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dimanche 5 février 2012

Bon anniversaire, Anthony !

Anthony - Marseille - Coach Capra

C’est l’anniversaire d’Anthony, coach Capra à Marseille et compétiteur en body. Participera-t-il au Ripert’s Body Show 2012, le 19 mai prochain, à La Ciotat ? La décision n’est pas prise…


Catégorie Men's Physique à Dallas

Cette année, deux nouvelles catégories seront mises en place au Ripert's Body show : la catégorie bikini et la catégorie Men’s Physique. Je ne vous présenterai pas la catégorie Bikini, vous devinez bien de quoi il s’agit. Parlons plutôt de la catégorie Men’s Physique.

Le protocole :
La présentation se fera de face et de dos au repos en tenue décontractée. Chaque compétiteurs entrera en longeant le fond de scène jusqu'au milieu, ensuite il marchera de face vers le jury et effectuera un demi- tour pour regagner le fond de scène.

Les critères de jugement :
- Ligne et proportion
- définition
- qualité de peau
- visage et look général

La tenue :
Bermuda de plage au choix, pieds nus.
Pour cette année, il n'y aura qu'une seule catégorie, sans distinction de taille.


Catéorie Men's Physique à Dallas

Cette catégorie a été présentée à Dallas, au mois d'août dernier, et le public a vraiment été surpris par la qualité des physiques en compétition, un très haut niveau concernant la sangle abdominale. Des compétiteurs très frais et au look très sportif et très sain. En deux années, cette catégorie a vraiment explosé aux USA.

L’idée est bonne, le public féminin adore mais certains doutent : « très bonne idée pour les cultos qui ne bossent pas les cannes » ou « c'est clair que le bermuda, çà motive pas à se défoncer sous la presse! Par contre faut assurer côté mollets lol ».

C'est une possibilité c'est sûr, mais, aux USA, je peux vous garantir que les gars ont aussi des cuisses. La plupart sont des modèles pour des photos et revues. Ils sont même plus demandés que les pros body et ont des physiques très équilibrés. En général ceux qui ont des mollets ont des cuisses en rapport, par contre le contraire est plus courant « des grosses cuisses et pas de mollets », or, là, sans mollets avec le bermuda t'es mort !

Les catégories masculines du Ripert's Body Show 2012 :
- Master 1
- Master 2
- Men's Physique
- Junior
- Homme Fitness
- Homme Performance
- Homme Athletic
- Homme Superbody
- Sélection NABBA

Pour contacter Anthony : manager@gregory-capra.com

mardi 25 janvier 2011

Marseille - Bootcamp renforcement musculaire

Fentes larges

10h30, dans le froid glacial, Anthony attend les bootcampeurs. Petit à petit, le soleil perce, la température remonte et les premiers bootcampeurs arrivent. Anthony imagine... la prochaine fois, il y aura un gage pour les retardataires : 50 pompes ou la traversée de l'étang du parc Borély en crawl, avec les canards !
Début du bootcamp, une petite course pour s'échauffer puis on attaque par les jambes : squat, fentes, fentes larges... Ca brûle très vite !!!


Pompes et biceps

Maintenant, le haut du corps avec les agrès du parc, le mobilier urbain et une sangle, il faut savoir profiter de tout : tractions (bravo Frédéric, tu as assuré), tirage nuque, pompes, curls biceps,...
Epaules

Retour sur la pelouse pour un travail des épaules puis des abdos avec du gainage et des relevés de buste. Maintenant le soleil est carrément arrivé !!

Gainage

Relevé de buste... sous le soleil

Maintenant, repos et au week-end prochain... On va monter en gamme pour rattraper les parisiens !

Me contacter : manager@gregory-capra.com

jeudi 30 décembre 2010

Anthony : préparation physique pour l'été 2011

Anthony - Août 2009

Anthony a 22 ans. Il est étudiant en Licence STAPS à l'université de Provence, comme je le fus... "C'est de la bombe Luminy, mais dommage qu'ils ont enlevé l'option entraînement en 3ème année donc je vais être obligé d'aller à Montpellier :( "

Anthony a décidé de se préparer pour être au top cet été et nous raconte sa progression :
- été 2009, en vacances en Corse, j'étais à 70kg et 12% de graisse,
- décembre 2010, 78 kg et 14% de graisse,
- été 2011, mon but est 80kg avec 12% de graisse, ça va être facile, il suffit que j'ajoute un peu de cardio dans mon programme et ça fera l'affaire.


Anthony - Décembre 2010

Mon programme d’entraînement est très simple, 5 séances de musculation et 2 séances de cardio par semaine.

Je travaille chaque muscle une fois par semaine, avec 3-4 exercices de base et 1-2 exercices d’isolation. Je travaille les exercices de base à 75-85% de mon rm avec 4-5 séries de 8-10 répétitions et pour les exercices d’isolation 50-70% rm avec 2-3 séries de 12-15 répétitions.

Mes exercices de base consistent à faire des squats, développés couchés, dips, fentes, soulevés de terre, tractions…Et pour les exercices d’isolation, l’écarté couché, kick-back, leg extensions...

Chaque séance dure 1h30 : 15 minutes d’échauffement, 1 heure d’entraînement et pour finir 15 minutes d’étirements. Chaque séance consiste à faire mieux de ce que j’ai fait la dernière fois, cela peut être en ajoutant du poids, faire quelque répétitions en plus ou prendre quelques secondes de repos en moins.
Temps de repos : 1mn30 pour les exos de base et 30-60 secondes pour les exercices d’isolation.
Je change mon programme tous les 3 mois, ça évite l’ennui et ça permet au muscle de travailler d’une manière différente. Avant chaque changement de programme, je passe par une séance de force où j’utilise le squat, le soulevé de terre, le développé couché et les tractions et j’effectue pour chaque exercice 5 séries, 5 répétitions et le maximum de poids possible.


Anthony - Juin 2011

Si toi aussi tu veux un programme personnalisé, n'hésite pas à me contacter : manager@gregory-capra.com

samedi 4 septembre 2010

Julien MAGNIEZ : du 400m haies à la kiné

Julien Magniez - 400m haies -Champion de France Universitaire 2010

« D’ici 2 à 5 ans ça serait du 400m haies de haut niveau, ambitieux et sans limite ». Julien Magniez est l’actuel champion de France Universitaire du 400m haies. Les excellents résultats des français aux championnats d’Europe d’athlétisme lui ont ouvert la piste vers des espoirs de performances élevées. Il fait aujourd’hui partie des meilleurs jeunes de sa catégorie sur cette discipline exigeante qui allie technicité et précision. Préparation physique mesurée, alimentation équilibrée et auto discipline de vie lui permettent actuellement de combiner efficacement son métier de kinésithérapeute et son statut d’athlète de haut niveau. Focus sur un sympathique sprinteur passionné qui fera probablement parler de lui ces cinq prochaines années. Propos recueillis par Anthony Classe.
Un mètre 85, 72 kilos et pas une pointe de graisse : Julien est un gabarit presque idéal sur une distance qui rassemble depuis longtemps les morphotypes les plus variés. De Stéphane Diagana à Kevin Young, (actuel détenteur du record du monde en 46s78) inutile d’espérer atteindre un physique « type » pour battre des records sur cette distance. Des haies à 91cm de hauteur et une difficulté qui réside dans le nombre de foulées entre les obstacles. L’éternelle complexité d’un passage en 13 foulées entre les haies, l’amplitude de la foulée sont autant de paramètres à prendre en compte pour espérer rejoindre la cour des grands dans cette discipline. Julien l’a bien compris aujourd’hui, ses 6 entraînements par semaine vont se poursuivre encore quelques années s’il veut atteindre son rêve ultime : les Jeux Olympiques. Londres ou Rio de Janeiro ne sembleraient pourtant pas si inaccessibles. Les huit meilleurs français sont actuellement entre 49s80 et 51s : avec un record personnel absolu à 52s61, la marge de progression de Julien n’a pas fini d’évoluer.

A.C. : Julien, peux-tu détailler ton parcours (universitaire et sportif). Pourquoi avoir choisi le 400m haies et pourquoi pas une autre discipline ?
Après mon bac scientifique, je suis parti en STAPS (avec comme objectif de devenir kinésithérapeute). J’ai obtenu ma première année puis je suis allé en Belgique pour une école de Kinésithérapie. J’ai obtenu mon diplôme en 2009.
J’ai choisi le 400m haies, avant tout, poussé par mon entraîneur lui-même ancien athlète de 400m haies. Cette discipline m’a plu directement puisque c’est une discipline de vitesse, également technico-tactique (paramètre intéressant et non routinier).

A.C. : A quel âge as-tu commencé le 400m haies ? Considères-tu être tombé dedans dès ton commencement ?
J’ai commencé le 400m haies en Junior 1 à 17 ans. Mon entraîneur et moi avons tout d’abord cherché ma discipline de « prédilection » en passant par le 100, 200, 300, 400, 320 haies. Les résultats étaient là sur 400m haies et cette discipline m’a plu. Donc nous avons persisté.

A.C. : As-tu volontairement fait le lien entre l’athlétisme et ta profession de kinésithérapeute ?
Oui, l’un des paramètres qui m’intéresse dans la kiné c’est le sport, donc la kiné du sport en découle. Je retrouve alors dans ma profession ce domaine qui me passionne. Après, ça n’est pas l’athlétisme en particulier qui m’a poussé à faire ce métier.

Julien Magniez : étirements indispensables après l'effort !

A.C. : Comment perçois-tu le 400m haies par rapport aux autres disciplines de l'athlétisme ?
Le 400m haies est une discipline difficile, oui. La plus difficile je ne sais pas. Mais plusieurs paramètres interviennent : vitesse, résistance vitesse, technique, tactique et mental. C’est la diversité de cette discipline qui est difficile mais qui la rend intéressante.

A.C. : Quel est ton rapport à la nutrition en relation avec le sport de haut niveau?
Mon alimentation est équilibrée (je ne vais pas non plus jusqu’à peser les aliments), mais j’essaie de manger de tout et sans excès avec une hydratation adéquate.

A.C. : Quelle relation entretiens-tu avec la partie psychologique du 400m haies ?
Mentalement il faut être prêt. Le côté psychologique est très important dans cette discipline. C’est une épreuve de vitesse longue mais aussi technique qui nécessite un « bon mental » je pense. J’ai failli avoir recours à la sophrologie, je voulais mais par manque de temps je n’ai pas pu. Je pense que cela serait nécessaire et utile pour être vraiment prêt afin de mieux aborder les compétitions et entraînements.

A.C : Quelle est ta vision du 400m haies avant, pendant et après ?
Avant c’était plutôt du 400m haies de découverte, prendre ses repères et ses marques. Aujourd’hui c’est du 400m haies de compétition, travail, entraînement et d’apprentissage encore. D’ici 2 à 5 ans ça serait du 400m haies de haut niveau, ambitieux et sans limite.

A.C. : Pour toi, y'a t-il un gabarit type pour réussir au 400m haies ? Faut-il nécessairement un renforcement musculaire poussé ?
Gabarit type non je ne pense pas, à l’heure actuelle il a y différents athlètes sur cette discipline. Aussi bien des petits trapus que des grands élancés. Ensuite le renforcement musculaire sera en fonction du gabarit de l’individu et du paramètre technico-tactique de sa course.

Julien Magniez : "Il faut savoir être ambitieux"

A.C. : Quel regard portes-tu sur les derniers Championnats d'Europe d'athlétisme de Barcelone ? Aurais-tu aimé y participer ?
Ce furent de très beaux et bons championnats pour les membres de l’équipe de France. Cela donne nécessairement envie d’aller encore plus vite, de s’entraîner encore plus dur. Aimé y participer oui bien évidemment. Je pense que ces championnats sont accessibles. Il faut savoir être ambitieux, ne pas se donner de limite, juste y croire et se faire plaisir.
A.C. : Peux-tu expliquer en quoi consiste ta préparation physique ?
Le 400m haies est une discipline dans laquelle les entraînements sont découpés en phases : reprise pendant laquelle je fais de l’aérobie (footings, 30’’30’’), le développement 1 où j’effectue des séances sur piste et nature en prenant en compte le renforcement musculaire (éducatifs, courses tractées, endurance musculaire avec des côtes). Vient ensuite la période de compétitions hivernales (vitesse et travail technique), le développement 2 avec du renforcement musculaire (puissance : courses tractées, vitesse et côtes courtes, plyométrie), la période de pré-compétitions (vitesses courte et longue, côtes courtes, travail de l’explosivité) et enfin la période de compétition où j’effectue quelques réglages : le travail se fait davantage en qualité plutôt qu’en quantité avec des rappels de résistance.

A.C. : Athlétisme de haut niveau et athlétisme loisir : quelle frontière vois-tu entre ces deux milieux ?
Nous n’avons pas les mêmes attentes qu’un athlète loisir pour un sport certes identique. L’investissement n’est pas le même non plus. Il existe toutefois des points communs comme le dépassement de soi, le plaisir, …

A.C. : Qu’aimes-tu et que n’aimes-tu pas dans le 400m haies ?
J’aime le paramètre technico tactique de cette discipline, me surpasser, la vitesse, être satisfait d’un gros et dur entraînement, me faire plaisir, mon groupe d’entrainement, mon entraineur, faire un bon chrono, et bien entendu j’aime gagner ! Inversement, je n’aime pas perdre, faire un mauvais chrono et je n’aime pas la musculation (et pourtant il en faut..).

A.C. : Aujourd’hui, as-tu un rêve ainsi qu’une philosophie qui te font avancer ?
Je rêve bien entendu de participer aux J.O. De façon plus accessible, j’espère en 2011 pouvoir participer aux Championnats du monde universitaires, être à moyen termes dans les 10 meilleurs français sur cette discipline, et de pouvoir être sponsorisé. Ma philosophie consiste à s’entraîner, croire en soi et en ses rêves tout en se faisant plaisir.

Qualifications :
Licence 1 STAPS (Liévin- 62)
Diplôme de Kinésithérapie (Haute Ecole Provinciale du Hainaut- Belgique)

Palmarès :
Champion de France Universitaire (2008 et 2010)
Vice champion universitaire (2007)
Match de sélection pour les championnats d’Europe espoir en 2007
Plusieurs fois finalistes aux championnats de France FFA

Pour contacter Julien : manager@gregory-capra.com

samedi 21 août 2010

STAPS... et après ?

Grégory Capra - STAPS Luminy

Chaque année, nombreux sont les jeunes se précipitant vers la filière STAPS. Rêves de gamins d’intégrer le monde des professionnels du sport et réalités de terrain ne sont pas toujours concordants. Focus sur une filière globalement plébiscitée, aujourd’hui coincée entre préjugés, rêves et réalités.

« Vous passez votre temps à ne faire que du sport » « En STAPS, c’est toujours la fête »… quel étudiant en Faculté des sciences du sports n’a jamais entendu ces remarques teintées d’un gracieux humour certes, et finalement peu réaliste. Confondre STAPS et entraînement sportif est le commun de tout novice n’ayant pas encore fréquenté cette formidable secte de passionnés.

Les études sportives à l’université font depuis quelques années l’objet d’un fort engouement auprès des jeunes. Des études difficiles et un contexte économique depuis 2005 n’ont pas aidé les « accros » à mûrir parfaitement leur choix professionnel. STAPS « avant et pendant » constituent couramment une part conséquente de souvenirs riches en émotions pour les étudiants. Entre biomécanique, histoire du sport, physiologie, enseignement théorique et pratiques des sports sans oublier les soirées étudiantes, la sauce est bien souvent piquante aux veilles d’examens.

Mais « STAPS et après », c’est encore une autre histoire. « On y pense, mais on a encore le temps » diront certains, « Je verrai si j’obtiens mon concours » diront d’autres. Un mot presque magique, concrétisé par seulement 5% des étudiants parvenant à décrocher le fameux sésame CAPEPS, nécessaire à l’enseignement de l’EPS en milieu scolaire. Inutile de préciser que les places sont comptées : en moyenne 400 postes chaque année permettent rapidement aux étudiants de faire leur choix. Pas de place pour les indécis en STAPS, quoique…on peut y croire.

Entre coach ou moniteur sportif, professeur en activités physiques adaptées, responsable marketing, communication ou événementiel, chefs de projets en ergonomie sportive, animateur, chercheur et même journaliste sportif… multiples sont les possibilités de trouver sa place dans le milieu de sport. Et nombreux sont les passionnés qui l’ont trouvées. « Le mental on le travaille, et pas que dans le sport c’est bien connu » : les STAPSiens sont appréciés dans le monde professionnel pour leurs facultés d’adaptation au changement, leur courage et leur ténacité dans la poursuite d’objectifs. « C ‘est un état d’esprit, un mental, qu’on nous a inculqué depuis l’enfance » dit Mélanie N., monitrice de voile.

A l’exemple de Grégory Capra devenu coach et chef d’entreprise, Alexandre M., Directeur de Perf In Sport, Stéphanie M. devenue Chef de projets à la Fédération Française d’athlétisme, Raphaël D., Chef de projet en agence de communication à Paris, ou encore Guillaume, régisseur pour des événements sportifs mondiaux, les exemples de réussites sont variés.

En dehors du concours CAPEPS, il y a donc de nombreux débouchés à découvrir. « On pense souvent que les STAPSiens ont tout dans les jambes et rien dans la tête, or je suis la preuve vivante que c'est faux, pour moi c'est l'inverse » affirme Delphine T., aujourd’hui, Professeur des écoles. Pour Célia R., la filière STAPS est une excellente porte d’ouverture vers des horizons professionnels divers : « c'est à chacun de saisir sa chance et de tirer profits de ses propres compétences, de ses contacts, de son parcours pour aller vers ce qu'il recherche...pour moi le discours que nous avons eu sur notre filière est une base sur laquelle nous allons pouvoir construire notre propre chemin ! ».

Et pour ceux qui ont fait le choix d’abandonner le milieu du sport, de multiples passerelles vers d’autres emplois existent : à condition de mûrir son projet et de connaître concrètement ses motivations. Outre les pompiers, les policiers et gendarmes, militaires qui restent connexes au milieu sportif, peu finalement prennent la décision d’abandonner complètement la relation avec la filière sportive qui est un choix fait avant tout par passion.

Afin de compléter, cet article, à vous de répondre à notre enquête :
1/ Votre objectif professionnel avant de rentrer en STAPS ?
2/ Votre situation professionnelle à la sortie des études ?
3/ Rêves, réalités : selon vous, y-a-t-il une discordance entre le discours sur cette filière et l'approche que vous avez pu avoir sur le terrain ?
4/ Vos perspectives professionnelles à cours et moyen terme ?

Réponses à anthony.classe@gmail.com

Article rédigé pour nous par Anthony CLASSE
- Licence STAPS (Liévin)
- Master STAPS / Communication du sport (Lille)
- Diplômé de SKEMA BS (Fusion ESC LILLE / CERAM Sophia Antipolis), Mastère spécialisé (3e cycle) en Marketing / Communication
- Diplôme d’Animateur régional et Moniteur en athlétisme
- Diplôme de secourisme (AFPS)

http://anthony-classe.com/
http://anthonyclasse.wordpress.com/