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jeudi 28 octobre 2021

Un marathonien au bootcamp du mercredi

Un finisher au bootcamp

En ce mercredi, le bootcamp accueille un marathonien et même un finisher ! Thomas revient sur le stade Léo Lagrange, dix jours après avoir terminé le marathon de Paris. Avec un temps de 4:10:01, il se classe 15170ème sur 27082 participants.    

Les stats de Thomas

Bravo Thomas ! Merci à Aurélie, coach Capra qui l'entraîne chaque semaine ! Bravo à toutes et à tous !

Pour participer au prochain bootcamp : manager@gregory-capra.com

mardi 14 septembre 2021

Les nouveautés du marathon de Paris 2021

Le parcours du marathon de Paris 2021

Le Schneider Electric marathon de Paris se déroulera le dimanche 17 octobre prochain. Voici le parcours qui mènera les coureurs jusqu'à leur rêve : devenir finisher. 

Pour ceux qui connaissent déjà la course, il y a très peu de changements par rapport à 2019 : le passage par la place Vendôme et l'Opéra avaient été ajoutés cette année-là.

Voici ce qui est modifié par rapport à 2019 :
- Dans le bois de Vincennes, les marathoniens contourneront l'hippodrome au lieu de bifurquer avant d'y être arrivés, 
- Le passage à Bastille est modifié, les coureurs ne gambaderont pas sur le pont Morland mais repasseront précisément devant la colonne de Juillet ; il y aura foule à cet endroit, le seul où vous passerez deux fois, au km 7 et au km 23,
- Le contournement du rond-point de la porte Dauphine s'effectuera par le nord et non plus par le sud ; quand vous y serez, il ne vous restera alors que quelques dizaines de mètres avant la ligne d'arrivée.

Il ne reste que quelques jours avant le départ et l'angoisse monte (!!!) mais pas d'affolement, Grégory Capra et les coachs sportifs de son équipe sont à votre service pour vous aider à préparer physiquement et mentalement le marathon de Paris 2021.

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

jeudi 7 janvier 2021

Clément - Reims - Coach Capra

 


Mon enfance se déroule dans la région d’Orléans où je pratique le football durant huit ans, avant de passer au basket jusqu’à l’âge de 20 ans, dans une équipe de niveau régional. 

Après le baccalauréat, m’orienter vers les métiers du sport est une évidence et je rejoins Reims pour des études en Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives (STAPS). 

Je m’adonne à la musculation, au vélo et à la course à pied. Je participe à de nombreux trails dont la CCC (Courmayeur-Champex-Chamonix), course de pleine nature empruntant en grande partie le sentier international de Grande Randonnée du Tour du Mont-Blanc (GR TMB). Cette épreuve de montagne comporte de nombreux passages en altitude (>2500m), dans des conditions climatiques très difficiles (nuit, vent, froid, pluie ou neige). 

Préparateur physique d’une équipe féminine de basket puis d’une équipe de roller hockey qui remporte le championnat d’Europe, je décide de m’orienter définitivement vers le coaching sportif individuel. 

Mon public est large, il va de jeunes qui préparent des concours d’entrée dans la police, l’armée ou les pompiers jusqu’aux séniors. Mon élève la plus âgée est une dame de 96 ans ! 

J’entraîne tout autant des coureurs préparant le marathon de New York que des personnes sédentaires qui souhaitent retrouver une bonne condition physique. 

Expérience technique 
Titulaire de deux Masters en Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives, je me suis spécialisé dans le coaching sportif individuel et de groupe à Reims. Plus de 5 ans d’expérience dans la préparation physique, le fitness, la musculation et la perte de poids sont à votre service pour vous faire progresser le plus rapidement possible. 

Expérience pédagogique 
Coach sportif, je vous motive et adapte les séances en fonction de vos objectifs. Je choisis les exercices qui vous font progresser de manière optimale tout en respectant votre intégrité physique et corrige vos mouvements à chaque instant. 

En outre, je vous apporte un soutien introuvable dans une salle de sport. Je vous aide à progresser et à vous dépasser pour atteindre l'objectif attendu, et prodigue des conseils pour rester en forme au quotidien. 

En définitive, je vous propose un programme d’entraînement personnalisé en fonction de vos objectifs et de vos capacités. 

Spécialités 
- Course à pied et trail, de l’apprentissage au marathon 
- Perte de masse grasse 
- Musculation 
- Entraînement fonctionnel 

Qualifications 
- Master STAPS Physiologie de l’effort 
- Formation à la méthode Grégory Capra 
- Formation en conseils alimentaires Grégory Capra

Pour contacter Clément : manager@gregory-capra.com

lundi 26 octobre 2020

Pierre au trail des forts de Besançon

Pierre, coach Capra à Lyon, dans le finish du trail des forts de Besançon

Il y a peu, je vous disais que Pierre était un spécialiste des sports d'endurance : 10 kilomètres, semi-marathon, marathon et autres distances en course à pied. Impossible donc pour lui de rater le trail des forts de Besançon, une des rares épreuves de la saison maintenue quoique reportée. 

Pierre s'aligne sur le parcours de 19 kilomètres qui propose, une escapade très nature avant la traversée finale de la Citadelle. 

Au programme : la traversée de la célèbre Citadelle, et son passage vertigineux avec vue sur l’arrivée, un passage sur les communes de Montfaucon et de Morre, pour une balade très nature.

Pierre se permet une arrivée très décontractée avec une photo finish en mode loveur. Sa performance est à saluer : 19km et 600m D+ bouclés en 1h39, 64ème/1600 !

Bravo, Pierre !

Pour contacter Pierre : manager@gregory-capra.com

lundi 19 octobre 2020

Adrien - Douai, Cambrai et Valenciennes - Coach Capra

 

Originaire du département du Nord, même si je fais deux de karaté et de judo, dans mon enfance, c’est le football, que je débute à l’âge de 3,5 ans, qui est mon sport de prédilection jusqu’à mon adolescence.

Je joue ailier dans l’équipe de Saint-Amand-les-Eaux et, souhaitant marier pratique sportive de haut niveau ainsi que brillantes études secondaires, je prépare mon baccalauréat en section sport-études à Valenciennes. 

A 16 ans et demi, je commence la musculation dans la salle de sport de mon village tout en continuant à jouer au football et ce jusqu’à l’âge de 21 ans en division d’honneur. Gagnant en masse musculaire, je change de poste et devient arrière. Ma carrure nouvelle me permet d’arrêter les attaquants ! 

Après mon baccalauréat, j’imagine m’inscrire en STAPS pour travailler dans le sport mais l’un de mes entraîneurs, à Saint-Amand-les-Eaux, me conseille de passer un Brevet d’Education, de la Jeunesse, de l’Education Populaire et Sportive Activités de la Forme. 

Je suis ses conseils et me voici, aujourd’hui coach sportif. Bonne pioche, j'aime aider les gens à atteindre leur objectifs et s'adapter pour qu'ils aiment ce qu'ils font est important pour moi. 

Expérience technique 
Comme il se doit, je prépare mon diplôme par alternance avec 
- une première partie dans une salle de boxe et de CrossFit à Tourcoing où j’acquiers les bases du métier en matière de musculation, 
- une seconde partie dans une salle de remise en forme à Douai où j’acquiers les bases du métier en matière de cours chorégraphiés. 

Par ailleurs, je m’entraîne avec le club de marathon de mon village et cours sur les chemins, souvent boueux, des forêts du Nord ! 

Expérience pédagogique 
Personal trainer, j’ai l’expérience d’un public varié, de 16 à 82 ans qui fait appel à mes services pour régler des problèmes de dos, perdre du poids, prendre de la masse musculaire, se remettre en forme ou préparer un concours d’entrée dans l’armée, la police ou les pompiers. 

Spécialités 
- Musculation 
- Cardio-training 
- Fitness 
- Perte de poids 
- Prise de masse musculaire 
- Football 
- Course à pied 
- Préparation de concours pompiers, police, armée, … 

Qualifications 
- Brevet d’Education, de la Jeunesse, de l’Education Populaire et Sportive Activités de la Forme (BP JEPS AF) 
- Formation à la méthode Grégory Capra 
- Formation en conseils alimentaires Grégory Capra

Pour contacter Adrien : manager@gregory-capra.com

dimanche 29 décembre 2019

Ultra-trail en Finistère sud

Port de Lesconil
Voici ce qui m'est arrivé en août dernier, lors de mon séjour sportif en Bretagne : un footing solitaire sur les plages du Finistère sud qui se termine en ultra-trail ! C'est vrai que je devais brûler les calories ingérées à l'occasion de mon dîner d'anniversaire.

Fête de la langouste
C'est au port de Lesconil que commence mon aventure, le jour de la fête de la langouste, avec Bretons et Bretonnes en costumes traditionnelles. Cette province a su garder ses valeurs et fait honneur à ses produits.


La plage de Bénodet
Je cours sur le sable blanc, je traverse Loctudy et me voici à Bénodet lorsque tombe la nuit... Que de bons souvenirs de mes premiers séjours sportifs collectifs ! Il est trop tard pour faire demi-tour alors je continue.


Cap Coz
Quand le jour se lève, j'arrive au Cap Coz, à Fouesnant. Pas question de continuer plus à l'est, de rejoindre Concarneau, une nouvelle vient de tomber qui attire mon attention : une baleine de 13 mètres de long s'est échouée sur la plage de Penmarch. 

Raccourci
Je fais demi-tour, je repasse par Bénodet où des touristes ont la gentillesse de me prendre en bateau et de m'amener jusqu'au port de Lesconil. Je reprends alors ma course à pied jusqu'à Penmarch où je découvre la baleine. 


La baleine échouée sur la plage de Penmarch
Le retour en courant jusqu'au port de Lesconil, quand la nuit tombe, conclut mon trail de 85 kilomètres environ, un double marathon, sur le sable fin des plages bretonnes.

A suivre...

Les articles précédents sur le séjour sportif de Grégory Capra en Bretagne :
- L'arrivée de Grégory Capra en Bretagne

- L'anniversaire de Grégory Capra en Bretagne

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

mercredi 25 décembre 2019

Le bon usage de la maltodextrine

Arthur - Genève & Haute-Savoie - Coach Capra
La nutrition représente un facteur clé dans la performance sportive de haut niveau et notamment l’apport et la qualité des glucides. Ils sont présentés comme le carburant du sportif. Parmi ces glucides, la maltodextrine est le produit à la mode chez les athlètes pratiquant notamment des sports d'endurance (marathon, triathlon, trail, ...) encore faut-il utiliser cette poudre miracle à bon escient. 

La maltodextrine est obtenue grâce à l’hydrolyse d’amidon de céréales comme le blé, le maïs ou encore de la fécule de pomme de terre ou le manioc. Le procédé de l’hydrolyse consiste à découper de longues chaînes de glucides en chaînes plus courtes pouvant contenir différents sucres comme le glucose, le maltose ou d’autres sucres complexes. 

Toutefois, ce procédé peut être arrêté à différents niveaux donnant lieu à différentes formes de maltodextrines. Elles sont définies par le degré d’hydrolyse exprimée en D.E. ou Dextrose Equivalent. En effet, plus l’hydrolyse est importante, plus le D.E. est élevé et plus la proportion de sucres simples dans la maltodextrine est élevée.

La maltodextrine avant la compétition
Les derniers jours avant une épreuve sportive de longue durée (marathon, trail, ultra, triathlon, ski de fond….), il est conseillé aux athlètes de consommer de grandes quantités de glucides afin d’augmenter leurs réserves de glycogène.

Les maltodextrines, contrairement à ce que l’on peut lire sur bon nombre de sites commerciaux, ont des index glycémiques très élevés (proches de 100). Ces sucres vont donc fortement perturber l’organisme et en particulier la sécrétion d’insuline. 

En période de pré-compétition, ceci est gênant car cela peut réduire à néant tout ou partie du travail de préparation de l’athlète. En effet, l’objectif de l’entraînement soutenu par une alimentation ad-hoc est de permettre une adaptation à l’effort de longue durée. 

Lors des derniers jours avant une compétition, il faut une alimentation hyperglucique mais, si possible, évitez la maltodextrine et remplacez la par des aliments à index glycémique bas (ou moyen) et denses : abricots secs, figues sèches, pain d’épices, pain au levain...

Sur les tous derniers jours, il est judicieux de faire attention à ne pas ingérer trop de fibres (présentes dans les céréales complètes, certains légumes et fruits, certaines légumineuses) afin de limiter le risque de gène intestinale lors de la compétition. Tout est alors une question de connaissance de soi et de mesure !

La maltodextrine pendant la compétition
Les boissons de l'effort sont formulées pour apporter l’énergie nécessaire au sportif durant son épreuve d’endurance. Elles doivent idéalement apporter 60 à 80 g de glucides par litre de boisson. Autre qualité indispensable, elles doivent avoir une osmolarité (concentration moléculaire globale) proche de celle du sang afin de limiter le risque de troubles digestifs (douleurs, pesanteur, vomissements). On parle de boisson isotonique ou iso-osmolaire. Or, il est impossible d’apporter une telle quantité de glucides sous la forme de glucose ou de saccharose (sucre de table) dans une boisson sans que celle-ci soit hypertonique (la boisson est plus concentrée que le sang).

C’est là que l’utilisation de la maltodextrine devient intéressante car la polymérisation du glucose sous forme de maltodextrine permet d’apporter un nombre important de molécules de glucose dans une seule molécule de maltodextrine et donc de pouvoir diminuer la tonicité d’une boisson pour une même quantité de glucides. La maltodextrine présente en outre l’avantage de conférer un goût neutre et peu sucré à la boisson qui sera consommée plus aisément (lors des compétitions de longues durées les sportifs sont facilement écœurés par une saveur sucrée trop marquée).

La conclusion 
Alors vous l'avez compris, la maltodextrine avant votre marathon, votre triathlon ou votre trail, c'est non, n'écoutez pas les arguments marketing des fabricants. Par contre, pendant la compétition, c'est oui pour la qualité de l'apport énergétique et éviter les problèmes de digestion !  

Enfin, tout ceci n'est que mon conseil, peut-être avez-vous d'autres retours d'expériences de consommation de maltodextrine... 

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

dimanche 15 décembre 2019

Semi-marathon en Luberon

Grégory Capra et Christophe
La saison des trails, la saison des marathons ou semi-marathons, la saison des randonnées, les abdos dessinés pour la plage,... , ça ne se prépare trois mois avant mais dès maintenant. Voilà pourquoi Christophe passe la journée en Luberon. 

Le parcours
Inspiré par Laurent, son élève vendéen, Grégory Capra concocte pour Christophe, venu de la région de Marseille, un programme adapté : courir du Coustellet au Pont Julien, un aller / retour de 20 km dans la vallée du Calavon.


L'aller
A l'aller, tout se passe bien, sous le soleil retrouvé, mais bas sur l'horizon, de Provence, même si le chemin monte un tout petit peu. C'est son défi, Christophe maudit Laurent mais assume. C'est un sportif Capra ou pas ?!

Le retour
Après trois heures de course, les choses se gâtent : deux grosses galettes et une hypoglycémie ! Mais Christophe ne lâche rien, il va jusqu'au bout, avec une épaisseur en moins ! Il fait chaud au mois de décembre en Luberon !

Grégory Capra - Coach sportif et masseur
Tu as parcouru 20 kilomètres en 5 heures, ta performance est enregistrée ! Bravo, Christophe !

Bientôt, ce sera le tour de David, mon élève parisien !!!

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

samedi 5 octobre 2019

Les courbatures

Grégory Capra - Coach sportif et masseur
Les courbatures, qu'est-ce que c'est ? Comment les éviter ? 
Comment éviter les courbatures après le sport, et en particulier après la course ? Est-ce toujours possible ? Et comment interpréter les courbatures quand on en a ? 

À moins d’avoir des muscles en béton armé ou de faire toujours de l’entraînement de basse intensité, on a tous déjà expérimenté les courbatures après le sport, quel qu’il soit. Mais par sa nature traumatisante, avec ses chocs répétés à chaque foulée, la course à pied est très propice aux courbatures. Je suis donc sûr que vous avez déjà expérimenté cette sensation de muscles courbaturés après une séance. Mais avez-vous déjà creusé le sujet pour comprendre la cause des courbatures ? Et au final comment éviter les courbatures ? A-t-on raté quelque chose lorsque l’on a des courbatures après un entraînement ? Ou est-ce l’inverse ? Je vous propose d’aller plus loin sur ce sujet aujourd’hui pour mieux connaître les courbatures et bien les interpréter ! 

Les courbatures : qu’est-ce que c’est ? 
En termes de définition, les courbatures sont simplement des douleurs musculaires apparaissant à la suite d’un effort physique intensif ou inhabituel. Les douleurs relatives aux courbatures ne sont pas immédiates. On appelle ça des douleurs musculaires d’apparition retardée. Qui ne s’est pas réjoui au réveil, après un gros entraînement, de ne pas avoir de courbatures… Pour se rendre compte, le soir, qu’elles commencent à arriver… Et le surlendemain de l’entraînement que les courbatures sont désormais vraiment présentes et douloureuses…

C’est tout à fait normal ! Les courbatures sont des douleurs qui apparaissent progressivement et atteignent leur paroxysme entre 24h et 72h après l’entraînement. Elles disparaissent ensuite aussi progressivement qu’elles sont arrivées en quelques jours et jusqu’à une semaine pour les plus grosses courbatures (après un marathon par exemple !). 

La cause des courbatures ? 
Les courbatures font partie des réactions de base du corps et pourtant il existe encore des interrogations à leur sujet dans la communauté scientifique. La thèse la plus communément adoptée sur la cause des courbatures parle de micro-traumatismes au niveau des fibres musculaires et des tendons. Ces micro-traumatismes provoquent des micro-lésions caractérisées par une rupture de capillaires sanguins et donc de petits épanchements de sang.

Bref, on a “cassé nos muscles” et lorsque l’on se fait mal quelque part, le corps déclenche une réaction inflammatoire qui, pour nous, se traduit en sensation douloureuse. Pour éviter un article qui continue dans des termes scientifiques et aussi très complet sur le sujet, je vais comme d’habitude continuer sur un langage plus simple, en gardant juste ce qui va nous servir dans notre quotidien de coureur ! 

Grégory Capra - Coach sportif et masseur
L’activité physique est essentielle pour la santé. Pour les habitués du sport, voilà donc une excellente pratique ! Mais comment éviter les courbatures, parfois très désagréables, après une séance ? 

S'échauffer avant chaque séance 
Avant la pratique de tout sport, un échauffement minutieux est essentiel pour éviter les courbatures. Commencez donc chaque séance de façon progressive afin d'échauffer vos muscles et de laisser le corps s'adapter à l'effort petit à petit. Quelques étirements sont également nécessaires. Ne les négligez pas. 

Boire beaucoup d'eau 
La déshydratation favorise l'apparition des courbatures. Pour fonctionner à plein régime, les cellules du corps ont besoin d'eau. Celle-ci est aussi nécessaire pour éliminer les toxines. Hors de question donc de commencer une activité physique sans être suffisamment hydraté. Lors de la séance, pensez également à boire régulièrement et par petites gorgées, idéalement un équivalent d'un verre d'eau toutes les 15 minutes. 

Respecter son rythme 
Ne forcez jamais durant un entrainement et respectez votre rythme, en augmentant l'intensité des exercices au fur et à mesure. Une séance sportive réussie doit respecter des possibilités. Vers la fin, diminuez l'effort et l'activité musculaire petit à petit, afin de respecter l'intégrité des muscles et de mieux prévenir l'apparition des contractures. De même, si les efforts physiques n'est pas une habitude, laissez passer 1 jour ou 2 entre chaque séance. 

Faire des étirements 
À la fin de la pratique, effectuez des étirements au niveau de chaque groupe de muscles sollicités durant l'effort. Réalisez plusieurs séries, sans jamais brusquer ni étirer trop fortement. De la douceur avant tout ! Sachez qu'en prime, le stretching permet également de se relaxer. De bonnes raisons de na pas s'en priver. 

S'offrir un bain chaud 
La chaleur permet de détendre les muscles et de favoriser la récupération. Après la séance de sport, rien de tel donc de plonger dans un bain chaud. Terminez par une douche froide pour tonifier les muscles en boostant la circulation du sang. 

Se masser 
Après une pratique sportive intense, misez sur un massage, éventuellement réalisé avec une pommade antalgique, pour soulager les muscles. Le massage suédois est notamment réputé très efficace contre les courbatures. Effleurage, pétrissage, friction, percussion et vibration sont les manoeuvres de base. Elles permettent de dénouer les muscles et d'atténuer les tensions. Le massage suédois est également parfait pour booster la circulation sanguine et lymphatique et favoriser l'élimination des toxines. 

Prendre un antalgique si besoin 
Les antalgiques et anti-inflammatoires sont efficaces pour soulager les courbatures. Si la douleur est trop importante, il est donc conseillé d'en prendre un. Veillez cependant à consulter un médecin. Même s'ils ne nécessitant pas d'ordonnance, il est préférable, en raison des possibles effets secondaires et de certaines contre-indications, d'avoir son accord.

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

vendredi 26 avril 2019

Bootcamp avec un marathonien

Bootcamp avec un marathonien
La course à pied est régulièrement mise à l'honneur durant les bootcamps animés par Aurélie, coach Capra à Paris, et.cet entraînement donne des résultats ! Thomas, participant assidu au bootcamp, est inscrit à l'édition 2019 du marathon de Paris. Il termine la course en 4 heures 20 minutes et 49 secondes et se classe 29 473ème sur 47 486 coureurs, avec une moyenne de 9,71 km/h.

La course de Thomas en chiffres
Bravo Thomas ! Bravo à tous ! Merci, Aurélie !

Pour participer au prochain bootcamp : manager@gregory-capra.com      

jeudi 11 avril 2019

Bootcamp fractionné

Aurélie et ses marathoniens
A quelques jours du marathon de Paris, Aurélie, coach Capra à Paris, retrouve ses coureurs sur le stade Léo Lagrange (75012), pour une série de fractionnés. Ils alternent des sprints et de la course à allure modérée, sur la piste d'athlétisme. Seront-ils prêts pour les 42,195 km de dimanche ? Le bootcamp du mercredi soir est là pour les y aider !

Bravo à tous ! Merci, Aurélie !

Pour participer au prochain bootcamp : manager@gregory-capra.com

dimanche 24 mars 2019

Grégory Capra à Vars et Risoul

Grégory Capra - Coach sportif
Ski, lunettes et crème solaire, le printemps arrive et c'est à Vars et Risoul que ça se passe ! Grégory Capra partage des moments de pur bonheur entre amis. Avec ses élèves, il découvre les sports d'hiver autrement !

Vars
Avec des journées plus longues et des températures plus douces, il vit un ski détente et festif, change ses habitudes, teste le printemps du ski et les bienfaits de cette période. Au programme: bons moments, grand bol d'air et belles couleurs pour cette saison 100 % plaisir.

Sortie en raquettes
Le printemps du ski c'est la saison à ne pas manquer, une autre idée du bonheur ! Grégory Capra ne peut pas attendre plus, il fait le plein de ski et de randonnées en raquettes ! Plus de ski, plus de plaisir, plus de chaleur, plus de temps pour soi, plus de bonheur !




Grégory Capra sur les bosses
Avec Grégory Capra, un séjour sportif à la montagne, c'est un concentré d'événements, une savoureuse série d'animations et un zeste de soleil. Mélangez le tout, vous obtiendrez une généreuse gorgée de sourires !


Risoul
Le domaine skiable de Vars est relié avec celui de Risoul, dit de la forêt blanche, c'est donc l'occasion de s'échapper et de découvrir, depuis le col de Crévoux, le lac de Serre-Ponçon, célèbre notamment grâce à l'Ironman d'Embrun !

Le stade de ski de vitesse de Vars
La montagne, avec Grégory Capra, ça vous gagne !

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

jeudi 7 mars 2019

Un bootcamp du mercredi à l'allure marathon

Les marathoniens
Sans pitié pour les Mancuniens et les Parisiens, mes sportifs délaissent le petit écran et le match de football star du soir. Ils préfèrent participer au bootcamp, animé par Aurélie, coach Capra à Paris, qui les préparent au marathon de Paris, l'événement qui aura lieu le mois prochain. La piste d'athlétisme du stade Léo Lagrange (75012) est idéale pour les entraînements de course à pied.

Vous avez bravé la pluie ! Bravo à tous ! Merci, Aurélie !

Pour participer au prochain bootcamp : manager@gregory-capra.com

samedi 15 décembre 2018

Virée nocturne sur le mont Ventoux

Claude et Django
Les séjours avec Claude sont aussi puissants en renforcement musculaire qu'en cardio-training. De jour comme de nuit, Grégory Capra, son coach sportif, doit le pousser dans ses retranchements mais Claude résiste. Après un marathon, c'est une virée nocturne sur le mont Ventoux !

Les marathoniens
L'article précédent sur le séjour sportif privé de Claude en Luberon :
- Début de séjour christique

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

dimanche 15 avril 2018

Entre sacrifice et fierté, il n’y a qu’un pas... ou plusieurs dizaines de kilomètres

Pierre
La vie d’un traileur n’est pas toujours très simple. Cela demande des sacrifices, et ce dans tous les domaines, que ce soit dans le domaine culinaire, financier et même social. Une course, aussi bien trail découverte, trail classique ou ultra-trail ne demandera pas les mêmes sacrifices selon notre niveau, nos objectifs, notre motivation et bien d’autres choses, mais chacune a des exigences et nécessite un minimum de préparation. Mais pourquoi s’infliger cela alors ? Pourquoi se « faire du mal » pour ce que beaucoup pensent être une simple course ?

Pierre
D’un simple défi personnel à une revanche sur la vie, en passant par une (re)prise en main de sa santé, nombreuses sont les raisons qui nous poussent à nous inscrire à des courses, et TOUTES sont respectables. Certains jouent le podium, le chrono, la performance, tandis que d’autres ne pensent qu’à franchir la ligne d’arrivée, prendre du plaisir, faire des rencontres.

Pierre
Tout se passe généralement en quelques clics de souris. Recherches Google, avis de la communauté des traileurs, site officiel de la course et des dizaines de vidéos Youtube plus tard : « Inscription », « finaliser commande », « payer » et vous vous retrouvez inscrit pour un trail à l’autre bout de la France (à défaut de pouvoir aller à l’autre bout du monde). Sur le moment, c’est l’euphorie, la joie et l’envie qui se manifestent. Puis il faut se rendre à l’évidence, il faut s’entraîner. Un petit programme jusqu’au jour J, plus ou moins fourni, plus ou moins sérieux, plus ou moins respecté, c’est vrai, mais un programme tout de même. Lors de chaque sortie, les images des vidéos de THE course visionnée des dizaines et des dizaines de fois remontent en tête ; on s’y croirait presque… Les jours passent… Pour certains, l’objectif 0 alcool pendant la préparation est difficile à tenir… Pour d’autres, c’est plutôt les sucreries (dans mon cas par exemple… Hmmm… Vive la gourmandise…), et enfin, pour certain(e)s, l’abstinence devient pesante… Au fait ? Pour ou contre l’abstinence avant une course ? Non, bref, je m’égare… Les semaines passent, puis les mois… On en vient à se demander qui de nous ou de notre entourage souffre le plus de cette préparation. La course approche à grand pas, la pression monte et la peur pointe le bout de son nez. L’avantage, c’est que ce n’est pas la peine de se prendre la tête sur les menus de la semaine. Pâtes, riz, pâtes, pâtes, riz… Les derniers jours avant la courses, les jambes frétillent, l’envie d’aller courir, que dis-je, le besoin d’aller courir se fait sentir, mais il faut que tu résistes, prouves que tu existes (pardon), et être raisonnable. A chacun ses petites mimiques la veille d’une course. Personnellement et comme beaucoup d’autre, je prépare toutes mes affaires sur mon lit, pour être certain de ne rien oublier, du caleçon fétiche aux fraises Tagada. La première bataille commence alors : accrocher le dossard. Dans un premier temps, il ne faut pas se piquer les doigts. Dans un second, il faut que celui-ci soit droit ! Non mais vous vous voyez vous sur les photos de la course avec un dossard de traviole ? I-N-I-M-A-G-I-N-A-B-L-E ! On s’efforce de vouloir se coucher tôt tout en sachant pertinemment que l’on ne dormira pas plus tôt du tout, avec cette petite boule au ventre. On ne dirait pas comme ça, mais même après 35 courses de 10 à 65 km, la boule au ventre est encore là…

Pierre
THE D-DAY !!! Réveil comme un petit fou, après une nuit mitigée. La tête est déjà partie, les jambes sont prêtes à souffrir, mais le petit-déjeuner lui ne se fait pas tout seul. Une fois encore, chacun voit 3h00 à sa porte… Ben oui, pour un départ à 5h30/6h, réveil au minimum à 3h00… Le stress monte, moooonte, mooooooooooooooonte, et PAN, le départ est lancé. D’un coup, d’un seul, toute la peur, le stress, l’anxiété disparaissent et on part avec des centaines de copains que l’on n’a jamais vus auparavant, et qui comme nous, mettent aujourd’hui un terme à quelques sacrifices, tout en apothéose. Pendant la course, on se met à penser à des choses auxquelles on n’aurait jamais imaginé penser un jour… « Tiens c’est quand même bien foutu un arbre », « ça a quel goût les feuilles de chêne ? », « et zut, j’ai envie de… » Vous l’aurez compris, on pense à tout et en même temps à rien. On se regarde tous, on bave sur le sac du voisin, on envie les mollets de celui de devant, on encourage celui en difficulté, on se fait encourager quand on est soi-même en difficulté. Les kilomètres passent, tout va bien. Aux ravitaillements on prend certes le temps de s’alimenter, de s’hydrater, mais surtout d’échanger avec les bénévoles, eux qui sont parfois levés bien avant nous, qui pour certains aimeraient être des nôtres mais qui ont fait le choix de se sacrifier pour que nous passions un merveilleux moment… C’est ça le trail : du partage ! Car sans eux, nous ne serions pas là … nous serions encore au lit… un liiiiiiiit… on a déjà oublié ce que c’était que de s’allonger. Voici alors LE moment difficile. Les jambes lourdes, l’estomac en vrac, une côte à 35% sur une durée indéterminé… on regarde le profil de la course imprimé sur le dossard, et… oh… mais… elle n’était pas annoncée cette bosse-là ! Nous aurait-on menti ? On prend sur nous, on continue. On se fait doubler de tous les côtés, on se décourage, puis on regarde la couleur des dossards et… Soulagement… Ils sont sur la distance inférieure. Ils ne se sont levés qu’à 5 heures eux ! Autrement dit la grasse matinée ! On se dit que « plus jamais… » Non mais c’est vrai quoi, faut être con ! Puis arrive un nouveau ravitaillement. Nouveaux sourires, nouvelle banane, un TUC et ça repart (on trouve rarement de Mars aux ravitaillements). Il reste 10 km, on n’a jamais été aussi proche. Etrangement, les jambes reviennent, et ces 10 derniers kilomètres, je ne vais pas dire qu’ils passent crème, mais presque. L’objectif touche au but, mais il faut rester lucide. On n'est pas à l’abri d’un accident même a quelques centaines de mètres de l’arrivée. Le public se fait de plus en plus dense, et il scande notre nom !!! Allez, Allez, encore 400 mètres !!! Non, nous ne sommes pas populaires, connus et reconnus… Notre nom est simplement écrit sur le dossard. Puis la ligne d’arrivée avec son arche majestueuse se montre enfin. De nombreux sacrifices, de nombreux doutes, de nombreuses craintes s’effacent aussitôt la ligne d’arrivée franchie et laissent place à la plus totale euphorie.

Pierre
On se serre dans les bras l’un de l’autre, on s’embrasse, on se félicite et on est félicité par des gens venus encourager un autre concurrent. On est fatigué. Fatigué mais heureux, avec un sourire qui en dit long. « Plus jamais » mais à l’année prochaine !!! Parce que oui, à peine terminée, on pense à la prochaine. Il n’y a maintenant plus que deux choses qui nous hantent l’esprit. Aller dormir, parce que mine de rien on est levé depuis 3h00 du mat’ NOUS, et raconter à qui voudra l’entendre, et même à qui s’en fout royalement le résumé de notre course, car oui, on en est super fier !!!! Sans doute que nous sommes chiants avec nos comptes rendus à rallonge. Sans doute que lorsque l’on commence notre récit vous lâchez intérieurement un soupir de désespoir, et que lorsque nous finissons, vous lâchez un soupir de soulagement. Sans doute que vous vous sentez un peu délaissés lors de ces moments. Mais n’oubliez jamais que c’est en partie grâce à vous que nous sommes parvenus à aller jusqu’au bout… On ne vous le dira jamais comme ça, mais dans les moments difficiles on pense à vous tous.

Pierre
Alors à ceux qui dans l’incompréhension la plus totale nous posent sans cesse des questions. Nous ne vous demandons pas de comprendre… vous ne pourriez pas… Simplement respecter nous. Respectez notre sport. Respectez notre passion. Et quand bien même vous voudriez réellement comprendre, trouvez chaussure à votre pied, prenez une bonne dose de motivation, ouvrez grand les yeux, et nous nous ferons un plaisir de vous emmener à l’aventure sur les sentiers. A votre rythme bien-sûr. Mais c’est quand vous voulez.

Pierre
Un grand merci à Pierre qui a accepté le partage de se texte sur mon blog pour vous éclairer sur la vie d'un traileur.

Vous pouvez retrouver Pierre sur sa page Facebook "Un caillou qui court"  : https://www.facebook.com/UnCaillouQuiCourt/


Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

lundi 9 avril 2018

La récupération après un marathon par Grégory Capra dans le Huffingtonpost

Les coureurs du marathon de Paris passe devant la tour Eiffel
Vous venez de terminer le quarante-deuxième marathon de Paris et vous vous demandez comment récupérer ? Les réponses de Grégory Capra sont déjà en ligne dans le Huffington Post !

Les conseils de Grégory Capra sont à lire, ici : 

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vendredi 6 avril 2018

L'entraînement au marathon de Paris Grégory Capra et le Huffington Post

Départ
Le marathon est un aboutissement pour de nombreux coureurs, un challenge, un défi qu'il est intéressant de se lancer mais à réaliser avec beaucoup de précautions !

Grégory Capra, coach sportif, livre au Huffington Post ses conseils pour bien préparer un marathon. 

L'article est à lire, ici :  

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vendredi 29 septembre 2017

Mick au départ du Half Marathon des Sables Fuerteventura 2017

Mick au départ
Après 20 participations consécutives au Marathon des Sables, dans le désert marocain, puis un break pour l'ascension du Djebel Toubkal, le point culminant de l'Afrique du Nord à 4167 mètres, Mick fait son retour avec le Half Marathon des Sables 2017 à Fuerteventura.

L'affiche !
Après deux ou trois jours d'acclimatation dans l'archipel des Canaries (cuisine locale à base de poissons et de fruits de mer, bain dans l'océan Atlantique,...), Mick rejoint les 499 autres coureurs inscrits à ce défi.

Le camp de base
C'est une première bonne surprise pour Mick : la météo est clémente, le camp de base est monté, les tentes sont légères,... c'est un détail important car, le lendemain, commence un trail de 125 km en totale autonomie !

Mick au départ
Mick est peut-être le doyen de mon équipe mais, à 70 ans, cet ancien parachutiste est toujours en forme et fidèle à mes boot camps, séjours sportifs et séances de coaching sportif !

A suivre...

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