Coaching sportif ou massage, pour me contacter : manager@gregory-capra.com
lundi 19 septembre 2011
On en parle à l'Isle-sur-la-Sorgue
Coaching sportif ou massage, pour me contacter : manager@gregory-capra.com
dimanche 18 septembre 2011
Semi-marathon de Toulouse : Frédéric sur la 2ème marche du podium
Dimanche 18 septembre, après 2 courses de rentrée très moyennes sur 10km, je décide ce matin de me lancer sur le semi-marathon de Toulouse. Objectif simple pour moi : terminer sur le podium !
1700 participants ont répondu à l’appel malgré la pluie et un léger vent. Le départ est donné. Très vite, le favori part seul en tête et personne ne le reverra ! Derrière on se retrouve à former un petit groupe de chasse de 4 coureurs.
Je reste caché dans les premiers kilomètres, puis je décide de tester la forme de mes adversaires : au 5ème km, je commence à accélérer progressivement pendant 3 ou 4 minutes, puis je me retourne, tout le monde est toujours là… Aie, ça risque d’être plus difficile que prévu ! Vers le 9ème km, sur un passage avec quelques relances, je décide alors de mettre un gros taquet histoire de faire exploser tout le monde. Et là, chouette, les gars commencent à craquer ! On se retrouve à deux, le trou est fait. Yes, le podium semble assuré si j’arrive à maintenir mon allure !
A partir du 13ème km, je commence à douter, mon accélération de tout à l’heure se fait sentir. Il faut que je maintienne le rythme pour conserver mon avance… Je décide alors de me caler dans la foulée du gars qui est avec moi. Je sais qu’il est plus fort, je me dis qu’il faut que je m’accroche le plus longtemps possible…
Ca commence à devenir très dur, et là surprise, à trois kilomètres de la fin, je sens qu’il craque un peu ! Je suis complètement sec et j’attends la ligne d’arrivée avec impatience, mais je me dis que c’est maintenant qu’il faut faire quelque chose… Alors je tente le tout pour le tout et je plante un gros taquet et là, énorme, j’arrive à faire le trou ! Les deux derniers kilomètres sont un véritable chemin de croix mais je suis sur motivé par ma 2e place, alors je fais tout pour maintenir ma poignée de secondes d’avance…
Enfin la ligne d’arrivée ! Yes, 2ème sur une grande épreuve comme celle-ci, c’est un de mes meilleurs résultats depuis longtemps. En plus, je passe sous les 1h13, à 1 min de mon record, sans avoir chercher à faire un chrono.
J’ai vraiment pris du plaisir sur cette course qui fut une belle lutte d’homme à homme. Prochain objectif très bientôt, vous aurez des news rapidement :)
Frédéric, Toulouse, coach Capra
Pour contacter Frédéric : manager@gregory-capra.com
Kevin : star des Slam Jumpers
les Slam Jumpers ont égayé les fins d'après-midi de ce samedi et de ce dimanche. Les Slam Jumpers sont des acrobates spécialisés dans le show et l'animation d'évènements. Ils ont dynamisé le public et ont créé une ambiance survoltée avec leur prestation de haut vol.
Pour ce show parisien, les Slam Jumpers alignaient une équipe de 6 jumpers qui utilisaient 3 trampolines logés dans la direction de Notre-Dame. Au fil des minutes et avec la participation du public, les numéros devenaient de plus en plus exigeants et acrobatiques.
Avec la difficulté, arrive le premier échec, c'est inévitable ! Alors la team fait appel à sa botte secrète : Kevin, alias Jordan ! Kevin se surpasse et réussi les figures les plus acobatiques ! On devine en Kevin, un basketteur mais surtout un gymnaste !
Les Slams Jumpers sont des artistes acrobates et sportifs spécialisés dans le show et l'animation d'évènements. Ils sont issus de diverses disciplines: gymnastique, basket, arts martiaux, danse.... En bref ils sont tous sportifs et fans de sensations fortes.
Après plusieurs années de pratiques, ils composent aujourd'hui cette équipe d'acro-dunkers.
Leur niveau n'a cessé dévoluer avec les figures qu'ils réalisent : saltodunk, vrille et demi, double rider dunk, 360 rider dunk....
Leur show, aujourd'hui au plus haut niveau des disciplines extrèmes, est représenté dans les plus grands évènements.
Slam Jumpers : http://www.slamjumpers.com/
Pour contacter les Slam Jumpers : accroenvol@starjumpers.com
Calendrier 2011 : Making of - Pierre et Grégory
samedi 17 septembre 2011
J'ai aussi testé le set haltère automatique 40 kg de DKN
Avantages
- Poids variables entre 5 et 40 kg
- Sécurisé, encombrement minimal
- L’haltère 40 kg est doté de 17 paliers
Caractéristiques techniques
- Poids : 40kg
- Compatible support
- Utilisation intensive
- Revêtement caoutchouté
- Vendu a l'unité
Emballé par ce test et le test précédent du Set Haltère Automatique 24 kg, j'ai conclu un accord avec le responsable France de la marque et je suis en mesure de vous proposer des tarifs préférentiels.
Sèche 2011 : Micka
Au point de départ de mon échange avec Micka, fin janvier 2011, il m'annonce qu'il a déjà perdu 8 kg depuis le 23 décembre. La photo ci-dessus, à 74,6 kg, c'est le point de départ de sa sèche, oui, oui !! Vous vous doutez qu'il n'était pas possible d'appliquer avec lui une méthode douce pour le faire progresser. On est donc parti sur un écart = un gage.
Ca commence fort, il m'annonce qu'il va sortir le samedi suivant et qu'il va boire de l'alcool, ce qu'il n'a pas fait depuis 5 ans. Le gage est fixé à l'avance : 1 verre d'alcool = 5 km de footing a jeun !
Dimanche matin, Micka a couru 5 km à jeun...
Le programme sportif de Micka :
- Lundi: pecs/ triceps / abdos
- Mardi: Dos/ biceps/ abdos
- Mercredi: Triceps/ biceps/ abdos
- Jeudi: epaules/trapèzes/abdos
- Vendredi: jambes/ mollets
- Samedi: rappel pecs/abdos
La diète de Micka (Attention, cette diète ne peut convenir à tout le monde !) :
- matin
flocon d'avoine de 50g a 100g
sucre a base de fructose
2 a 4 yaourt nature bio
pomme
- 10h00
25g de whey 100%
- midi
2 steaks ou 1 steaks et 2 oeufs
1 à 2 bio nature + sucre à base de fructose
50 a 100g de flocons
- 15h00
25g whey + lait soja
- 18h00
25g de whey + lait soja
- dîner
steaks ou oeufs ou juste yaourt bio
pomme
fruit sec si vraiment faim pour ne pas faire d'écart
- avant coucher (rare car Micka se couche assez tôt)
25g de whey + lait soja
Micka arrête sa sèche mi-juin pour passer l'été au niveau où vous le voyez sur sa photo avec le drapeau des Etats-Unis d'Amérique. Il a bien mériter de profiter du soleil et des plages du Languedoc-Roussillon. Bravo à Micka pour sa discipline !
Pour sécher vous aussi : manager@gregory-capra.com
vendredi 16 septembre 2011
Le vrai travail d'un coach sportif
Tous les ans, des étudiants en STAPS m'envoie un questionnaire pour une enquête incluse dans leur cursus universitaire. Mes réponses les clouent de stupéfaction. Ils découvrent que la vraie vie est à cent lieues de ce qu'on leur enseigne à la faculté !
1. En tant que coach sportif, en quoi consiste votre travail ? (objectifs et actions)
Coaching sportif à domicile, en extérieur ou en salle de musculation de sportifs (préparation de compétition, réathlétisation,…) et de sédentaires (perte de poids, renforcement musculaire, remise en forme.
Les sédentaires représentent 99% de ma clientèle.
Ca, c’est la face visible qui représente 30% de mon temps de travail. Les 70% restant, c’est du commercial, de l’organisation, du management, de la gestion, du juridique, de la prospective, etc…
2. Quelle(s) formation(s) avez-vous suivi ?
Bac S - juin 2002
Licence STAPS Education et Motricité – juin 2005
BEES HACUMESE (présenté en candidat libre) – juin 2006
3. Selon vous, quelles sont les qualités nécessaires pour un coach sportif ?
Commercial : il faut savoir se vendre, trouver ses clients
Relationnel : il faut savoir garder ses clients
Technique : il faut des connaissances sportives et diététiques pour faire progresser le client
Rigueur : il faut être ponctuel, sérieux, toujours bien présentable dans la tenue et l’allure (on se prétend pas coach sportif si on est soit même maigrichon ou au contraire bedonnant), savoir gérer, savoir s’entourer,…
4. Quels sont les avantages de votre métier ?
- Rencontre de personnes de tous les horizons, de tous les milieux socio-professionnels (de la ménagère au PDG, du candidat pompier au Ministre, …), de toutes les nationalités, …
- Mobilité : différents lieux d’entraînement (domicile, salle, extérieur), voyages (je couvre actuellement la France, la Suisse, la Belgique, le Luxembourg, Monaco et j’ai un partenaire à Los Angeles),
- Perfectionnement en anglais, à cause des points précédents !!
5. Quels sont les inconvénients de votre métier ?
- Travail 70h/sem et 6j/7
- Déplacements
à oublier la vie pépère avec une femme, trois enfants et un chien !
6. Avez-vous rencontré des difficultés à trouver un poste de coach sportif ?
Non, j’ai créé, immédiatement après mon BEES HACUMESE, ma propre société http://www.gregory-capra.com/
Pour en savoir plus : manager@gregory-capra.com
Frédéric : 1ère étape du Championnat de France de Duathlon 2011
Le Championnat de France des Clubs de Division 2 de Duathlon met en compétition 26 équipes masculines. Au terme de 4 étapes, le titre de champion de France des Clubs D2 de Duathlon 2011 sera décerné chez les hommes et chez les femmes.
Cette année, le Championnat de France des Clubs de Division 2 a fait étape aux Sables d'Olonnes (3 avril), Liévin (8 mai), Lomme (2 juin), Metz (7 août), Nancy (11 septembre).
Dimanche 3 avril 2011, le Championnat de France des clubs de D2 de Duathlon fait donc étape aux Sables d'Olonne.
Ils sont environ 500 à s’être donnés rendez-vous aux Sables d’Olonne et plus particulièrement sur le superbe site de Tanchet, pour l’ouverture de la saison des Grands Prix. Parmi eux, Frédéric, coach Capra à Toulouse qui défend les couleurs du club ENVY Epinay-sous-Sénart Triathlon. Il s'agit du premier duathlon de Frédéric.
C’est malheureusement sous un ciel gris, une température fraîche et une pluie fine que la D2 masculine ouvre le bal, et c’est déjà pour les 16 équipes engagées l’occasion de se jauger et de voir si les recrutements de l’hiver s’avèrent judicieux ou non. C’est sur un parcours course à pied autour du lac et une partie cycliste très roulant et longeant en grande partie l’océan, que les équipes vont assurer un très beau spectacle.
La performance de Frédéric :
- 5 km de course à pied en 15' 22"
- 20 km de vélo en 32' 02"
- 2,5 km de course à pied en 7' 18"
Un début qu'il juge difficile mais ne vous inquiétez pas, il va progresser !
Pour contacter Frédéric : manager@gregory-capra.com
Séjour sportif et culturel : le parc Borély à Marseille
A la veille des journées du patrimoine, un petit retour sur le séjour sportif organisé pour Cyril et ses amis à Marseille. Entre la baignade sur la plage du Prado et la visite de la calanque des Goudes, ils ont eu droit à une séance de renforcement musculaire dans le parc Borély. Ce parc très prisé des promeneurs et des sportifs mérite que l'on s'arrête sur son histoire.
Le parc actuel a conservé les trois parties du projet ALPHAN.
1 - La partie française fait face à la bastide. Elle est constituée de deux tapis verts comportant en leur centre un bassin rectangulaire, séparés par un bassin circulaire, et bordés par deux doubles alignements d’arbres, en prolongement du mail qui mène de l’avenue du Prado à la grille du Parc.
La perspective s’achève sur la terrasse du château, auquel on accède par un esalier monumental en contrebas duquel se trouve le « bassin de France », orné de deux griffons et d’une sculpture rappelant la participation de la famille Borély dans le creusement du canal de Suez.
2 - La partie anglaise, à l’ouest du parc, s’étend autour du lac et de son embarcadère. C’est un jardin au tracé souple, dont le chemin circulaire permet de découvrir les principaux éléments du parc : la roseraie, plantée dans un espace dessiné à la française, derrière laquelle, longeant l’Huveaune, court la « tèse », agrémentée, en son milieu, d’une statue de Diane; une cascade en rocaille qui héberge « l’Homme aux oiseaux », sculpture de Jean Michel Folon…Aux abords du château, une aire de jeux accueille les enfants et met à leur disposition des installation adaptées aux handicapés.
Le parc à l’anglaise s’ouvre sur de vastes clairières dont les pelouses invitent au pique-nique ou au farniente…
3 - Le champ de courses, récemment rénové, ne sépare plus la partie française de la mer depuis qu’une promenade, aménagée le long de l’Huveaune, permet d’atteindre les plages du Prado.
Quant au Jardin botanique, qui s’est enrichi, en 2004, d’un jardin traditionnel chinois offert par la ville de Shangaï avec laquelle Marseille est jumelée, il comprend un jardin des simples, un jardin de plantes grimpantes, un jardin méditerranéen, un tropicarium, une serre consacrée aux végétaux d’Afrique du Sud, un palmetum et un jardin japonais.
Le parcours santé
L’histoire du Parc Borély débute au XVIIème siècle, lorsque Joseph Borely, issu d’une famille d’armateurs et de négociants marseillais, décide de constituer un domaine dans le quartier de Bonneveine, pour y établir une de ces « maisons des champs », ou « bastides », qui, pour la bourgeoisie locale, conjuguent jusqu’au XIXème siècle, les fonctions d’agrément et de rapport.
Constituée initialement de « terre, vigne, prés, jardins, arbres et bâtiments », la propriété s’agrandit tout au long du XVIIIème siècle, jusqu’à ce que Louis de Borely, de retour d’Egypte annobli et enrichi, entreprenne de faire construire une élégante bastide dont la réalisation finale sera confiée à l’architecte provençal Esprit BRUN.
Lorsque Louis-Joseph Denis de Borely hérite du domaine en 1770, il fait appel au paysagiste EMBRY dont le jardin classique, conçu dans l’esprit de Le Nôtre, semble avoir été en grande partie réalisé.
L'Huveaune
Au milieu du XIXème siècle, alors que les descendants de Joseph Borely n’habitent plus la bastide de Bonneveine, Paulin Talabot, directeur de la Compagnie de chemins de fer PLM et de la Compagnie des docks envisage d’y construire des entrepôts. Puis, afin de terminer sa ligne de chemin de fer Lyon-Marseille, il propose à la Ville d’échanger divers terrains des Chartreux, dont celui sur lequel est installé le jardin botanique, contre la propriété Borely. Devenue propriétaire du domaine, la Ville de Marseille sollicite ALPHAN, paysagiste renommé, assisté de son collaborateur BARILLET-DESCHAMPS, pour y réaliser un parc public. Le projet retenu prévoit trois parties distinctes, un jardin à la française, un parc à l’anglaise, et un champ de courses en front de mer. Les élégantes constructions en bois ajouré et les pavillons des gardiens à l’entrée du parc, illustration de l’éclectisme architectural de la seconde moitié du XIXème siècle, ont disparu, tandis que le « pavillon du lac», autrefois laboratoire de botanique de l’Institut colonial, abrite aujourd’hui un restaurant.
Une roseraie a été créée en 1923 sur l’emplacement de l’ancien jardin botanique, installé depuis 1880 dans le parc Borély et déplacé en 1915 sur son emplacement actuel , et, en 2002 ; deux hectares de promenade ont été aménagés vers la mer.
Les sportifs au repos
Pour allier découvertes sportives et culturelles, n'hésitez pas à me contacter. Transpirer devant les monuments historiques, c'est une chose à découvrir !
Pour me contacter : manager@gregory-capra.com
mercredi 14 septembre 2011
Handisport : Sébastien encadre l'animation basket-fauteuil
Sébastien, coach Capra à Paris, encadrait, les 9 et 10 septembre dernier, l’animation « basket fauteuil », à l’occasion des 5ème rencontres EDF Handisport, sur le parvis de l’Hôtel de Ville de Paris. Sur un terrain de basket-ball installé au nord du parvis, valides et handicapés étaient invités à s’affronter dans des matches amicaux.
Sébastien a observé une affluence plus importante qu’en 2010 et il avoue que la journée du vendredi fut bien éprouvante avec beaucoup de scolaires !
L’occasion pour nous de découvrir cette activité.
Basket-ball en fauteuil roulant : hier et aujourd’hui
Le basket-ball en fauteuil roulant (ou basket fauteuil) fut conçu à l’origine comme activité de rééducation destinée aux anciens soldats souffrant de lésions de la moelle épinière au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale.
La première rencontre a lieu en 1946 avant que la pratique ne s’étende à différentes catégories d’athlètes en fauteuil roulant.
Aujourd’hui, ce sport est pratiqué en compétition par plus de 25 000 personnes dans 90 pays du monde entier. Des milliers d’autres personnes jouent pour le plaisir dans leurs clubs, écoles et universités.
Comment participer et gagner ?
Le basket-ball en fauteuil roulant voit s’affronter deux équipes de cinq joueurs. Le principe est le même que pour le basket-ball classique, la taille du parquet et la hauteur du panier restant les mêmes, tandis que les règles du jeu ne sont que très légèrement adaptées.
Les joueurs déplacent le ballon sur le parquet par des passes ou des dribbles. Ils doivent passer ou faire rebondir le ballon par terre toutes les deux poussées de roues afin d’éviter d’être sanctionné pour un « marcher ».
À l’instar du basket-ball traditionnel, un lancer franc donne droit à un point, un panier offre deux points, et trois points sont accordés à tout panier marqué au-delà de la ligne des trois points.
Le basket-ball en fauteuil roulant aux Jeux
Le basket-ball en fauteuil roulant est l’un des sports les plus populaires des Jeux paralympiques. Il figure au programme des premiers Jeux paralympiques de Rome en 1960, un programme qu’il n’a ensuite plus jamais quitté.
Le Canada est l’équipe à battre chez les messieurs et les dames, mais la Grande-Bretagne, l’Australie et les États-Unis s’érigent en excellents challengeurs.
Faits marquants du basket-ball en fauteuil roulant
Les meilleurs joueurs de basket-ball en fauteuil roulant utilisent des fauteuils en titane spécialement conçus dont le prix s’élève à plus de 5 000 euros et qui peuvent être usés en six mois en compétition de haut niveau. Au basket-ball en fauteuil roulant, aucune différence n’est faite sur le type de handicap des athlètes. Chaque joueur se voit attribuer un classement correspondant à un certain nombre de points, et chaque équipe doit disposer d’un total de points minimum déterminé.
Le basket-ball en fauteuil roulant doit son essor dans le monde entier à Sir Ludwig Guttmann, le fondateur des Jeux paralympiques.
Le basket fauteuil est par ailleurs le sujet d’une série de télévision pour enfants, « Desperados », qui met en scène l’ancien champion paralympique britannique Ade Adepitan.
Participer
Les opportunités de jouer au basket-ball en fauteuil roulant ne manquent pas, des joueurs de milieux divers prenant plaisir à pratiquer un sport rapide et technique.
Pour contacter Sébastien : manager@gregory-capra.com
mardi 13 septembre 2011
Olivier : la transformation
Pour me contacter : manager@gregory-capra.com
Comment choisir son coach ?
Question pas facile dans un monde où le terme « coach » est employé à tout va et donc complètement dénaturé et dénué de sens…. Devenu sans doute un pur objet marketing !
Pour vous aider, posez vous les bonnes questions !
I) Définition
1) Qu’est ce que le coaching ?
Le coaching en milieu professionnel est un processus d’accompagnement d’une personne au travail avec pour objectif l’optimisation du potentiel des individus. L’intervention de coaching crée un espace où l’individu peut évacuer ce qui fait obstacle à son développement, exprimer son désir et ses aspirations, développer ses atouts, acquérir de nouvelles compétences et savoirs et mettre en œuvre un plan d’amélioration de sa performance. Cette démarche est unique et se démarque d’autres modes d’intervention comme le conseil, la thérapie ou la formation en se positionnant résolument comme une co-construction, une co-élaboration entre coach et coaché fondée sur la puissance de la relation intersubjective. Un des postulats est que le coaché a, en lui, les compétences et le potentiel pour trouver ses propres solutions et que le coach agit comme un catalyseur, un facilitateur de changement en mobilisant ses énergies. D’une certaine façon, cette démarche s’apparente à une maïeutique dans laquelle le progrès est généré par le coaché à travers un dispositif particulier, structuré à partir d’un savoir-faire et d’un savoir-être du coach. Cette croyance du coach dans le potentiel de l’autre est nécessaire car elle conditionne et structure la relation qui va s’établir entre les partenaires.
2) D’où vient démarche de coaching ?
De façon pratique, la demande de coaching vient de la rencontre avec un problème d’ordre technique, personnel, relationnel qui bénéficierait de l’éclairage de la relation à deux. En allant plus loin, la demande est fondamentalement une recherche d’une plus grande cohérence et de sens dans son action. Cette cohérence permet d’aligner valeurs professionnelles et personnelles, de maintenir un équilibre entre être et faire, d’affirmer son individualité tout en étant performant et en partageant la vision stratégique de l’organisation. Cette recherche de sens doit, par ailleurs, éclairer la finalité de l’action et la recadrer dans une perspective existentiellement plus porteuse pour l’individu.
La demande de coaching résulte aussi du souci d’échapper à la solitude. Fantasmé par les autres, prisonnier de sa fonction, le dirigeant ne trouve pas d’alter ego à qui confier ses aspirations, ses doutes ou ses interrogations. Du fait d’un manque d’objectivité, de connaissance, de capacité de prise de recul, les interlocuteurs possibles sont peu nombreux qui pourraient l’aider à réfléchir sur des problématiques importantes pour son développement et celui de son organisation.
3) Les apports du coaching
Ils relèvent d’un ensemble de facteurs que l’on peut synthétiser autour de trois principaux :
- un dispositif et des outils qui créent un climat d’alliance pour favoriser une co-construction entre coach et coaché, ceci mettra le coaché en confiance et le fait d’être écouté activement et avec bienveillance (par un coach qui croira en les capacités du coaché) lui autorisera une verbalisation de ses problèmes et un travail fructueux,
- une capacité de compréhension et de restitution, des enjeux et besoins auxquels fait face le coaché : savoir résumer, clarifier les besoins du coaché qui donne toujours un grand nombre d’informations très floues dans son esprit,
- une force de stimulation et de propositions pour le coaché : une fois le coaché mis en confiance, il est alors possible de s’écarter de sa zone de confort et lui faire tester de nouveaux comportements, de nouvelles limites créateurs de progrès.
4) Différence avec le conseil et la formation, même s’il en empreinte des éléments
La relation avec le coach n’est pas linéaire mais circulaire (à double sens).
L’intervention de coaching évoluera donc de façon interactive avec les apports du coaché et les interventions du coach. Il faut donc alterner action et réflexion pour interagir avec client.
Le plus souvent, le coach connaît moins bien que le coaché le domaine d’intervention de ce dernier, il est, objectivement, moins compétent que lui dans ce champ (à la différence souvent du « mentorat » qui est traditionnellement une transmission de connaissances et de savoir-faire d’un professionnel plus expérimenté). Cette moindre connaissance est aussi une garantie de son efficacité puisqu’elle force à prendre du recul par rapport au contenu que le coaché restitue, à adopter la neutralité nécessaire, à prendre une « position basse », à faire preuve d’absence de préconceptions ou de projets pour le coaché. S’il arrive que le coach fasse ponctuellement des suggestions ou donne des conseils au coaché pour le faire progresser dans une situation de blocage, cet aspect ne représente pas son type d’intervention majeur. Le coach a plutôt pour vocation de faire préciser et éclairer la problématique du coaché qui est mis en situation de trouver sa solution. Le coach n’est pas dans la situation du consultant expert d’un domaine précis ou d’une technologie, il est là pour mettre en évidence les processus générateurs d’amélioration, à partir du cadre de référence du coaché.
II) Structure du coaching
La situation de coaching requiert la mise en place d’une stratégie d’intervention qui est un pré-requis à son efficacité car elle demeurera un fil conducteur dictant les étapes de son action même si le coach devra faire preuve d’une grande flexibilité pour s’adapter aux exigences ponctuelles de la situation. Voici donc les éléments du cadre :
- définition du problème du client,
- analyse de la demande,
- établissement du contrat,
- exploration résolutoire.
La problématique du coaché est abordée par la question : « de quoi s’agit il ? Que me proposez vous ? ».
Le coach va alors faire un bilan sur la situation actuelle (mensurations et état psychologique) et celle qui est souhaitée (ex : « avoir les abdos ») avant d’indirectement (!), poser la question « qu’attendez vous de moi ? » afin de faire émerger l’expression d’un besoin et d’une demande de la part du coaché. Cette « demande de demande » met ainsi en place directement l’interaction avec le coaché !
Dans cette logique de co-construction, coach et coaché pourront alors s’entendre sur des objectifs à atteindre et un contrat, une planification ponctuée par la question : « vous souhaitez donc que nous fassions ceci ensemble ? ».
Une fois cet accord explicite obtenu, seront explorées les pistes résolutoires du « comment ? » en s’appuyant sur les ressources du client et les outils du coach.
Remarquons donc que le cheminement problème/demande/contrat n’est pas séquentiel mais qu’il y a plusieurs allers-retours entre les éléments. Ainsi le discours du coaché, aiguillé par le questionnement du coach, conduit le client à préciser, reformuler et apporter d’autres éléments qui feront évoluer la nature de sa demande.
1) Problème
Point de départ de l’intervention, en réponse aux demandes du coach, le coaché présente un récit plus ou moins ordonné d’un problème qu’il souhaite traiter. Les faits relatés introduisent le coach dans la réalité du client. Ecoute et questionnement sont donc importants à ce stade où il faut : se taire, adopter une posture en miroir avec synchronisation posturale et verbale, être attentif à l’autre (sa manière de penser, s’exprimer, de s’émouvoir), adopter une position basse mais aussi parler pour clarifier, reformuler et relancer afin de comprendre et montrer au coaché qu’il est compris.
Deux écueils guettent cette phase :
* si les informations sont trop faibles, la situation est peu claire, confuse.
* s’il y a trop d’informations : même si un climat de confiance, sympathie s’installe rapidement avec le client, la situation doit rester claire, concise, précise pour ne pas s’engluer.
2) Demande
Le coaché formule, souvent de façon confuse, une première demande explicite qui doit être précisée par l’interaction (questionnement) avec le coach qui fera donc émerger d’autres niveaux de demandes implicites, plus profondes. Cela pourra venir dans le temps avec renforcement de l’alliance coach-coaché (ex : Jean Marc qui au début ne me parlait que sport et qui maintenant m’expose ses problèmes de couple).
L’analyse de la demande invite à faire retour sur le problème pour mieux le préciser et permettre au coach d’élaborer des hypothèses sur les besoins du coaché. L’expression d’une demande explicite exploitable permet de valider l’adhésion du client au processus et d’établir un contrat sur des bases solides. Cette demande a souvent vocation d’évoluer dans le coaching au fur et à mesure que des enjeux plus profonds du client sont mis au jour.
3) Contrat
Expliciter le contrat découlant des questions précédentes afin de :
- ne passer à côté d’aucune préoccupation du coaché,
- valider des objectifs réalistes (car les irréalistes sont contre productifs),
- structurer l’intervention, même si le contrat évoluera dans le temps en fonction des démarches implicites qui émergeront.
Attention : Il est important de noter que le contrat s’inscrit dans un contexte plus large comprenant des contraintes et enjeux personnels, relationnels et institutionnels. Nous distinguons alors trois types de contrat :
- d’affaire : écrit, il définit les termes objectifs de l’accord (tarifs, objectifs, durée …),
- relationnel : informel, il définit les modalités des relations entre les parties. (ex : un client qui aurait dit avoir pour « point faible » les bras, on aurait pour accord avec lui d’axer l’entraînement sur ceux-ci),
- secret : concerne les enjeux psychologiques, conscients ou pas, des partenaires de l’échange (ex : l’envie du coach de faire évoluer son client par satisfaction narcissique ; les résistances au changement de la part du coaché …).
En contractualisant formellement la relation, le coach réaffirme la responsabilité des deux parties dans l’issue de l’intervention. Le contrat ne doit ne pas être restrictif et être revisité pour s’adapter aux nouvelles perspectives ouvertes par l’interaction. L’accord deux parties sur la finalité de l’exercice ouvrent la voie à l’exploration des solutions.
III) Le profil du coach
Le coaching se développe dans le déploiement d’un dispositif technique (le sport) et d’un savoir-faire qui ont une importance capitale mais qui devront être dépassés pour ne pas perdre de vue l’être humain (relationnel, savoir-être).
1) Savoir-être :
Il fondé sur les qualités de sérénité, de confiance en soi, de cohérence interne, d’optimisme, de capacité à tolérer incertitude et soucis de l’autre.
Il faut accepter son propre potentiel et ses limites, l’autre (y compris s’il refuse de changer), l’environnement avec ses contraintes et limites (s’adapter).
2) Savoir-faire :
- connaissance en sport et diététique,
- comprendre le problème du client (savoir écouter et questionner pour savoir ce qui gène le client dans son physique et les conséquences que cela a,
- compétences relationnelles pour analyser les facteurs transférentiels (permettant de faire passer l’info) et ainsi fortifier l’alliance avec client,
- être capable de cadrer le client pour ouvrir de nouvelles perspectives et préparer le changement,
- accompagner le client dans l’effort tant psychologiquement (le complimenter, lui dire que l’on sait qu’il est capable … pour le motiver) que physiquement (prendre les bras et les lui garder lors d’élévations latérales pour qu’il comprenne le mouvement demandé,
- Etc…
3) compétences et formation du coach
- maturité personnelle et professionnelle assise sur un équilibre personnel, une expérience de vie et un parcours professionnel pertinent,
- expérience ou forte sensibilisation au monde de l’entreprise pour savoir organiser son enseignement et comprendre la nécessité de le faire, accompagner le client dans la mise en œuvre du changement (diététique, sport) et savoir proposer des alternatives pour un enseignement adapté à l’individu,
- créer et entretenir l’alliance avec le client (voir champs thérapeutiques),
- prendre du recul sur sa pratique et travailler son propre développement, améliorer la connaissance de soi évite de contaminer la relation de coaching par ses propres interrogations, être sûr de soi, de ce que l’on est et l’on comprendra davantage l’autre,
- éthique et déontologie ; avant l’acceptation d’une mission, le coach doit fixer la nature , les limites et contraintes de son intervention pour éviter tout problème, il suffit de mettre en avant certains principes fondamentaux et renvoyer in fine le coach à son sens de l’intégrité et à son jugement .
Principes :
- respect des valeurs, droits et libertés du client sans interdiction, d’abuser de son influence ; le client est le seul maître et responsable de ses décisions,
- compétence professionnelle (formation théorique plus pratique faisant l’objet de perfectionnements continus (savoir se remettre en question et accepter la critique),
- informer le client si la question posée ou tâche demandée dépasse son domaine de compétence (ex : je ne suis pas capable de répondre, je vais me renseigner ou vous orienter vers un professionnel dans le domaine pour offrir un service, une réponse de qualité,
- respect, politesse, tenue et présentation convenable » etc…
- une formation spécifique au coaching permettant de prendre en compte les spécificités de ce mode de relation d’aide, mettre en œuvre une stratégie d’intervention faisant émerger la demande réelle de l’autre.
4) Champs théoriques de coaching
- être à l’écoute du client mais ne pas perdre de vue qu’il est là pour bosser,
- toujours expliquer, justifier ce que l‘on propose (ça fait pro) mais attention , se mettre à la porter du client qui n’a pas les mêmes connaissances et risque de ne pas tout comprendre , être clair pour ne pas embrouiller l’esprit du client qui est là pour s’oxygéner.
CONCLUSION
En résumé un bon coach saura s’adapter à vous ; non seulement sur le plan sportif ET diététique mais également sur le plan pédagogique – psychologique…. Mais il ne devra pas « vivre sur ses acquis »…. Nous évoluons tous en permanence sur tous les plans… un bon coach s’y adaptera très facilement.
Pour plus d’information n’hésitez pas à me consulter : manager@gregory-capra.com
lundi 12 septembre 2011
L'entraînement de Chris Hemsworth pour Thor
Lorsque Thor, le dieu scandinave du tonnerre, a été adopté comme un super héros de bande dessinée par les productions Marvel, les pouvoirs du personnage - en dehors de son immortalité - étaient sa force surhumaine, sa vitesse et son endurance. Donc, pour faire le saut de la page à l'écran, il fallait quelqu'un dont le physique était plus digne d'une divinité que d'un mortel. C’est l'acteur australien Chris Hemsworth, qui a été choisi pour jouer Thor dans l'un des films d'action qui fut l’un des plus attendus de cette année.
«Dans le comic strip, Thor semble se situer autour de 230 kg, donc évidemment ce n'était pas mon but, mais il était très important pour moi et d'être aussi puissant aussi fort que je pouvais tout en conservant mon agilité », raconte Chris Hemsworth.
Pour essayer aussi un entraînement combinant musculation et kettlebells, me contacter : manager@gregory-capra.com
Rencontres EDF Handisport : nous y étions !
EDF et la Fédération Française Handisport se sont associés pour organiser la cinquième édition des Rencontres EDF Handisport les vendredi 9 et samedi 10 septembre 2011. Pour la troisième année consécutive, le village des Rencontres EDF Handisport s’est animé dans le cadre exceptionnel du Parvis de l’Hôtel de Ville de Paris. Nous y étions et nous vous ramenons quelques clichés...
Les Rencontres EDF Handisport, c’est l’occasion pour le public de découvrir la pratique sportive des personnes handicapées dans une ambiance festive, en dédramatisant le handicap par la découverte et l’échange.
Pour la seconde fois, la Fédération Française du Sport Adapté etait conviée à l’événement ; l’occasion de découvrir ses activités au service des personnes en situation de handicap mental et psychique.
À un an des Jeux Olympiques et Paralympiques, le Comité National Olympique du Sport Français (CNOSF) était présent et a accueilli le public sur son espace dédié, au cœur du village pour échanger et répondre à toutes les questions concernant "Sentez vous sport, Santé vous bien", leur rendez vous Sport, santé et bien être.
La Fédération Française Handisport a proposé une fois encore un programme d’activités variées. Pour accompagner le public dans sa découverte, des champions étaient présents. Ambassadeurs de leur discipline, plusieurs sportifs de haut-niveau ont effectué des démonstrations ou ont lancé des défis amicaux au public.
Pour pratiquer des activités handisport avec nous : manager@gregory-capra.com
dimanche 11 septembre 2011
Le K.R.U.M.P
Les vacances viennent de se terminer, vous vous êtes lâchés à manger de tout et n’importe quoi en quantité irraisonnable, et vous vous retrouvez ballonnés ou tout gras de partout, bref vous avez fait des excès tout simplement (dixit notre coach préféré). J’ai trouvé une solution afin de resculpter vos cuisses, mollets, et tout le reste de votre corps. Fini les abdos fessiers à mamy, les haltères à pépère...on va krumper. Le Krump est une danse née dans les années 2000 au cœur des bas quartiers de Los Angeles. Cette danse, non-violente malgré son apparence agressive à cause des mouvements exécutés très rapidement, de la rage ou la colère qui peut se lire parfois sur les visages des danseurs de Krump que l’on appelle les « Krumpers », se veut être une danse représentant la « vie » et toute sa « jouissance ». En effet il n’y a aucun conflit physique entre les danseurs. Faisons le premier pas dans ce nouveau sport (par Kevin Fortin).
Etymologiquement, Le mot Krump signifie Kingdom Radically Uplifted Mighty Praise (kingdom = royaume ; radically = radicalement ; uplifted = levé, élevé, soulevé ; mighty = puissant ; praise = éloge.)
Si on veut le traduire en français cela donnerait : éloge puissant d’un royaume radicalement levé / soulevé...
1/ Les origines
Cette danse nous vient donc du fin fond des ghettos de Los Angeles où des jeunes aspirant à échapper à la violence des gangs décident d’exprimer leurs peurs et leurs angoisses à travers l’expression artistique (un moyen pour libérer son agressivité et en faire un moyen d’expression artistique). C’est une danse libératrice, une solution à la violence urbaine. C’est un mélange de mouvements saccadés de combat, inspirés par certaines danses africaines. Cette street dance permet de libérer sa colère de façon positive. Le Krump trouve son inspiration dans les danses africaines et se présente comme une alternative au hip-hop. Les techniques sont proches des danses de rue comme le clowning, la street dance et le hip-hop. Le corps se dépasse pour se libérer d’une énergie débordante en se tordant dans tous les sens à des rythmes frénétiques. Détourner son agressivité en l’exprimant de toutes ses forces à travers un duel « Krump », c’est le but de cette danse qui se présente plus comme un mode de vie que comme une mode ! Un moyen inégalé pour que le corps se dépense et expulse tout ce qui fait souffrir ! Au fur et à mesure, c’est une danse des rues qui a conquis les amateurs de performances…
Le Krump est né vers la fin des années 90 dans les pires ghettos de Los Angeles en s’inspirant de l’expérience du clowning. Un ancien prisonnier, Tommy Johnson décide de se transformer en « Tommy le Clown » à sa sortie de prison pour animer la vie de quartier et les goûters d’anniversaire des gosses des ghettos.
Le rite ? Se maquiller, mettre un masque et se défouler dans des mouvements plus rapides les uns que les autres et dans des figures inimitables empruntées à la break dance, au hip-hop
et aux danses tribales africaines. Un show pour amuser la galerie et diffuser un message positif.
Le Krump naît plus tard et se présente comme la version agressive du clowning. Le principe est aussi de se doter d’un maquillage ou de peintures « tribales » et de se réunir en cercle pour se lancer des défis. Il s’agit d’un combat artistique dans lequel la danse est la seule arme et le corps un réceptacle de secousses et de mouvements d’une extrême dextérité un peu comme une transe… Tous les muscles du corps sont sollicités dans ces chorégraphies endiablées. Une façon de dépasser la violence et un message d’acceptation en même temps car, sur la piste de danse, peuvent s’affronter des danseurs de tous âges, de tous sexes et de toutes morphologies. Une danse enfin où la liberté d’improvisation est importante et dans laquelle ce qui compte c’est la puissance de la personnalité exprimée à travers les mouvements.
Vous avez peut-être une âme de krumper… Avant de vous renseigner sur les cours de Krump près de chez vous, je vous conseille fortement de voir le film « Rize » qui illustre la particularité de ce mouvement. Un moyen également de découvrir la formidable richesse des chorégraphies de Krump et l’esprit combatif qui les anime. Une séance ciné est à organiser à la maison avant d’essayer !
2 / Le Krump comme sport
Le Krump est devenu un sport vedette dans les salles de sports. Mélangeant danses des rues et danses africaines, il permet d’obtenir une silhouette galbée et tonique.
Le Krump : une street dance sportive et branchée. Il s’adresse aux personnes qui recherchent une activité tonique afin d’optimiser leurs chances de garder un joli corps. Le Krump a besoin d’une musique forte qui permet de canaliser les mouvements. Les premières séances seront accompagnées des premières courbatures. Ce sport permet de se défouler, de sculpter sa silhouette, d’apprendre à se lâcher et à apprivoiser son corps. Résistance physique, souplesse, sens musical sont de mises pour le pratiquer. Un jogging, un t-shirt et des baskets confortables constituent la tenue idéale.
3/ Le déroulement d’un séance
En général, les cours durent une heure et se pratiquent en groupe. Le coach spécialiste du Krump commence par des échauffements de base. Dès le début, les participants adopteront une attitude guerrière qui sera préservée jusqu’à la fin du cours. Les mouvements de base sont ensuite enseignés afin que les participants puissent suivre le rythme et les chorégraphies. En suivant la cadence, les participants agitent le haut du corps et suivent ensuite les mouvements pour le bas du corps. Les jambes écartées et les genoux fléchis, les membres du groupe gonflent et dégonfle le torse en expirant fortement. Ils enchaînent avec les rotations du ventre, des fesses et du bassin.
Le cours de Krump s’achève par un battle et des improvisations. C’est une occasion pour les participants de se défouler et d’évacuer rapidement le stress et la nervosité. Mis à part son côté artistique et culturel, le Krump est un sport complet. Il permet de modeler la silhouette, car il fait travailler les hanches, les abdominaux et les cuisses. Il permet d’affiner la silhouette tout en renforçant les muscles dorsaux, les fessiers, les abdominaux. C’est une méthode de danse très tonique où vous transpirez beaucoup et ou vous brûlerez beaucoup de calories Grâce au Krump, vous perdez entre 500 et 700 calories par séance. En une dizaine de séances, le corps est plus ferme et tonique. Par contre, les séances d’improvisation peuvent être un frein pour les personnes introverties ou timides.
Article rédigé par Kevin Fortin
Bootcamp Capra Paris - Rentrée des classes
Pour me contacter : manager@gregory-capra.com