 tours au total). Pas de bol. Certains participants me grimpent dessus, tapent leurs mains sur mes mollets, d’autres me mettent des coups au visage. Un bordel monstre. Heureusement, mes lunettes n’ont pas pris l’eau une seule fois. Plusieurs fois, je crois apercevoir une bouée qui s’avère être en fait un bonnet de bain jaune. Un participant a pris la liberté de ne pas mettre le bonnet de l’organisation, j’ai eu envie de le noyer.

Lors du deuxième tour, je déroule, je me surprends même à accélérer parfois et à passer sur du 3 temps.

A la fin du parcours natation, je passe la borne en 59 minutes (j’avais tablé sur 1h00 de natation). Je suis satisfait même si je sens en même en moi une certaine frustration car j’ai le sentiment que j’aurais pu mieux faire sur cette première épreuve. En effet, j’ai nagé tout le long aux extérieurs sans aucun nageur pour m’ouvrir la route mais me place tout de même 99° sur 1500.

Transition natation / vélo
Je rentre dans le parc pour me préparer pour l’épreuve de vélo. Ni trop lente, ni trop rapide, ma transition me sert à me sécher, m’alimenter, me réhydrater et m’équiper pour le vélo. Et c’est parti pour une longue galère.
Ascension du col de l'Izoard
Mon pronostic étant de 8h30, je vais très vite me rendre compte de mon manque d’expérience dans le domaine du cyclisme. Je me suis surestimé sur mes capacités face à cette topographie hors du commun, comparée aux bosses de ma Normandie.

Dès le premier col, des centaines de participants m’ont déjà doublé. Mais mon moral n’étant pas atteint, je fais mon petit bout de chemin avec mes capacités.

Malheureusement, dès 50 kilomètres, mes quadriceps crampent déjà. Ce qui annonce un moment très difficile pour le col le plus dur du parcours, le col de l’Izoard, culminant à 2360 mètres.

Durant l’ascension, impossible de me mettre en danseuse. Mes muscles se contractaient tout seuls et j’avais le droit à une douleur atroce.

Mais je tiens bon car après la montée, la descente est mienne. 

J’en profite pour relâcher mes jambes et admirer ce paysage magnifique avant de ré-attaquer d’autres cols. Certes moins durs, mais cols quand même.

Ravitaillement en haut du col
Il fait 30° mais je m’hydrate bien et m’alimente bien, la chaleur ne m'est pas insupportable. Les spectateurs sont au rendez-vous et nous encouragent à mon passage.

Je perds cependant des gourdes à cause des nids de poule mais les ravitaillements étant suffisants, je ne suis jamais à sec.

J’attaque le dernier col, celui de Chalvet, où je suis à la limite de craquer mentalement et de pleurer. Je repense à ceux qui m’ont soutenu et encouragé durant ce challenge et je repars de plus belle. Une fois en haut du col, je sais qu’il ne me reste plus que 4 kilomètres à descendre avant de déposer le vélo. Je suis euphorique, je crie, je rigole tout seul, je salue toutes les personnes qui m’encouragent en arrivant au parc. J’en ai fini avec ce vélo de merde.

Il m’aurait fallu 9h11 pour terminer cette épreuve, j’y ai perdu beaucoup d’énergie, mes muscles sont traumatisés et je me suis fait doubler par 1000 participants. J’ai eu envie d’abandonner des dizaines de fois mais j’y suis arrivé. Place au marathon qui s’annonce difficile.

Transition vélo/course à pied
Dans le parc, j’y dispose mon vélo et me change pour attaquer la première boucle de 21 km. Un masseur me propose de masser mes quadriceps complètement endoloris du vélo. Une fois debout et prêt à partir, la douleur est si intense que je souhaite abandonner. Heureusement, je croise mes amis venus m’encourager qui me redonnent de la force pour partir. Sur ce parcours, les spectateurs sont partout. Criant des encouragements, tapant dans mes mains, faisant la ola à mon passage. C’est surtout lors de cette épreuve que je m’aperçois de la folie que j’ai eu de faire cet ironMan. Pour les spectateurs, je suis un malade, un super-héros, une machine que d’avoir fait ça.

Mais je n’en ai toujours pas fini, il me reste encore une boucle de 21 km à faire. Je n’arrive plus à courir, je marche et chaque pas est un supplice. Crampes, douleurs, courbatures sont mes meilleures amies durant ce dernier semi-marathon. Certains craquent physiquement, les pompiers sont tous les 2 km. Certains vomissent leurs tripes aux ravitaillements. D’autres craquent mentalement, j’en ai vu pleurer. Sur ce parcours, je suis entouré d’autres participants mais je suis seul avec moi-même et mes démons qui me disent d’abandonner... Jamais !

A 3 km de l'arrivée
A 3 km de l’arrivée, les spectateurs sont des milliers. Il n’y a pas un mètre carré qui ne soit pas pris le long du chemin menant à la victoire personnelle.

Des tapes dans le dos, des bravos, des applaudissements sans discontinuer me font oublier mes crampes aux jambes et c’est l’euphorie de la fin, le sentiment d’accomplissement qui m’envahit. Ca y est, m’y voilà, dernier virage, je suis sur le tapis bleu, les gens m’applaudissent comme une rock star, je cours comme tous les concurrents même si j’ai marché près de 15 km accumulés sur ce marathon. Main dans la main avec ma chérie, je passe la ligne d’arrivée en entendant le speaker dire que c’est pour moi le premier triathlon de ma vie, et quel triathlon.... Un marathon long de 5h50 !

Edwin à l'arrivée
Au final, après 16h20 de course sans arrêt, je me place à la 1082° place sur 1500 au départ, je suis plutôt fier de moi, même si mon objectif de 14h00 n’est pas atteint. Je relativise. Je n’ai pas chuté, pas vomi, pas eu faim, pas eu de maux de ventre ni de maux de tête et pas été déshydraté.

Edwin et Julian
C’est une expérience que je ne suis pas prêt d’oublier. Le corps est soumis à de dures épreuves, le mental joue une part importante de la réussite de cet exploit. Les spectateurs sont extraordinairement encourageants. 

L’ironMan d’Embrun est réputé pour être l’un des triathlons longue distance le plus dur du monde. Peut-être qu’un jour j’aurai location de comparer avec d’autres. En attendant, une chose est sûre, c’est que celui-ci, je l’ai fait ! Je suis un Finisher de l’EmbrunMan 2013.

Merci à tous de m'avoir suivi. Merci à ceux qui m'ont soutenu !

Edwin - Rouen - Coach Capra

Pour contacter Edwin : manager@gregory-capra.com

lundi 20 mai 2013

Nouveau record au semi-marathon pour Frédéric

Frédéric - Toulouse - Coach Capra
Frédéric, coach Capra à Toulouse, est un guerrier, une machine. Il s'entraîne dur et les résultats sont au rendez-vous. 

Hier, dimanche 19 mai, Frédéric est à Perpignan et court le semi-marathon de la Perpinyane, un parcours en deux boucles, bitumé sur son ensemble, dont plus du quart du tracé en plein centre historique de Perpignan, le reste dans les jardins et vergers à l’extérieur de la ville, face aux Pyrénées. 

Sur ce tracé rapide et plat, propice aux performances, Frédéric bat son record personnel, il court le semi-marathon de Perpignan en 1h 10' 34". 

Frédéric peut maintenant préparer sereinement les championnats de France de duathlon longue distance.

Bravo, Frédéric !

Pour contacter Frédéric : manager@gregory-capra.com

vendredi 26 avril 2013

Pascal - Manosque - Coach Capra

D'un naturel dynamique et souriant, je mets tout mon savoir-faire de coach sportif à votre service, afin que vous puissiez atteindre vos objectifs de manière ludique et surtout efficace.

Passionné de sport depuis mon plus jeune âge, j'ai acquis mon expérience durant mes nombreuses années de pratique sportive. D'abord en tant que cycliste, avec plusieurs podiums en course cycliste UFOLEP (Union Française des Œuvres Laïques d'Éducation Physique), puis en triathlon avec plusieurs qualifications et participations aux championnats de France duathlon et triathlon. 

J'ai aussi participé à plusieurs triathlons longue distance, que l'on appelle communément Iron Man tel que celui de Nice ou d'Embrun (3,8 km de natation, 180 km en vélo route puis un marathon à pied pour finir !). 

Titulaire du Brevet Professionnel de la Jeunesse de l'Éducation Populaire et du Sport (BPJEPS), spécialité Activités Physique pour Tous (APT), obtenu au Centre national des sports de la Défense en 2011 (http://www.sports.defense.gouv.fr)

Le BPJEPS est indispensable au métier d'éducateur sportif qui a pour but d'entretenir les capacités physiques générales de ses pratiquants dans un objectif de santé (découverte, sensibilisation, initiation à des activités physiques ou sportives diversifiées en toute sécurité). Je comprends vos objectifs et je m’adapte bien sûr à votre niveau. 

Expérience technique
Depuis 2005, année de mes débuts en triathlon, je me qualifie chaque année pour les championnats de France de triathlon ou de duathlon, aussi bien civils que militaires. 

Je prends beaucoup de plaisir à programmer mes entraînements pour arriver à ces résultats. 

Expérience pédagogique 
Mes nombreuses années de pratiques sportives ! 

Ancien militaire, je me suis occupé de l’entraînement des différentes équipes représentatives de l’Armée de l’Air de duathlon – triathlon des différentes bases où j’étais affecté. 

Je me suis aussi occupé durant de nombreuses années de l’école de triathlon de la ville d’Istres. 

Durant mon affectation à Istres, je travaillais pour le service des sports de la ville d’Istres (élue plusieurs fois ville la plus sportive de France !) en tant que bénévole pour encadrer des stages de sports : sports de plateau, VTT, randonnée, remise en forme…). 

En 2009, lors de ma préparation pour l’Iron Man de Nice, j’ai entraîné une athlète du club Istres Sports triathlon qui, lors de cette épreuve, s’est qualifiée pour les championnats du monde à Hawaï, la Mecque du triathlon pour tous les adeptes du triple effort ! 

Lors de ma reconversion, j’ai voulu passer un diplôme dans le monde du sport pour parfaire mes connaissances et ainsi partager mon savoir-faire sportif avec d’autres. J’ai donc réussi mon BPJEPS APT au sein du CNSD (Centre National des Sports de la Défense). 

Spécialités
- Musculation/diététique : prise de masse musculaire, définition musculaire, programme pour perdre du poids, renforcement musculaire... 
- Cardio-training, 
- Détente, exercices de relaxation, souplesse, détente musculaire, stretching, 
- VTT, vélo route, 
- Course à pied. 

Qualifications 
-  BPJEPS APT 
-  Brevet Fédéral en Triathlon 
-  BNSSA (Brevet National de Sécurité Sauvetage Aquatique) 
-  PSE 1 et 2 (Premier Secours en Équipe 1 et 2) 
-  Mes nombreuses années de pratiques sportives ! 
-  Formation à la méthode Grégory Capra 
-  Formation en conseils alimentaires Grégory Capra

Pour contacter Pascal : manager@gregory-capra.com

lundi 15 avril 2013

Le premier marathon de Gillian

Gillian court le marathon de Paris 
Je suis un jeune homme de 22 ans, 1m86 pour 81kg +/-, pompier de Paris depuis 2 ans et maintenant pompier volontaire en Alsace, ma région. J'ai toujours été passionné par le sport, autant la course a pied que la musculation et tous les sports en général où il faut se dépasser, avec un penchant pour les sports extrêmes.

Entraînement à Paris
Depuis maintenant 6 mois, je me suis remis sérieusement à la course à pied, après plus d'un an et demi d'arrêt, ne courant que lorsque j'étais de garde à Paris, donc très peu et avec des séances moins constructives. Je me suis toujours dit, que, quand je serai à Paris, je me lancerai sur ce fameux et mythique marathon, le marathon de Paris. 

Je m'inscris, puis m'investis dans une préparation de 10 semaines théorique. En pratique, c'est plutôt une préparation hasardeuse et avec peu de sérieux, soit seulement 5 semaines d'entrainement réparties sur 10 semaines.

Entraînement en Alsace
Le froid de l'hiver alsacien et la fatigue due au travail ne m'ont pas permis de réaliser la préparation adéquate mais uniquement trois petites courses préparatoires :
- un trail de 18 km et 500 mètres de dénivelé positif, 
- un trail de 25 bornes avec 1 100 mètres de dénivelé positif, 
- un cross 9,5 km. 

A côté je m'entraîne en salle de musculation et fais un peu de cardio-traning sur le vélo. 

Deux semaines avant le marathon, je ne cours plus à cause d'une tendinite au genou et passe mes journées à me masser avec de la crème.

Donc une préparation de merde !!! Loin de mes espérances...

Mon dossard
Niveau alimentation, la veille du départ, je mange comme d'habitude. J'essaie de boire de l'anti oxydant, les trois jours qui précédent la course. Le jour de la course, je décide de m'hydrater à tous les ravitaillements et prendre un gel tous les 5 km.

Jour J : Je pars dans le sas préférentiel donc j'évite l'embouteillage du début et  le slalom entre concurrents. Je suis conscient de ma préparation de merde et je me dis que je vais y aller au mental. Je pars sur une base de 3h15, j'y crois peu, mais je me dis que mon mental peut le faire. Au 10 km, j'ai une minute d'avance sur le temps de 3h15. Le semi, j'arrive à le passer avec 10 minutes d'avance, je me sens bien, je m'alimente et m'hydrate bien, je profite et kiffe le moment, beaucoup d'ambiance, beaucoup de personnes qui sont là et qui nous obligent à ne pas renoncer et à toujours aller de l'avant. Puis j'arrive au 30 km, j'en ai beaucoup entendu parler, il paraît qu'un mur arrive vite et que c'est le STOP immédiat, mais moi je suis bien et continue à courir sur une base de 3h15, je ne le ressens en aucun cas, il a peut être fui devant ma détermination et mon mental d'acier. Puis les kilomètres s'avalent avec quelquefois des petites faiblesses mais sans coup de barre, et j'arrive au 40 km en voyant +/- 3h02 à l'horloge, il me reste 2,195 km à parcourir en moins de 10 mn, là j'envoie toutes mes ressources pour passer la barre des 3h15, et franchis, sur l'avenue Foch, la ligne d'arrivée avec un temps de 3h 11 mn 42 sec. 

Je suis satisfait de ma prestation. Vu ma préparation médiocre, je partais en me disant qu'entre 3h15 et 3h30 serait déjà bien et finalement je termine avec un temps qui était pour moi inaccessible.

Bientôt un raid
Je compte faire le marathon de Paris 2014 avec une vraie préparation pour passer sous la mythique barre de 3h. Pour ma masse musculaire, ce serait plutôt pas mal. Sinon je me suis mis dans les trails, j'ai pour objectif les ultra trails et me faire un ironman dans un ou deux ans.

Prochaine course : un raid aventure organisé par les gendarmes avec 8 km de course à pied, 36 km de 3 km de canoé et 8 km de course d'orientation. On y va représenter notre caserne !

Gillian - 22 ans - Colmar

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

mercredi 10 avril 2013

Jérôme termine le marathon grâce à Grégory Capra

Marathon de Paris
A peine arrivé à Paris, il me faut récupérer mon dossard au Parc des Expositions. Pff, je connais Paris et je vais encore perdre un temps fou, pensais-je en partant. Et bien non, l'organisation est telle que, malgré les 50 000 inscriptions, j'ai très peu attendu et on m'a délivré mon dossard dans un sac bleu très rapidement. Ouf. 

Dimanche, levé 6h00, quelle idée, franchement, de se lever à cette heure. Mais , je dois prendre le RER, puis le métro et sur place trouver l'endroit des vestiaires donc pour éviter le stress, j'anticipe un peu. 

6h30 - Départ vers la Capitale, il fait un froid de canard. C'est le printemps, vous êtes sûr ? Dans les couloirs du métro, il y a un monde fou. Je ne risque pas de me perdre, vu les tenues, nous allons tous vers la même destination. 

8h30 - Nous sommes tous sur les Champs Elysées, laissant l'Arc-de-Triomphe derrière nous. Bientôt le départ, après les discours de Bertrand Delanoë et du créateur du Marathon en 1976, des coachs, sur des podiums, nous proposent, en attendant, des échauffements à faire car il fait toujours aussi froid. 

8h45 - Enfin, le top départ est donné. Mais il me faut attendre encore plus d'1/4 heure avant que je puisse partir. Selon mon estimation du temps que je vais mettre pour faire les 42Kms, je suis plus ou moins loin de la ligne de départ. 

9h00 - C'est bon, je passe la ligne de départ. Je vais doucement pour commencer. Ce qui est sympa ce sont les passants qui vous encouragent. Il y en aura sur tout le parcours. 
Surtout, ne pas faire l'impasse sur les ravitaillements : boire, boire et prendre de quoi manger. Pour donner une idée, il y a quand même plus d'une tonne de Bananes : pourquoi s'en priver ? 

Le but pour moi est d'aller jusqu'au bout des 42 km. Je voulais que Greg soit fier de moi et du travail que nous faisons ensemble. C'est l'une des raisons qui m'a permis de terminer. En effet, quand tous tes muscles te font mal, que les pavés de la route du Bois de Boulogne te coupent les jambes, tu vas chercher n'importe quelle idée qui te permettra d'avancer, d'autant qu'autour de toi c'est l'hécatombe : entre ceux qui ont des crampes, ceux qui abandonnent, il faut trouver une motivation. Je me voyais mal revoir Greg sans être aller au bout. Heureusement, bientôt le panneau des 42km apparaît et avec une certaine délivrance. Si je n'ai pas fait exactement le temps que je voulais, 04h00 pour un premier essai, ce n'est pas si mal, je crois ? 
Le Marathon de Paris : oui, je l'ai fait ! 

Merci Greg !

Jérôme - 46 ans - Ploemeur

Pour préparer votre prochain marathon : manager@gregory-capra.com

lundi 8 avril 2013

Boot camp Capra Paris - Comme aux States

Benoît
Blessé, incapable de courir, Benoît tient à participer à ce boot camp promis infernal : un VRAI boot camp militaire comme aux States, cardio-training et renforcement musculaire, durant 2 heures non stop avec un minimum de pauses. Pour pallier à son handicap, Benoît amène un vélo et donc pédale quand les autres courent, une première !

Marathon de Paris
Laurie représentant la Grande Bretagne et les 40 000 autres coureurs du marathon perturbent le démarrage de notre séance : retard des métros, difficultés de stationnement, impossible de franchir la route pour accéder au parcours de santé,...

Le tronc
Il faut bien composer alors pour attendre les retardataires : un peu de footing, des pompes, des abdos et un gros atelier pour travailler les jambes sur trois stations à commencer par un gros tronc d'arbre mort couché au sol. 

Le banc
Après le tronc d'arbre, le banc, et à chaque fois 30 secondes de sauts sur le tronc ou le banc avec une très courte pause de quelques secondes, et c'est parti pour une dizaine de passages !

Saut à la corde
Dans cet atelier, croyez moi, le saut à la corde, c'est du repos, à condition d'avoir la technique et d'avoir régler la corde à la bonne longueur. Pierre-Marc et Cédric viennent de rejoindre le groupe...

Prêts, partez !
Trois équipes, trois marques au sol, 5 pompes, un sprint de 10 mètres, 5 flexions, 30 mètres de sprint, 5 pompes, un sprint de 50 mètres, 5 flexions, 30 mètres de sprint, c'est le deuxième atelier.

Antoine, Lionel et Laurent
A ce jeu, l'équipe gagnante est celle d'Antoine, Lionel et Laurent qui termine en moins de 53 secondes. Regardez comme ils sont frais et heureux, ces trois sportifs !

Gainage
Les marathoniens sont tous passés, certains ont déjà abandonné, nous pouvons rejoindre le parcours de santé pour un nouvel atelier auprès des échelles horizontales : tractions, suspension statique, pompes, gainage, trunk jumps. 

Pompes
Deux rangées, 15 pompes, 30 secondes de repos, le tout répété quatre fois. Oui, on a le droit, homme ou femme, de poser les genoux au sol pour faire les pompes. A noter, en pompes, le gros niveau d'Antoine qui a réalisé, à l'occasion de ce boot camp, 70 pompes en 45 secondes !

Tractions
Avant de quitter la forêt, quelques tractions, chacun à son niveau. Nous retrouvons dans le bois de Vincennes quelques exilés du quai de Valmy qui se sont téléportés sur Vincennes en attendant la remise en état, par la Ville de Paris, du spot de street workout du canal Saint-Martin.

Antoine et Shana
Les filles s'inquiètent parfois et le demandent si d'autres filles participent au boot camp. La réponse est bien sûr positive, il arrive même parfois qu'il y ait plus de filles que de garçons et, de toute manière, les exercices sont adaptés à tous... Shana n'a aucun mal à porter Antoine !

La vie de château !
Footing, étirements et photo de groupe, c'est fini pour cet ultime boot camp d'hiver car, à partir du week-end prochain, c'est enfin le printemps avec 20°C sur la capitale, ça va transpirer !!! Sortez les shorts !

Bravo à tous !

Pour participer au prochain boot camp : manager@gregory-capra.com

dimanche 7 avril 2013

Sébastien termine le marathon de Paris

Marathon de Paris 2013
Sébastien, coach Capra à Paris s'est surpassé. Inscrit au marathon de Paris qui se courait, aujourd'hui, voici son bilan :
- objectif 1, ne pas se blesser, done !
- objectif 2, le finir, done !
- objectif 3, donner tout ce qu'il a sans mettre en péril ses deux premiers objectifs, done !!!

Résultat : 3h36 minutes et des bananes pour les 42,195 du marathon de Paris ;-))))

Traversée du bois de Vincennes
Je suis content car j'y suis un peu pour quelque chose grâce au petit conseil nutrition de dernière minute que j'ai apporté à Sébastien :
- la veille de la course, manger des pâtes,
- le matin de la course, le dernier repas qui se prend 3h avant le départ ne doit pas être pantagruélique mais permettre une bonne hydratation après le jeune de la nuit donc 150g de pain complet + confiture + beurre,
- pendant la course, il faut boire au moins 10cl tous les 1/4 d’heure.

Bravo, Sébastien !

Pour contacter Sébastien : manager@gregory-capra.com

jeudi 20 décembre 2012

Jean remporte le marathon de Metz 2012

Jean - Metz - Coach Capra
Il y a quelques mois, je vous annonçais la décision de Jean, coach Capra à Metz, de courir le marathon de Metz en équipe :   http://gregory-capra.blogspot.fr/2012/07/jean-coach-capra-prepare-le-marathon-de.html

Marathon Metz Mirabelle 2012
14 octobre 2012, on dirait que le sol est mouillé. Eh oui, météo pourrie : pluie vent et froid !!! La Lorraine !

La 3ème édition du Marathon Metz Mirabelle s'est courue autour de Metz, à travers les communes voisines (Pouilly, Fleury, Cuvry, Marly, Augny, Montigny). Sur une bonne partie des 42km195, les 1.300 coureurs ont essuyé la pluie. Un petit désagrément qui n'a pas eu raison de la détermination des marathoniens, portés par l'énergie.

L'équipe de Jean
L'équipe de Jean est arrivée première sur 200 équipes : 42.5km en 2h37min. Jean a assuré le dernier relais, 10km en 33min02 !!

La photo officielle
Jean est militaire. Le général, gouverneur de Metz s'est déplacé au pied levé pour féliciter Jean et son équipe alors qu'il s'agissait d'une course civile ! 

Près d'une centaine de soldats du 3ème Régiment de Hussards de Metz participaient au Marathon Metz Mirabelle. 18 équipes pour le marathon en relais et 22 coureurs individuels étaient dans la course. Une belle expérience sportive et humaine.

Bravo, Jean !

Pour contacter Jean : manager@gregory-capra.com

jeudi 18 octobre 2012

Florian : du skate board à la musculation

Florian - Nice - Coach Capra
Un café et un petit entretien sur la place Masséna avec Florian, coach Capra à Nice, pour approfondir notre connaissance mutuelle. 

A bien des égards, Florian me ressemble, l'âge, la taille, la carrure,... et aussi le parcours. 

Adolescent, Florian brille dans les compétitions de skate-board au niveau national et même international, il multiplie les contrats avec différents sponsors : photos, promotions, shows,... Mais il multiplie aussi les blessures particulièrement aux chevilles et décide d'arrêter le skate-board.

Florian se met alors à l'athlétisme, en particulier aux longues distances. Il court, avec moins de trois mois d'entraînement, le marathon de Monaco en moins de trois heures. Florian fait toujours les choses à fond, il se prend de passion pour le fond et court plus de 140 km par semaine... et patatras, ce qui devait arriver, arrive... fracture de fatigue du tibia.

Pour sa rééducation, Florian s'inscrit dans une salle de remise en forme et découvre la musculation. A l'époque, il pèse 48 kg... Il comprend comment s'entraîner correctement, comment s'alimenter sainement,... Voyez le résultat !

Pour ne pas se lasser et tomber dans la routine, Florian se lance régulièrement des défis : prise de masse, sèche, performances,...

Pour un entraînement avec Florian : manager@gregory-capra.com

dimanche 14 octobre 2012

Pascal trempé aux 20 km de Paris

Tu marcheras sur l'eau !
Les « 20 kilomètres de Paris », le rendez-vous incontournable de l’automne parisien de la course à pied... Eh bien, l'automne a bien été au rendez-vous des « 20 kilomètres de Paris », température fraîche et pluie tout au long de la course. Ce n'était pas « Tu marcheras sur l'eau » comme le suggère l'affiche officielle de l'édition 2012 mais « Tu courras sous l'eau » !

Pascal, sportif Capra coaché par Sylvio, s'aligne au départ avec le dossard 1719. Il termine la course en 01:19:10 et se classe 344ème sur 22 792 participants. 

Bravo, Pascal ! Bravo, Sylvio !

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com  

mercredi 10 octobre 2012

Premier marathon de Virginie

Virginie - Lyon - Ostéopathe Capra
Dimanche 7 octobre, l'édition 2012 du Run In Lyon rassemble 15 000 participants, des centaines de bénévoles... Voici la troisième année que les coureurs de trois distances différentes s'élancent de la troisième plus grande place d'Europe pour une visite de la belle ville de Lyon.

Virginie dans le marathon
Virginie, ostéopathe dans mon équipe à Lyon, loupe l'inscription au semi-marathon mais, comme elle tient vraiment à courir, elle se rabat sur le marathon. 

« Je sais, je suis un peu folle mais je me dis que j'y arriverais bien, de toute façon j'ai la volonté ! » explique Virginie.

Pour son premier marathon, Virginie termine en 5 h 47 mn 6 sec, dans la douleur mais super heureuse. Les entraînements boot camp, ça donne du résultat !

Bravo à Virginie ! Bravo à Vincent, le coach Capra Lyonnais en charge des boot camps.

Pour contacter Virginie : manager@gregory-capra.com

mardi 4 septembre 2012

Boulevards de Colomiers : Frédéric remporte la victoire

Frédéric - Toulouse - Coach Capra
Dimanche 02 septembre 2012, ils étaient plus de 1 200 participants à s'aligner sur la ligne de départ des pour des Boulevards de Colomiers.

Depuis le 29 avril et les 10 km de Pouvourville, Frédéric, coach Capra à Toulouse, n'était plus remonté sur la plus haute marche d'un podium. Dimanche matin, lors de la 19e édition des Boulevards de Colomiers, le sociétaire du Team 12, pour sa course de reprise, auteur d'un chrono de 33'12'', a enfin renoué avec la victoire.

Pour son premier succès columérin, notre coach sportif a dû attendre les deux derniers kilomètres pour devancer, de quelques secondes, ses deux compagnons d'échappée. 

À l'approche des championnats de France de duathlon, qu'il disputera ce week-end à Parthenay (Deux-Sèvres) avec le club d'Épinay-sous-Sénart (Essonne), Frédéric fait ainsi le plein de confiance. 

«Je me suis arraché pour faire la différence ; moralement, ça fait du bien », confie Frédéric

Pour contacter Frédéric : manager@gregory-capra.com

dimanche 19 août 2012

Boot camp Capra Paris - Fractionné

Romain, notre gymnaste ! 
Au moment où le boot camp commence, il fait déjà 22°C. Au moment où le boot camp se termine, il fait 34°C. Il fallait être courageux pour participer à ce boot camp, d'autant que le programme s'avérait exigeant. Ils ont défié la canicule... Bravo !

Antoine au fractionné
Tout commence par un rassemblement au pied du château de Vincennes puis une course à allure soutenue à travers le bois, en direction de Saint-Maurice. Presque arrivés dans cette commune, stop et demi-tour. C'est le début de la séance de fractionné.

Antoine au fractionné
Au programme : 50 secondes de sprint + 30 secondes de course à allure modérée, le tout répété 10 fois ! A ce jeu-là, Antoine (celui en noir !) est le plus fort. Il surclasse tous les participants. Ce n'est que le début de la constatation de la supériorité de sa condition physique...  

Piste cavalière
Une courte pause, une gorgée d'eau, tout le monde se retrouve à l'issue de ce fractionné. Le groupe s'enfonce dans la forêt par la piste cavalière pour rejoindre les barres de tractions. Une nouvelle épreuve à l'horizon...

Arnaud aux tractions
Cinq hommes forts d'un côté, Laurent et tous les autres de l'autre côté, les deux équipes vont se faire face dans un défi tractions. Il s'agit d'enchaîner un maximum de tractions durant 15 minutes. Chaque participant apporte un point à son équipe s'il réalise une traction ou s'il se maintient, 10 secondes, le menton au-dessus de la barre. Les participants se succèdent à la barre, de part et d'autre de l'échelle horizontale. 

Traction en supination
Les deux équipes finissent a égalité avec près de 300 tractions... mais la victoire est attribuée à Antoine, Laurent, Lionel, Fanfan et Benoît, avec un coup de pouce de Romain, pour la propreté de leurs mouvements et des répétitions réalisées sans aide. Bravo, les gars !

Laurent aux barres parallèles
Une petite centaine de mètres séparent l'échelle horizontale des barres paralèlles. Chaque sportif doit parcourir en avant puis en arrière toute la longueur des barres. L'exercice est adapté au niveau de chacun... quatre allers-retours pour les plus forts !

Coup de chaud pour Laure
Laure se repose après un léger évanouissement sur le parcours entre les deux agrès. Il faut avouer qu'il fait bien chaud. Laure est secourue par Antoine et Romain. Elle prend quelques minutes de repos avant de reprendre le cours du boot camp.

Nathalie aux barres parallèles 
Les équipes se reforment pour un défi dips. Il s'agit d'enchaîner un maximum de dips durant 10 minutes. Chaque participant apporte un point à son équipe s'il réalise un dips ou s'il se maintient, 10 secondes, bras tendus sur les barres parallèles. Les participants se succèdent de part et d'autre des barres parallèles. 

Fanfan au top pour sa reprise
Les deux équipes finissent a égalité avec près de 300 dips... mais la victoire est attribuée à Antoine, Laurent, Lionel, Fanfan et Benoît pour la propreté de leurs mouvements et des répétitions réalisées sans aide. Bis repetita placent...Bravo, les gars !  

Etirements
Retour vers le château en marchant et en trottinant, après une escale près d'une fontaine. La température est très chaude sur le bitume. C'est parti pour une longue séance d'étirements bien nécessaires après 6900m de course pour les uns et plus de 8000m pour les autres ... sans compter les extra d'Antoine dans sa quête de Laure perdue dans le bois...

Un attentat ? 
Un évanouissement, une disparition en forêt mais Laure est toujours là. Fanfan lâchera-t-il le pavé au dessus de sa tête ? 

Bravo à tous, y compris à Lionel et Arnaud absents de cette photo et déjà en route pour une randonnée roller dans Paris.

Pour participer au prochain boot camp : manager@gregory-capra.com