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dimanche 27 novembre 2011
Boot camp Capra Paris - Warriors
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Le fromage Capra au bootcamp !
Bravo à tous pour votre courage !
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Sylvain rencontre Gilles, coach Capra à Rennes
Sylvain était un très bon nageur, 8 heures de natation par semaine, des compétitions, un coach qui le suivait de près... mais, il a arrêté, il y a près de 10 ans, et il a pris 20 kg ! Ca ne va plus du tout. Il a donc choisi de faire appel à mes services. Je l'ai mis entre les mains de Gilles, coach sportif de mon équipe à Rennes.
Impressions de Sylvain sur le premier contact...
Les photos : "J'ai vu ses photos il est impressionnant, c'est une bête de scène, il est motivant en tout cas !"
Au téléphone : "Le contact passe super bien, c'est déja un bon point car il reste intimidant le monsieur, lol"
La première rencontre : "Super, c'est vraiment quelqu'un d'impressionnant maintenant y'a plus qu'à tout commencer demain. J'ai hâte de voir les résultats !!!"
Maintenant, Sylvain a la pression pour suivre le programme sportif et les conseils alimentaires de Gilles !
A suivre...
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samedi 26 novembre 2011
Séance de massage ou chronique annoncée du plaisir avec Grégory Capra
Quoi de plus envoûtant que de se laisser porter, emporter, masser après une journée pleine de stress et d'émotions. Venez partager mon coup de cœur avec une gourmandise contagieuse. Poussez la porte des Instituts Grégory Capra. Sérieux, écoute, professionnalisme sont au rendez-vous. Délicat, tactile, soucieux de créer une harmonie entre le corps et l'esprit, Grégory Capra répond aux attentes de chacun... Superbe idée de cadeau idéal pour les fêtes de fin d'année !
Chris, 33 ans, Guéret
Pour un massage bien-être, me contacter : manager@gregory-capra.com
vendredi 25 novembre 2011
Enzo : joie et douleur
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Risotto aux cèpes
Jean-Michel se rappelle à ses origines italiennes pour nous livrer sa recette du risotto aux cèpes, risotto ai funghi porcini comme on dit à Milano !
Pour 2 personnes :
- 200 g de riz rond (ou spécial risotto)
- quelques champignons de Paris en lamelles
- une belle poignée de cèpes déshydratés
- 1/2 bouillon cube de légumes
- 1/2 verre de vin blanc sec
- 12.5 cl de crème fraiche liquide
- 1/2 l d'eau
- 1/2 oignon blanc émincé ou haché
- 25 g de beurre ou de l'huile d'olive
1. Préparer des copeaux de parmesan avec un économe
2. Préparer un bouillon en faisant chauffer l'eau et le bouillon cube de légumes. Hydrater les cèpes dans l'eau tiède durant 30 minutes.
3. Faire revenir l'oignon émincé dans la moitié du beurre ou l'huile d'olive pendant 3 à 4 minutes et ajouter le riz, laisser revenir jusqu'à ce que le riz soit translucide. Verser le vin blanc et laisser évaporer.
4. Ajouter louche par louche le bouillon chaud et attendre chaque fois, entre chaque louche, que le liquide soit évaporé.
5. Pendant ce temps, faire revenir les champignons de Paris en lamelles et les cèpes réhydratés, rincés et égouttés dans le restant de beurre (compter environ 7 à 10 mn). En fin de cuisson, ajouter la crème fraiche et bien mélanger. Arrêter le feu.
6. Ajouter au riz, une fois la dernière louche de bouillon de légumes évaporée, la poêlée de champignons et bien mélanger l'ensemble. Hors du feu, ajouter des copeaux de parmesan (la quantité est en fonction des goûts de chacun). Poivrer si nécessaire. Mélanger à nouveau et servir rapidement .
Décorer avec quelques copeaux de parmesan.
Buon appetito !
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jeudi 24 novembre 2011
Thailande : Episode 5
Bises,
Greg
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Sébastien au semi-marathon de Boulogne-Billancourt
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Judo : Kilian, médaille de bronze en Russie
Bravo Kilian !
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mercredi 23 novembre 2011
Enquête "STAPS... et après ?"
Récemment, je lançais une enquête intitulé "STAPS... et après ?" : http://gregory-capra.blogspot.com/2010/08/staps-et-après.html
A l'adresse des anciens STAPSiens, ces questions :
1/ Votre objectif professionnel avant de rentrer en STAPS ?
2/ Votre situation professionnelle à la sortie des études ?
3/ Rêves, réalités : selon vous, y-a-t-il une discordance entre le discours sur cette filière et l'approche que vous avez pu avoir sur le terrain ?
4/ Vos perspectives professionnelles à cours et moyen terme ?
Micka a bien voulu témoigner pour aider les jeunes attirés par cette filière.
1/ Votre objectif professionnel avant de rentrer en STAPS ?
Quand je suis rentré en Staps, mon objectif était de devenir prof car mes différents profs d'EPS ont su me donner envie de suivre leur chemin.
2/ Votre situation professionnelle à la sortie des études ?
J'ai eu la "chance" de faire partie des admis au concours et je suis donc prof d'EPS en collège aujourd'hui.
3/ Rêves, réalités : selon vous, y-a-t-il une discordance entre le discours sur cette filière et l’approche que vous avez pu avoir sur le terrain ?
Il est vrai que les Stapsiens sont de grands fêtards et les soirées STAPS représentaient bien cela. Cependant, au fur et à mesure que l'on avance dans le cursus universitaire, les étudiants deviennent moins fêtards et passent beaucoup de temps à travailler et à réviser. Surtout quand on a un concours à préparer, la vie sociale est mise entre parenthèses.
Le préjugé vexant est de penser que un sportif n'a pas de "cerveau" mais que des muscles. Dès l'entrée en STAPS, les activités sportives sont à 50/50 avec les cours magistraux et travaux pratiques. Enfin, lors du concours, les sports ont un coefficient très faible par rapport aux écrits et oraux.
4/ Vos perspectives professionnelles à cours et moyen terme ?
J'ai voulu être prof et je le suis. Cependant, je ne pense pas finir ma carrière comme prof car le monde de l'enseignement est très difficile de nos jours.
Voilà, j'espère avoir pu apporter quelques infos intéressantes.
Micka
Vous aussi vous pouvez participer à cette enquête.
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lundi 21 novembre 2011
Enzo : un sportif blessé
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Thaïlande : Episode 4
Bénéficiant d'un emplacement privilégié au bord de la mer, mon hôtel offre une vue spectaculaire sur la baie de Kata (pas de rapport avec le karaté, je crois) et sur ses beaux paysages tropicaux. C'est au bord de la piscine extérieur avec bar que je prends mon petit déjeuner, observant un cours d'aquagym. Aujourd'hui, ce n'est pas moi qui travaille...
Le cours est terminé, je plonge dans la piscine pour faire quelques longueurs. On me dit que la ville de Kata est très bien, que sa taille raisonnable en fait un endroit agréable, qu'il faut fuir Patong... Que faire ? Je m'étire et réfléchis... Je vais aller à la plage !
J'enfourche ma grosse bécane et à fond direction la mer. Toutes les rues de Kata sont les miennes, je sais rouler à gauche maintenant. Le casque rouge me protège, mais, pour les chaussures, ne suivez pas mon exemple... Embarquez avec moi, c'est parti pour le tour des plages de l'île de Phuket !
La baie de Palay, quelle beauté ! Cette baie encore sauvage est bordée dans sa plus grande partie de mangrove. Ce n'est pas l'endroit idéal pour la baignade mais un endroit extraordinaire pour réaliser de belles photos. D'ailleurs, je vais me pousser pour la photo suivante...
De nombreuses barques de pêcheurs sont amarrées en bordure de la côte. En repartant, je vais m'arrêter dans un très bon restaurant de fruits de mer pour déguster les spécialités de Phuket : Hor Mok Pla (poisson safrané au lait de coco, cuit dans une feuille de bananier) ou Kao orb (riz safrané à l'ananas présenté dans un ananas évidé) et, bien sûr, coquillages et crustacés cuisinés à la mode thaï... Succulent !
Rawaï beach, cette baie est la préférée des thaïlandais qui viennent y pique-niquer en famille ou entre amis. La population locale y est principalement musulmane. Rawaï a peu évolué ces dernières années et est restée une des plages les plus pittoresques de l'île. Elle n'est pas extraordinaire pour la baignade mais l'eau y est peu profonde et la présence de végétation en bordure avec la présence des îlots au large lui confère un charme certain. De nombreux bateaux à longue-queue et hors-bord y sont ancrés.
Aujourd'hui, je m'en suis mis plein les yeux...
A suivre !
Greg
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dimanche 20 novembre 2011
Le long drive
Cette discipline décalée du golf n’a en commun que la balle et le driver. En effet, il faut vous préparer à frapper 6 balles en 2 minutes 45 et que l’une d’entre elles (au moins) repose sur la piste le plus loin possible. Les enceintes vous crachent de la musique électro, les spectateurs hurlent leurs encouragements ou vous chambrent gentiment avec véhémence, les photographes font crépiter leur flashes dans vos yeux et il y a ce cameraman planté droit dans votre ligne de tir…on est loin de l’ambiance feutrée des club-houses….Accrochez-vous à vos drive (par Kevin Fortin)
Le long drive, du golf bodybuildé. Oubliez la finesse, le petit jeu, le respect du parcours, le club house… il s’agit de cogner…et fort, dans la balle.
Long drive vous avez dit ? Commençons déjà par donner aux néophytes la définition d’un drive. Un drive c’est un coup joué avec un driver (club le plus puissant), le plus généralement au départ d’un trou où le compétiteur lâche généralement les chevaux pour parcourir le plus de distance.
C’est une discipline golfique à part entière qui consiste en un concours où le seul objectif est d’aller le plus loin possible, et surtout, plus loin que son adversaire. Comme dans un tableau de tennis, en effet, les joueurs s’affrontent par partie de deux et passent des tours jusqu’à la grande finale entre les deux meilleurs.
Le principe est le suivant lors d’une grande compétition comme le championnat du monde : chaque joueur, dont la longueur de manche du driver ne peut pas excéder 122cm (la surface de tête de club étant limitée à 460cm2), a six balles en sa possession, la plus lointaine étant retenue sachant qu’elle doit impérativement atterrir dans une zone limitée, parfois largement dévolue à la publicité.
A Mesquite, la Mecque du long drive, il est clair que nous sommes loin de l’ambiance souvent feutrée des club-houses et des tournois de golf traditionnels où le public est contraint au silence. Dans l’univers du long drive, chaque spectateur peut s’exprimer s’il en a envie, les enceintes crachent souvent de la musique pendant le jeu («Orange crush» de REM en est l’un des tubes préférés) et il n’est pas question de faire preuve de retenue dans aucun domaine à l’image du message d’accueil du site Internet des longs drivers de France:
«Bienvenue sur le site des « gros malades, des chataîgneurs, des tueurs de balles, des canonniers fous furieux...»
En 2010, pour la première fois dans l’histoire du championnat du monde, un Européen, le Britannique Joe Miller, a damé le pion aux Nord-Américains, les vrais spécialistes de ce sport apprécié de la télévision aux Etats-Unis au point qu’ESPN, la chaîne sportive américaine, réserve, chaque année, une partie de son antenne, le jour de Noël, au championnat du monde qu’elle diffuse en différé. Comme nombre de ses confrères du long drive, Joe Miller est très un beau bébé d’1,95m pour 125 kilos. Des kilos de muscles pour la plupart en ce qui le concerne puisque Miller travaille dans une salle de gymnastique, même si le chèque de 150.000 dollars qu’il a encaissé à Mesquite doit lui permettre d’envisager sa vie professionnelle d’un jour nouveau.
Lors de sa victoire, la meilleure marque de Miller a été de 378 m. Ce qui le laisse assez loin du record du monde, contesté par certains, de l’Américain Mike Dobbyn, champion du monde en 2007, qui a expédié un jour une balle à… 503 m. A côté de Dobbyn, sorte de Hulk qui mesure 2,07 m et accuse 136 kg sur la balance, Miller est un gringalet.
Au long drive, tout est question d’énergie, il est vrai. Lors du dernier championnat du monde, Joe Miller, Jamie Sadlowski, le Canadien consacré en 2008 et 2009, et le Sud-Africain Ryan Louw ont tous les trois imprimé à leur balle une vitesse d’au moins 360 km/h quand les professionnels du PGA Tour atteignent rarement des vitesses de 300 km/h. La vitesse du swing de nos trois artificiers a oscillé, elle, entre 236 et 241 km/h. Il est admis qu’un amateur ne dépasse pas souvent les 160 km/h.
Au long drive, il y a les frappeurs purs et durs comme Dobbyn, à qui il est arrivé de taper 1.000 balles par jour à l’entraînement, et les swingueurs comme Sadlowski qui n’est pas une force de la nature avec son 1,81 m et ses 75 kg mais est capable de générer de la puissance et d’obtenir de la distance grâce à des qualités de flexibilité et de souplesse au niveau de son dos, de ses épaules et de ses mains.
Tous les joueurs du dimanche le savent : frapper comme un sourd n’a jamais fait le bon joueur de golf (pas plus que les kilos de muscles si l’on en juge par les rondeurs affichées par de nombreux champions). Il n’en reste pas moins que réussir à envoyer sa balle le plus loin possible reste une obsession pour tout pratiquant de cette discipline. Il est d’ailleurs facile de constater que chez l’amateur, le petit jeu (approches, putting…) est bien plus faible que le grand jeu comme si les joueurs, à l’image de ce monde des longs drivers tellement fascinant, tiraient l’essentiel de leur plaisir dans cette décharge d’adrénaline et de puissance que procure notamment un coup de départ. Dans le dernier numéro de Golf Magazine, Benoît Teilleria, ancien joueur français du circuit européen, livre cette anecdote symptomatique vécue lors d’un pro-am:
«J’étais avec un amateur très tendu au départ, les mâchoires verrouillées, impossible de lui arracher un mot. A son deuxième coup, il joue avec une telle violence qu’il enfonce la balle dans le sol à l’impact. Mais comme il avait touché la balle, il lève la tête et la cherche dans les airs. Grand moment de solitude pour ce monsieur que la situation n’a pas fait rire du tout, au contraire du reste de l’équipe.»
En raison de cette addiction des joueurs à la puissance, qui intéresse les fabricants toujours soucieux de fournir les «armes de guerre» les plus lourdes et les plus perfectionnées, le long drive, encore peu connu en France, mais très développé en Scandinavie, a peut-être de beaux jours devant lui. Le record de France reste la propriété de Yvan Tchéménian , président fondateur de l’association des longs drivers de France, avec une distance de 386 m. Association dont le slogan est «Go long or go home!» ( pas besoin de traduire)
Car l’humour est partie intégrante de l’univers de ces joueurs d’un autre genre à la lueur des sobriquets qui accompagnent les noms des meilleurs de la disciplines comme Joe «killer» Miller, Sean «the beast» Fister ou Jason «golfzilla» Zuback. Reste à savoir quel surnom portera le nouveau prodige du long drive, le Californien Domenic Mazza, finaliste du dernier championnat du monde à seulement 16 ans…
En France, on a aussi un bon poulain, Eric Houballah. C’est un français qui a fini septième au championnat d’Europe de Long Drive avec un drive de 352,4 m et il est qualifié pour les championnats du monde. C'est un champion en pleine progression et sa préparation est hallucinante et très professionnelle......
Alors tous à vos chaussures et drive et tapez comme un sourd, un bourrin dans la balle pour qu’elle vole le plus loin possible jusqu'à sa destinée.
Article rédigé par Kevin Fortin
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Boot camp Capra Paris - Explosif
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samedi 19 novembre 2011
Une rencontre qui change une vie !
Récemment, j’ai, sur mon habituel ton de la plaisanterie, dit à Stéphane, un de nos sportifs parisiens, « je te laisse, je file m’entraîner avant que mon coach ne me dispute… ». Il m’a alors répondu : « pour de vrai, tu as un coach ? ». Recevant ma réponse expliquant ma boutade, il rétorqua alors : « non mais ça aurait pu être vrai, après tout, toute cette énergie que tu te plais à transmettre avec autant d’envie te viens peut être de quelque part ».
C’est ainsi que j’ai demandé à Eric alias « gros », de mettre par écrit, s’il le souhaitait, un p’tit mot relatif à cette fameuse rencontre…
En 2003 pour la première fois, après avoir arrêté le sport qui me passionnait tant qu’est le motocross, je poussais la porte d’une salle de sport…
Très impliqué dans tout ce que j’entreprends, Magali, une amie de ce fameux Eric au physique imposant doublé d’une voie grave et de… presque 20ans de plus que moi (oui, oui c’est un vieux mais il ne faut pas le dire , LOL) m’a invité à aller vers lui…
Bêtement enfermé dans les clichés et encore peu sûr de moi, je n’ai pas tout de suite osé le faire… puis je me suis lancé…
Le « beau bébé de 100kg de muscle » n’était finalement ni « bête », ni méchant, ni associable… Saoulé par mes milliers de questions (LOL, je creuse toujours beaucoup quand je désire comprendre) il m’a rapidement proposé de m’entraîner avec lui afin de m’apprendre les rudiments…
Le sport, la diététique, … 90% de mon savoir vient de cette personne vers qui personne n’osait aller… Eric, ce « p’tit sauvage » devenu mon Ami et qui m’a permis de faire du sport mon métier nous livre aujourd’hui quelques mots…
Quand j ai rencontré Grégory, voilà maintenant plusieurs années, j'ai été surpris par ses valeurs sportives (envie , ténacité, rigueur ...).
Après quelques temps de fréquentation régulière , j ai été encore plus agréablement surpris de voir que Grégory était avant tout un ensemble de valeurs humaines et morales, ce qui n est pas commun de nos jours.
Ce sont toutes ces valeurs innées qui font, à mon avis, de Grégory un “coach” hors norme et compétent, toujours à l’écoute et avec une bonne humeur indéfectible, qu il pleuve ou qu il vente.
Il semblerait qu’ aujourd’hui le “maître” ait beaucoup à apprendre de l élève.
A bon entendeur... salut !
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Bootcamp Capra Paris - Ippon
Rendez-vous dimanche 13 novembre, pour ce Bootcamp avec Cédric. Ce dernier semble avoir pris un peu de masse (les bras semblent plus développés…) ou nous trompons nous ? Et oui, un coach c’est un sportif qui s’entraîne également et qui ne baisse pas sa garde ! Tous les participants semblent présents. C’est parti pour le bois de Vincennes. Le temps de ce dimanche nous promet un Bootcamp bien agréable !
Il est donc venu le temps du footing d’échauffement. Un footing à allure légère, parfois entrecoupé de pas chassés dans un sens puis dans un autre. Tout ceci, en ayant toujours un regard vers Maryline qui fait attention, car son retour après des petits soucis de santé ne doit pas la renvoyer en convalescence ! Cédric trouve alors un coin qui semble lui convenir pour les exercices de renforcement musculaire. Au programme, jambes, abdos et pompes.
Derniers dips, dos au tronc, avant de repartir, pompes... Et c’est reparti pour faire les étirements près du château de Vincennes et faire la photo traditionnelle de l’évènement.
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