dimanche 3 avril 2011
Bootcamp Capra Paris - Reprise en main
samedi 2 avril 2011
Le massage sportif
J'ai mis en place depuis quelques mois une activité nouvelle : le massage. Je précise bien qu'il s'agit de massages stimulants ou relaxants mais non thérapeutiques.
Aujourd’hui nous allons nous attarder sur un massage normalement réservé aux sportifs de haut niveau mais que je propose à tous : le massage sportif. Ce massage possède des vertus relaxantes et apaisantes surtout après un effort physique. Il permet notamment d’éviter les crampes ou encore les déchirures musculaires.
Les sportifs amateurs peuvent aussi bénéficier de ce massage qui procure des effets bénéfiques lors d’un entraînement. Il est pratiqué avant et surtout après l’effort pour prévenir la douleur et les blessures ainsi que pour compléter le processus de récupération.
Les bienfaits du massage sportif
Un peu comme l’échauffement, le massage permet de mettre le corps en condition avant un effort physique. C’est un massage assez tonique qui consiste à malaxer le corps pour agir sur la circulation sanguine. Il est vigoureux et direct. Plusieurs techniques sont utilisées : la friction, le pétrissage, les effleurements ou encore les percussions.
Certains massages peuvent être pratiquées avec de l’huile. Les amateurs peuvent aussi bénéficier de ce massage car malgré les effets bénéfiques du sport, certains mouvements sportifs exécutés à tort et à travers peuvent nuire à la santé. Pour que le massage soit efficace, il est nécessaire de boire un litre d’eau après l’effort ainsi qu’après le massage.
Le massage sportif est donc à la fois préventif et curatif car il permet d’éviter les claquages durant l’effort physique, il permet d’éviter rapidement les douleurs dues aux crampes et les tensions qu’elles peuvent provoquer. Ce massage agit directement sur les zones concernés et agit rapidement.
Envie de tester le massage sportif ? Me contacter : manager@gregory-capra.com
vendredi 1 avril 2011
Bilan du mois de mars 2011
La page la plus lue sur le mois, avec 759 visites, est un article rédigé en août dernier par Kevin Fortin. Pourquoi cet article refait-il surface ? Peut-être grâce aux championnats de France de natation qui ont eu lieu du 10 au 13 mars dernier à Dunkerque.
Pour relire cet article :
http://gregory-capra.blogspot.com/2010/08/zoom-sur-la-natation-francaise.html
La page la plus lue sur une journée avec 361 visites est un article consacré aux compléments alimentaires que j'ai rédigé pour le blog du magazine Têtu... une collaboration que j'apprécie toujours !
Pour relire l'article :
http://gregory-capra.blogspot.com/2011/03/proteines-gainer-creatine-le-point-sur.html
Un record a été égalé ce mois-ci, celui du nombre de participants au bootcamp hebdomadaire. C'était dimanche dernier, un bootcamp "Spécial Charlotte" animé par Sylvio. Quand est-ce qu'on bat ce record ?
Pour relire le compte-rendu de ce bootcamp :
http://gregory-capra.blogspot.com/2011/03/bootcamp-capra-paris-special-charlotte.html
Pour me contacter : manager@gregory-capra.com
jeudi 31 mars 2011
Jérôme : Duathlon de Creil
Dimanche 27 mars 2011, première compétition de la saison pour Jérôme, un des sportifs que j'entraîne en coaching individuel et qui participe régulièrement au bootcamp Capra de Vincennes. Jérôme raconte...
J’ai participé ce dimanche à la première compétition de la saison : le duathlon de Creil. Le duathlon est une épreuve qui enchaîne 5 km de course à pied, 20 km de vélo et de nouveau 2,5 km de course à pied.
La particularité de cette épreuve est qu’elle se courait en équipe de 3, 4 ou 5 duathlètes, le but étant de passer la ligne au minimum à 3. Le départ est donné toutes les minutes.
Mon équipe était composée de 5 coureurs : Quentin (un jeune à l’avenir très prometteur), Denis, Bertrand, Jean Michel et moi.
Après avoir mis un peu de temps à rassembler l’équipe pour retirer les dossards, installer le matériel dans le parc à vélo, les premières équipes s’élancent. Notre départ approche, nous sommes la 15 ème équipe sur la grille de départ. Ca y est, on nous appelle, le cœur bat fort. Et voilà le départ est donné !!!!
Nous nous élançons pour les 5 premiers kilomètres de course à pied. Nous partons à vive allure, j’impose le rythme mais derrière ça commence à grogner. Jean-Michel, blessé au genou, nous demande de ralentir. La première côte arrive, on contrôle gentiment le rythme. Pour moi, les jambes sont là mais il vaut savoir la jouer en équipe. Après le côte, une descente un peu casse gueule et hop le plat, où le train s’impose de lui-même. On entame la deuxième boucle, et là, au moment d’aborder la cote, Jean Michel rencontre beaucoup de difficultés. On décide de le lâcher et de continuer sans lui. On termine le parcours un ton au dessus avant d’entrer dans le parc à vélo. La transition est longue (on perd peut-être 2 min). Mais nous voilà, enfin, tous les quatre en selle pour aborder la partie vélo.
Je pars un peu dans l’inconnu, car le vélo est loin d’être mon point fort. Le parcours est assez sélectif car au bout de 2 km, il y a une grosse montée à plus de 7 %. Les cuisses chauffent mais je me sens bien et sans m’en rendre compte j’ai déposé mes coéquipiers. Je les attends sur le plateau et nous partons tous en ligne à prendre des relais. Les relais s’enchaînent aussi vite que les kilomètres. On encourage, au passage, les autres équipes du club. On termine la première boucle et nous repartons sur la deuxième avec cette fameuse cote à 7 %. Et rebelote, je redépose mes coéquipiers. Une fois qu’ils m’ont rejoint, je tente de mener le tempo, vu qu’ils commençaient à être un peu émoussés. Mais, ça ne roule pas au point que Denis nous abandonne. Donc, nous continuons à trois. Là, plus le droit à l’erreur. J’enchaîne les relais avec Quentin et nous bouclons le parcours vélo avec des pointes à 49 km/h. La transition se fait plutôt bien et nous partons pour le dernier tour de course à pied.
A peine après avoir démarré, Bertrand se plaint d'une crampe au niveau des mollets. Il faut qu’il tienne mais il y a là côte où Jean-Michel a lâché. Je calme le rythme pour lui permettre de récupérer. Une fois la côte montée, ça suit. On se cale sur le tempo de Bertrand, je l’encourage, il serre les dents et s’accroche. Plus que 300 m, on décide d’accélérer et de terminer au sprint.
Je passe la ligne en premier. Le chrono tombe 1h06 min 49s, soit 10 min de mieux que l’année dernière avec la même équipe. Nous terminons à 4 min des Cadors du club. Et de mon point de vue, j’ai eu de très bonnes sensations sur cette épreuve.
Jérôme - Sportif Capra
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lundi 28 mars 2011
Dublin Castle : The coach house
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dimanche 27 mars 2011
Bootcamp Capra Paris - Spécial Charlotte
samedi 26 mars 2011
Concours photo : Jérémie (92)
"Cette photo a été prise le 20 mars 2011, à Tignes, à 2500 mètres d'altitude. Il devait faire moins 7 degrés, mais, avec le soleil, cela ne donnait pas l'impression de froid. C'était à l'arrivée d'une remontée mécanique (pour ne pas dire tire-fesses... lol). C'est le dernier point d'un sommet, on ne pouvait pas aller plus haut.
L'endroit était superbe, je voulais, avec des amis, faire une photo gag. J'avais vu sur ton profil une photo qui m'a donné l'idee de faire pareil.
La surprise des skieurs à l'arrivée du tire-fesses de me voir torse nu en train de me faire shooter !"
Jérémie - Boulogne-Billancourt (92)
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Le hockey sur glace
Roi des sports d’équipe sur glace, Kevin Fortin vous propose un sport de gladiateurs. Munissez–vous d’une crosse, de vos patins et d’une bonne dose de testostérone, et allons jouer au hockey !
Le hockey sur glace, appelé le plus souvent hockey, est un sport d’équipe se déroulant sur une patinoire spécialement aménagée. L’objectif est de marquer des buts en envoyant un disque de caoutchouc vulcanisé, appelé rondelle ou palet, à l’intérieur du but adverse situé à une extrémité de la patinoire. L’équipe, qui comprend un gardien de but et cinq joueurs de champ, se déplace en patins à glace et manipule la rondelle à l’aide d’un bâton de hockey, également appelée crosse en France et canne de hockey en Belgique et en Suisse.
Le hockey est originaire du Canada et s’est développé à la fin du XIXe siècle en Amérique du Nord. Sport de vitesse, il est souvent surnommé « sport collectif le plus rapide du monde ».
Histoire : Depuis l’antiquité, l’homme a joué à des jeux où un objet était frappé avec un bâton incurvé. Par exemple, une peinture de Pieter Bruegel (père), « Les chasseurs dans la neige »(1567), montre des joueurs qui utilisent des bâtons courbés pour jouer avec un petit objet sur la glace.
L’utilisation du mot « hockey » pour désigner de tels jeux est attestée depuis 1785 (1527 pour hockie) mais son étymologie est incertaine. Il dérive peut-être du vieux mot français d’origine germanique hoquet (bâton de berger, crochet), ou de l’hokkie hollandais, diminutif de hok (chenil ou cabane et désignant dans ce cas les cages de but). Beaucoup de ces jeux furent développés pour les champs, mais furent joués également sur la glace, comme on le voit sur certaines peintures hollandaises du XVIe siècle. Cependant les origines du jeu moderne se trouvent en Amérique du Nord. Les immigrants européens ont apporté en Amérique du Nord une multitude de jeux similaires au hockey, tels que le shinty écossais, le Bazhig kamm joué en Bretagne, le hurling irlandais et le hockey sur gazon, joué en Angleterre. Ces jeux semblent avoir été adaptés pour être joués sur la glace, et avoir importé certains aspects du jeu de la crosse (comme la dureté physique) joué par les Amérindiens de la famille iroquoise.
En 1825, Sir John Franklin écrivait : « Le jeu de hockey joué sur la glace était le sport du matin » sur le Grand lac de l’Ours durant une de ses expéditions arctiques. En 1843, un officier de l’armée britannique à Kingston (Ontario) écrivait : « J’ai commencé à patiner cette année, m’améliorant et j’ai eu rapidement un grand plaisir à jouer au hockey ». La Society for International Hockey Research indique, en se référant à un article de la Boston Evening Gazette de 1859, que la première partie de hockey sur glace eut lieu à Halifax cette année-là. La première partie à utiliser une rondelle au lieu d’une balle eut lieu en 1860 sur le port de Kingston entre d’anciens vétérans de la Guerre de Crimée. Cependant, les villes de Windsor et de Dartmouth, toutes les deux en Nouvelle-Écosse, revendiquent également le privilège d’avoir vu naître le hockey sur glace.
Le développement du jeu moderne eut lieu à Montréal au Québec. Le 3 mars 1875 fut joué le premier match codifié au Victoria skating rink de Montréal. En 1877, des étudiants de l’université McGill (James Creighton, Henry Joseph, Richard F. Smith, W. F. Robertson et W. L. Murray) rédigèrent sept règles et le premier club, le McGill University Hockey Club, fut fondé en 1880. Le jeu devint si populaire qu’il fut présent au carnaval d’hiver de Montréal de 1883. En 1885, A. P. Low introduisit le hockey à Ottawa. Durant la même année, un second club fut créé à l’Université d’Oxford. En 1888, le nouveau gouverneur du Canada, Lord Stanley (dont les huit fils et deux filles devinrent des amateurs de hockey), impressionné par le match qu’il vit au tournoi de 1888 du Carnaval d’hiver de Montréal, décida de créer un trophée pour récompenser la meilleure équipe de ce même tournoi en 1889. La Coupe Stanley fut attribuée en 1893 au champion amateur du Canada, les Montréal AAA. À cette époque, Montréal regroupait une centaine d’équipes et des ligues existaient à travers tout le Canada. Également en 1893, des joueurs de Winnipeg eurent l’idée d’utiliser des équipements de cricket pour protéger les jambes des gardiens.
1893 fut également la date du premier match aux États-Unis entre l’Université Yale et l’Université Johns-Hopkins. La ligue américaine amateur de hockey fut fondée en 1896 à New York, et la première équipe professionnelle, les Portage Lakers, fut créée en 1903 à Houghton dans le Michigan.
Le développement : Les cinq fils de Lord Stanley apportèrent le hockey sur glace en Europe, en affrontant une équipe de la Cour d’Angleterre (incluant les futurs Edward VII et George V) à Buckingham Palace en 1895. En 1905, la Fédération française de hockey (FFH) fut fondée. En 1908, le patineur français Louis Magnus créa la Ligue internationale de hockey. Le premier championnat d’Europe de hockey eut lieu en 1910 à Montreux et fut remporté par la Grande-Bretagne. En 1909 est fondée la plus vieille équipe encore existante aujourd’hui : le Club de Hockey Canadien de Montréal. Les règles continuent d’évoluer : en 1913, apparition du hors-jeu de ligne bleue et de la séparation de la patinoire en trois parties. 1917 voit l’apparition de la Ligue nationale de hockey (National Hockey League en anglais).
En 1920, le hockey sur glace devient sport olympique lors des olympiades d’été d’Anvers, et dix ans plus tard, 1930 : premier championnat du monde de hockey remporté par le Canada à Chamonix en France.
Entrons dans le vif du sujet, jouons ! Le hockey sur glace se joue sur une patinoire. Chaque équipe est composée de six joueurs (cinq joueurs de champ et un gardien de but) qui sont équipés de patins à glace. L’objectif est de marquer des buts en envoyant un disque de caoutchouc vulcanisé dans le filet adverse, placé à l’autre extrémité de la patinoire, à l’aide d’une crosse.
Les cinq joueurs de champ sont généralement trois attaquants (un centre, un ailier gauche et un ailier droit) et deux défenseurs. Un groupe de trois attaquants forme une ligne d’attaque et une paire de défenseurs forme une ligne de défense. Il existe également des lignes spécifiques aux situations d’infériorité ou de supériorité numérique.
Les changements de ligne peuvent intervenir lors des arrêts de jeu, mais également au cours du jeu (on parle alors de changement volant).
Une équipe de hockey compte une vingtaine de joueurs en tout (quatre lignes d’attaquants, trois ou quatre de défenseurs et deux gardiens de buts).
Certaines charges et certains contacts sont autorisés sur le porteur du disque. Il s’agit, avant tout, de gêner l’adversaire, de le déstabiliser lors de prochains contacts, de le fatiguer et de lui faire perdre le palet. C’est une technique de base au hockey. On parle alors de mise en échec. Toutefois, les actions dangereuses ou contraires aux règles, sont sanctionnées par des pénalités ou punitions. Le joueur fautif doit alors sortir du jeu pour une certaine durée, sans être remplacé.
La bande (ou la balustrade) entourant la glace permet de garder la rondelle à l’intérieur de la patinoire, le jeu pouvant ainsi durer plusieurs minutes sans interruption. Quand l’action s’arrête, le jeu reprend toujours par une mise au jeu (ou engagement).
Les deux règles majeures limitant les mouvements de la rondelle sont le hors-jeu, qui stipule que le palet doit entrer dans la zone d’attaque (ligne bleue) avant tout joueur de l’équipe attaquante, l’arbitre effectue une remise en jeu à l’endroit où la faute a été commise et le dégagement interdit, qui interdit à un joueur en défense de dégager le palet derrière la ligne rouge située dans sa zone d’attaque. Plus exactement, on entend par dégagement interdit : lorsqu’un joueur frappe le palet alors qu’il se trouve derrière la ligne médiane et l’envoie derrière le but adverse, il y a dégagement interdit et le palet est remis en jeu près de la cage de but du joueur fautif.
Une des caractéristiques les plus spectaculaire du hockey sont les charges. La charge est une technique de défenses de base, elle consiste à heurter , à coincer le long de la bande ou faire tomber l’attaquant qui perd ainsi le contrôle du palet. C’est vraiment dans ces phases de jeu que le joueur prend conscience de l’utilité de son équipement protecteur.
Un match dure trois périodes de 20 minutes chacune, l’horloge étant arrêtée à chaque arrêt de jeu. En cas d’égalité à la fin du temps réglementaire, la procédure varie suivant le contexte et suivant les règles spécifiques à chaque championnat. Le match peut alors se poursuivre avec une période de prolongation en mort subite pour déterminer un vainqueur. Si le score est inchangé à l’issue de la prolongation, une séance de tirs de fusillade ( tirs au but ) peut se dérouler.
Un match peut également comporter des combats entre joueurs, combats tolérés ou interdits selon les ligues et les compétitions.
Il y a différents niveaux : les moustiques / les poussins / les benjamins / les minimes / les cadets / les espoirs.
Les équipes Z ( de loisirs ), la ligue Magnus.
Popularité en France : En France, il est surtout populaire dans le massif des Alpes (Grenoble, Morzine, Villard de Lans, Mont Blanc, Briançon, Gap…) et dans le nord-Ouest (Rouen, Amiens, Caen, Brest…). Le Grand-Est (Strasbourg, Épinal, Mulhouse, Dijon…) et le Centre (Tours, Angers…) ont également des équipes de haut niveau. D’autres grandes villes (Lyon, Toulouse, Nice, Nantes, Bordeaux, Valence) possèdent une patinoire adéquate et une équipe, mais leur popularité locale n’est pas aussi forte et les clubs ne peuvent pas souvent faire concurrence aux autres sports (comme les clubs de football par exemple).
Fin de la partie !
Article rédigé par Kevin Fortin
Pour me contacter : manager@gregory-capra.com
Les énergies de Caterina et Mathieu
Lorsque Mathieu m'a proposé de m'associer à l'évènement que constitue son exposition, j'ai dit oui tout de suite. Coach sportif et mannequin, j'ai forcément une âme artistique... Qui a dit bien cachée ? Mathieu et Caterina m'ont raconté leur rencontre lors d'une précédente exposition à la Bastille. Quasiment les mêmes motifs, sur toile pour Mathieu, sur des objets en céramique de la vie quotidienne pour Caterina. Depuis, ces deux-là forment un couple artistique... seulement artistique ! Ils enchaînent les exposition, la prochaine à Toulon.
L'espace étant réduit, deux soirées de vernissage ont été programmées : les 17 et 24 mars. L'occasion de faire découvrir à mes amis sportifs les oeuvres de Caterina et Mathieu et de passer un bon moment avec eux ! Et là, j'ai vu des choses interdites se faire... pop-corn, punch, champagne,... j'ai tout noté !
L'exposition est ouverte jusqu'au dimanche 27 mars à la Galerie 3F - 58, rue des Trois Frères - 75018 Paris (M° Abesses ou Anvers).
Pour me contacter : manager@gregory-capra.com
vendredi 25 mars 2011
Concours photo : Stéphane (94)
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Vivre et parler du « Bootcamp »
Si vous tapez sur un moteur de recherche « bootcamp » (Où est le temps du bon vieux dictionnaire ?), vous y trouverez de nombreuses définitions aussi utiles que diversifiées… En ce qui me concerne, ce n’est ni un logiciel « made in Apple » (fabriqué par Apple), mais plus près du programme de minceur proposé par d’autres sites. Plus concrètement… Voici comment je vis LE bootcamp proposé et développé par Grégory CAPRA et son équipe de coach.
Je suis un musicien trentenaire qui aime beaucoup le sport. Seul problème, mon activité professionnelle ne me permet pas pour le moment d’intégrer à nouveau un club de sport. Alors faire du sport seul, pas toujours très motivant. Un jour J’ai rencontré par hasard Grégory CAPRA avec qui j’ai parlé de sport .Il m’a proposé de me faire travailler et transpirer. Au départ, j’étais moyennement partant, car la pratique de la fonte en salle ne me correspond pas du tout. Mais je me suis laissé prendre au jeu et j’ai laissé Grégory me guider dans ce lieu.
Grégory m’a présenté alors « mon » coach. Un sportif qui travaille au sein d’une équipe de coachs recrutés par Grégory et son équipe. Lors de ma première séance, Romann me pose des questions sur mes pratiques sportives et mes habitudes alimentaires. Ceci afin d’établir un profil d’activité et d’orientation des différentes séances que nous feront ensemble. C’est parti pour la reprise du sport ! Nous sommes au début de l’été 2010.
Arrive petit à petit la reprise scolaire avec Septembre 2010 avec elle des idées de projets, des nouvelles idées sportives entre autres. Nous y voici le « bootcamp ». Sur un des sites gérés par Grégory, on peut lire la définition suivante de ce mot :
« Le but du bootcamp est de vous permettre de pratiquer une activité sportive adaptée à votre niveau, en plein air, à base de renforcement musculaire et avec un rythme suffisant pour solliciter votre système cardiovasculaire »
(Grégory CAPRA, profil Facebook de l’équipe)
Cependant, je ne suis pas encore inscrit ou partant. Je vois le compte rendu du premier rendez-vous à Paris (quartier de Nation) début Septembre. Je regarde de loin ainsi les 5 premiers rendez-vous du « bootcamp », et lis de près les résumés de ces derniers moments sportifs. L’ambiance semble agréable, les entrainements faisables pour un petit sportif sur le retour comme moi, les coachs changent afin de proposer des exercices différents… Et bien tentons… J’arrive à me libérer enfin pour le 7ième Bootcamp. Après « prises de contacts », « sous la pluie », « la perte de poids », la fameuse « récupération active », « la mutinerie », « sport et culture », le « parcours de santé », autant de thèmes intéressants et qui peuvent convenir à tout sportif de toute condition. Enfin, je vais connaître cette pratique qui semble nouvelle.
31 Octobre 2010.
Le réveil sonne à 8h30. « Bon aller, quand faut y aller, faut y aller ! » Une petite musique entrainante pour accompagner le réveil et le petit-déjeuner, j’enfile le jogging et direction la gare RER pour me rendre à Vincennes. 50 minutes de trajet environ.
Les saisons passent et les rendez-vous dominicaux sportifs perdurent ! Ma résistance augmente au fur et à mesure de mes entraînements. L’ambiance devient de plus en plus propice à la formation d’un lien amical entre les membres réguliers du « bootcamp ». A chaque bootcamp son coach, son thème, ses participants… Je retrouve toujours ce plaisir de pratiquer du sport avec des gens très sympas, et le réveil peut sonner, je ne lui en veux pas !
Le concept de « bootcamp » se développant, nous sommes devenus de vrais « bootcampeurs ». Ainsi, lorsque la pratique s’étend à la pratique de sport en particuliers et de préparation physique, nous sommes appelés à soutenir les troupes ! C’est dans cette optique que l’équipe des « cockerels » nous a accueillis pour tester le bootcamp au service de l’entrainement au football australien. C’est évidemment avec plaisir qu’avec quelques autres ami(e)s bootcampeurs, nous nous sommes rendus à cet entrainement. Attention c’est du sérieux nous dit-on ! Effectivement, la concentration est de rigueur !
A ce jour, Il y a eu de nombreux bootcamps. Grégory que j’ai revu récemment lors d’une séance de coaching particuliers me demande après un exercice de squat (exercice de musculation visant à faire travailler les cuisses) :
« Et le cardio ça va ? », ce à quoi je réponds que tout va bien, et que ce n’est pas le souffle qui me manque maintenant. Nous nous disons que ces rendez-vous de bootcamp sont mine de rien de bons moyens de travailler plusieurs points sportifs et tout en gardant une bonne ambiance.
Pratiquer le sport et s’entrainer lors d’un bootcamp ou tout simplement reprendre une activité sportive par l’intermédiaire du bootcamp est tout à fait compatible. Débutant, agé, jeune, ou confirmer, on trouvera surement de quoi vous faire transpirer et toujours dans une ambiance qui accompagne d’un sourire des mouvements qui laisseront place plus tard à de bonnes courbatures. Cette « famille » de bootcampeurs est bien sympathique et son nombre n’en est pas limité ! Et c’est vraiment à faire au moins une fois… Par mois ?? hé hé !
Je ne suis pas prêt d’arrêter personnellement et je songe même à pousser le défi plus loin : participer à des compétitions telles que des semi marathons, des aquathlons découvertes ou autres… Dès que mon métier me le permettra ! Une chanson française nous dit que le travail c’est la santé… Le sport aussi, et je rajouterai même une bonne dose de moral !
Arnaud alias… Kénny du bootcamp !
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lundi 21 mars 2011
Maxime : le drapeau
Le drapeau
Sur cette vidéo, Maxime réalise la figure de freestyle appelée "The human flag", traduisons simplement par "le drapeau", une figure difficile qui demande énormément de force. Cela nécessite d'avoir de bonnes épaules, un dos très puissant mais surtout un très bon gainage pour permettre le maintien des jambes dans cette position.
Quel est l'entraînement de Maxime, sportif Capra à Paris, pour atteindre cette performance ? Plus de 680 tractions pronation, supination ou nuque ; plus de 750 pompes ; des centaines d'abdominaux tous les jours.
Maxime a décidé de progresser, c'est à dire de tenir encore plus longtemps dans une position horizontale parfaite. La démonstration sera faite au prochain bootcamp auquel Maxime assistera.
Pour me contacter : manager@gregory-capra.com
dimanche 20 mars 2011
Bootcamp Capra Paris - Aucun répit
Dérogation au titre du bootcamp : une pause de 2 minutes pour s'hydrater. Certains s'effondrent, essaient de récupérer allongés sur l'herbe,... mais pas de pitié à 1mn 59sec, tout le monde debout et c'est reparti !
Maintenant, c'est renforcement musculaire, séries de 5, 10, 11, 12, 13 ou 15 pompes puis gainage. "On baisse les fesses" ordonne Kevin. "On baisse les fesses" reprennent quelques vieilles dames promenant dans le bois ! D'anciens souvenirs..., le plaisir des yeux !
Les recrues prennent deux chemins différents pour rentrer à la base. Déception du Chef, il n'a pas été possible de faire la photo finale au bord du ruisseau qu'il avait repéré. Ce sera pour la prochaine fois ! Etirements et relaxation...
Pour me contacter : manager@gregory-capra.com
Les bienfaits de l'haltérophilie
Un ou une haltère ? Je vous laisse réfléchir à la question qui fait débat dans mon équipe !
A cette occasion, et puisque Paris organisera les championnats du monde d'haltérophilie du 5 au 13 novembre 2011, un petit zoom sur ce sport trop mal connu.
L’haltérophilie est un sport qui se base sur la coordination de différents mouvements d’arraché et d’épaulé- jeté.
L’arraché est un mouvement direct qui fait partir la barre d’une extrémité pour la faire parvenir à l’autre extrémité en la faisant décoller du sol pour la faire arriver à bout de bras. Aussi, pour faciliter le mouvement, il s’agit de se glisser, le plus rapidement possible, sous la barre grâce à une flexion complète des jambes.
L’épaulé-jeté est un mouvement qui se fait en deux temps. Le premier consiste à poser la barre sur les épaules, là encore grâce à une flexion de jambes ; et le deuxième à la jeter (pas n’importe où !) en la positionnant à bout de bras. Comme pour l‘arraché.
Les bienfaits de l'haltérophilie
L’haltérophilie a la vertu de développer un grand nombre de qualités autant physiques que morales.
Tout d’abord, l’haltérophilie permet d’améliorer la vitesse et la détente car ce qui est à la base de ce sport est l’explosivité et la rapidité du mouvement qui permet de passer sous la barre.
Ensuite, l’haltérophilie fait travailler la détente , l'extension puisque c’est en procédant à un saut que l’on parvient à exécuter la flexion des jambes ; comme lorsque vous sautez et que vous vous accroupissez sur un seul mouvement ; à la différence prêt que nous y rajoutons une barre chargée.
Enfin, l’haltérophilie apporte également de la souplesse car le mouvement de flexion de jambes dont nous parlons depuis tout à l’heure doit s’exécuter talons au sol. Essayer, vous verrez que ce n’est pas si facile.
Mais, l’haltérophilie n’est pas simplement un sport qui consent à augmenter les facultés physiques ; c’est aussi un sport qui nécessite l’acquisition d’un certain nombre de qualités psychiques telles que la volonté ou la combativité ; la détente aussi.
L’haltérophilie permet de forger sa personnalité, de s'endurcir et de se donner l’envie de gagner. Et, plus encore, l’haltérophilie est un réel facteur d’épanouissement dans la mesure où ce sport apporte et apprend beaucoup de chose telle que la maîtrise de soi, de sa colère. Tout cela entraîne un mélange de concentration et de détermination ; valeurs qui restent fondamentales même dans notre quotidien.
L’haltérophilie est, en effet, un sport qui peut se révéler être un sport de soutien destiner à renforcer des groupes musculaires, à améliorer des qualités physiques afin de se parfaire dans une autre discipline sportive. Sachant, en effet, que cette activité sportive à la faculté de développer un grand nombre de qualités physiques pourquoi ne pas s’en servir et cela même sans s’investir à proprement parler dans l'haltérophilie.
L’haltérophilie est, en outre, un sport particulièrement recommandé pour les personnes souffrant de mal de dos chroniques grâce à des mouvements de soulevés de terre. De même que certains principes de sécurité appropriés aux charges lourdes (quelles qu’elles soient) sont inculqués : on apprend, par exemple, à chaque débutant à fixer son dos avant de soulever une barre et à utiliser la force de ses jambes ainsi qu’à faire passer la barre prêt de son corps (principe de sécurité qui consiste à se rapprocher de la charge avant de la soulever).
Haltérophile en démonstration
Les préjugés
Faisons tomber les préjugés, la pratique de l’haltérophilie est accessible à tous ; ce n’est pas le sport d’une poignée de spécialistes.
En fait, l’haltérophilie est un des rares sports qui a la vertu de développer le système musculaire de façon harmonieuse. Les muscles s’accroissent, en effet, sur l’ensemble du squelette (jambes, bras, dos…).
Lors des compétitions, les athlètes sont évalués selon leur catégorie de poids. La difficulté est donc la même pour tout le monde.
En réalité tout est médiatique : on a souvent l’occasion de voir, à la TV par exemple, des athlètes qui ont une corpulence phénoménale dans ce genre de sport parce qu’ils sont surprenants, forts, certes, mais surprenants. Alors qu’en vérité ce sont eux qui ont le plus de difficultés à se démarquer ; le poids étant le seul critère de classement.
Je suis titulaire du Brevet d'Etat HA.CU.M.E.S.E. Le HA est pour haltérophilie ! J'ai pratiqué, comme beaucoup de membres de mon équipe, l'haltérophilie.
Prêts pour une initiation ?
Pour me contacter : manager@gregory-capra.com
samedi 19 mars 2011
Visite au salon Mondial du Fitness à Paris
Pour contacter mon équipe : manager@gregory-capra.com