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jeudi 24 février 2011
Sèche 2011 : Dimitri
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mardi 22 février 2011
Steven : les résultats d'un mois de musculation
Steven a 25 ans, il habite Périgueux. Après un mois de pratique de la musculation, il témoigne.
"La 1ère photo date de fin 2010, année que j'effacerais du calendrier si je le pouvais... changement de ville, changement de boulot, problèmes importants de santé (2 opérations en anesthésie générale)... Toutes ces choses m'ont éloigné du sport que je pratique depuis 15ans maintenant, le judo. Si je peux conseiller un sport à quelqu'un c'est celui ci... Pour moi c'est bien plus que ça et c'est pour ça que je suis en formation BEES 1er degré. C'est un sport complet, niveau physique. Je n'avais jamais eu besoin de pousser la porte d'une salle de muscu grâce à ce sport (ma stature en " V " est d'époque d'ailleurs ! ), mais ne pouvant plus m'entraîner à ma guise, la muscu est devenue une drogue pour moi et en un mois le changement semble apparaître. N'ayant pas une vision objective de moi, j'avais, au préalable, pris des mesures : torse 103 cm, taille 95cm, biceps 35, cuisses 57, mollets 38... et un mois après c'est 1cm de pris partout sauf à la taille où c'est 1cm mais en moins! Le gros problème que j'ai, c'est que je vais devoir renouveller ma garde robe !lol"
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lundi 21 février 2011
Les bootcampeurs sur M6
Hier soir, sur M6, dans "Enquête exclusive", le magazine d'investigation hebdomadaire présenté par Bernard de la Villardière, un reportage sur le bois de Vincennes. Regardez le groupe qui traverse la route... Ce sont les bootcampeurs, mes bootcampeurs ! Et même pas d'interview de M6 !!!
Merci à Laurent d'avoir relévé cette image.
Venez nous rejoindre dimanche prochain !
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dimanche 20 février 2011
Championnats de France de karaté contact
Ils portent gants aux mains et protections aux pieds, mais ne se font aucun cadeau. Quatre cents athlètes se sont affrontés, hier samedi 20 février 2011, à l’occasion des Championnats de France de karaté contact, jutsu et semi-contact, organisés au palais des sports d’Issy-les-Moulineaux. Mélange de sport de combat et d’art martial, ces disciplines donnent lieu à des affrontements certes spectaculaires, mais à l’intensité très maîtrisée.
Cédric, coach Capra à Paris, était engagé dans la compétition et nous raconte : "Résultas pas terribles, je me suis fait sortir par le 3ème aux points. Tant pis pour cette fois, je remets ça l'année prochaine"
Et pas de blessure ?... "Non, tout va bien, quelques courbatures et quelques bleus, mais rien de méchant".
Content de savoir Cédric indemne ou presque !
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Bootcamp Paris - Spécial buste
Record d'affluence pour ce bootcamp "spécial buste" ! On ne peut pas mettre cela sous le coup de la météo, temps gris et humide, 5°C sur Vincennes, une petite averse autour de 10h30 puis une autre autour de 12h00, mais bien sur l'attractivité du vieux Kevin qui détenait déjà les deux précédents records. Sa présence au bootcamp attire ! Vieux Kevin, car il fêtait cette semaine ses 24 ans. Laurent a voulu marquer l'évènement en lui remettant le ballon de foot US récupéré dans les douves (cf compte-rendu de la semaine dernière) orné de bougies ! Fanfan avait préféré quelques produits de beauté à la vanille... parfum apprécié par Kevin, et tous avaient signé une carte d'anniversaire !
Malgré ses attendrissements, le bootcamp s'est déroulé sans pitié pour les recrues qui d'ailleurs ont bien eu du mal à comprendre le début : petit footing, sautillements sur place, montées de genoux, talons fesses, flexions (attention Estebann !), extensions, flexions et extensions, marche des canards, pas chassé à droite, pas chassé à gauche,.... "Y a erreur là, on recommence le spécial jambes?!"... Non, non, c'est juste un rappel jambes !
L'échauffement se poursuit par la brouette, des alternances de positions de gainage et positions de pompes hautes, 19 x 1 pompes avec 19 secondes de gainage entre chaque pompes ! Mais ce n'est que le début des pompes, l'enchaînement suivant en images...
Vous avez compris la règle ! On fait ça jusqu'à 10 pompes. On boit un coup et on recommence à zéro et jusqu'à 11 ! Je rassure les personnes qui voudraient nous rejoindre, tout le monde n'est pas allé jusqu'à 11 !!!
Le 69, un exercice maîtrisé des bootcampeurs ... puisque déjà présenté il y a quelques semaines. C'est encore plus dur que les pompes normales !
Mais le bootcamp, c'est aussi et surtout un moment de détente et de convivialité où l'on se fait de nouveaux amis. Les participants du jour ne se connaissaient pas, il y a 3 mois. Une entente joyeuse est née entre eux qui se concrétise par des brunches, des restos, des galettes des rois,...
Après avoir compté les pompes, les bootcampeurs abandonnent les chiffres pour une photo finale autour des lettres du Parc floral de Paris.
Rendez-vous la semaine prochaine pour un bootcamp "Fighting spirit" !
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jeudi 17 février 2011
SIX "S" : un nouvel essai et encore plus de certitude sur la gamme
Après avoir essayé le débardeur, je voulais en savoir plus sur ce produit. J’ai donc testé de nouveaux éléments. Je me suis équipé entièrement SIX "S " avec bas et haut complet :
- Haut a manches longues
- Bas « à jambes longues »
- Protège-cou
- Cagoule
J’ai commencé ma séance de sport à l’intérieur… j’avais peur d’avoir chaud mais… pas du tout !!
Après ça, je suis immédiatement parti faire un footing… 2°c dehors… autant dire un gros changement de température….
La matière est bluffante car elle permet la thermorégulation !! Je passe du chaud au froid et aucun souci ! Jamais trop chaud ou trop froid !
Le prochain essai sera en motocross, là où la transpiration est accrue. Ce test sera fait par moi mais aussi un grand pilote champion du monde dès l’âge de 19ans… Il testera aussi les tenues avec protection et camelback intégré.
Pas de sourire mais c'était bien !
Pour en savoir plus sur la marque : http://sixs-concept.com/
Un grand merci à Nicolas de la marque Off Run http://www.offrun.com/accueil qui m'a proposé ce test.
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Le skicross, une discipline spectaculaire
Les sports d’hiver ne se résument pas uniquement au ski alpin, au ski de fond, à la luge. Il existe beaucoup d’autres activités dont certaines plus adrénalisantes que d’autres. Je vous propose le skicross ou ski cross, une discipline sportive du ski acrobatique. Certaines stations le proposent à l’essai. Attention, ca défrise !
Des origines au développement
Également appelé skier X ou skier cross, le skicross est né à la fin des années 1990 aux États-Unis, où ont été créés les premiers Winter X Games, pendant hivernal des X Games. Parmi les disciplines officielles se trouve une pratique jusqu’alors inédite : le skicross. En 2003, le skicross est reconnu par la Fédération internationale de ski (FIS) et est intégré à la catégorie freestyle (ski acrobatique). En 2010, il est devenu épreuve olympique officielle lors des Jeux olympiques d’hiver à Vancouver. Le skicross reste par ailleurs toujours au programme des Winter X Games et fait partie des événements les plus attendus et les plus spectaculaires.
Une épreuve spectaculaire
Le principe du skicross est assez simple. Inspiré du motocross, il consiste en une course le long d’un parcours allant de 600 mètres à un peu plus d’un km et de 33% d’inclinaison, ce qui est le plus important, composé de divers éléments naturels ou artificiels comme les bosses, les courbes relevées ou tremplins. Le parcours de skicross est conçu pour mettre à l’épreuve les habilités des skieurs au travers des tables, des sillons. L’endurance et la force sont les éléments clés du skicross étant donné que les athlètes font de quatre à cinq descentes de 60 secondes ou plus. Une fois les qualifications terminées, les 32 skieurs qui ont réalisé les meilleurs temps aux épreuves individuelles peuvent prendre part à la compétition finale, un tableau à élimination directe Avant de pouvoir s’affronter selon le système par KO, il faut passer le stade des qualifications disputées sous forme de courses individuelles contre la montre.
La véritable course peut alors débuter. Quatre par quatre (voire six par six parfois), les skieurs s’affrontent et dévalent la piste le plus rapidement possible. Seuls les deux premiers de chaque descente ou manche (heat) sont qualifiés pour l’étape suivante. Les courses continuent ainsi jusqu’à ce qu’il n’y ait plus que quatre skieurs en lice. L’avant dernière course est la « petite finale », pour attribuer les places 5 à 8 ; à l’issue de la course finale, les vainqueurs sont médaillés et gravissent les marches du podium. Le skicross est au ski ce que le BMX est au vélo, la motocross à la moto, le boardercross au snowboard. C’est une succession de sauts, de bosses, de virages relevés et de ooppss.
Les skicrosseurs se comparent à des guerriers ou à des gladiateurs dont l’objectif est de faire partie des deux premiers à franchir la ligne d’arrivée. A eux de jouer des coudes pour s’imposer, avec interdiction de pousser ou de retenir sous peine de disqualification. Ils atteignent souvent des pointes de 90 km/h. Vitesse, équilibre et stratégie sont leurs armes. Sans oublier une bonne dose de folie.
Un dérivé du ski alpin
Le sport est né dans les années 1990 aux Etats-Unis, dans la mouvance du ski freestyle. Il s’apparente au snowboardcross qui est devenu discipline olympique à Turin en 2006, alors que le skicross est devenue discipline olympique seulement en 2010 à Vancouver. Ses pratiquants viennent pour la plupart du ski alpin, mais refusent d’être catalogués comme des déclassés de la discipline reine.
Pour l’Iséroise Marion Josserand, c’est un « fabuleux terrain de jeux, toutes les facettes du ski se rejoignent ». « Télégénique à souhait, le skicross est un vrai sport de combat où le regard jeté à l’autre et l’intox ont leur importance », ajoute le français Enak Gavaggio, vice-champion du Monde en 2001.
En faisant mes recherches pour cet article, j’ai eu le plaisir de pouvoir recueillir les propos d’Enak Gavaggio.
Enak Gavaggio, trentenaire, originaire des Arcs a un sacré palmarès, il évolue sur le circuit depuis plus de 10 ans et son palmarès donc parle pour lui : 5eme aux JO de Vancouver / 7 médailles aux X Games / 2fois 2eme et une fois 3eme au général de la coupe du monde / 3eme au championnat du monde 2007/ 4 et 5eme au championnat free ride 2001 et 2002
Kevin Fortin : D’où provient ton surnom de Dark Lord ?
Enak Gavaggio : A la suite d’un fight orchestré par moi-même dans l’ère d’arrivée des X Games. Je me suis chauffé avec un ricain (et un des favoris de la course). Il était plus rapide que moi sur une section de glisse, je lui fermé la porte, il n’a pas apprécié, puis est venu faire son show, façon boxeur devant moi dans l’ère d’arrivée devant les caméras, et forcément ça m’a pas plu et j’ai riposté, on a été séparé par la sécurité. Et depuis ce jour les Américains m’ont donné ce surnom.
KF : Comment en es-tu venu à ce sport ? Comment l’as-tu connu ? Comment est-il né et arrivé en France ?
EG : Par hasard et par besoin pécuniaire !!. J’étais en coupe d’Europe de descente et super G en alpin, j’ai arrêté ma carrière et me suis directement tourné vers le free ride. L’ouverture de la saison free ride se faisait à cette époque (98) par le mondial du ski aux 2 Alpes, j’y suis allé en stop, j’avais pas de caisse, et besoin de thune. Je vois une affiche (Premier ski cross en France, 8 000 francs pour le vainqueur), pas con l’artiste, je m’inscris, remporte la course et m’achète une caisse. Le pur bonheur ! L’idée de ce premier ski cross est venue des X Games aux USA où la discipline est née en 97. Event cool et alternatif, le mondial a lancé la discipline en France, ensuite Salomon dès l’année suivante a fait un énorme tour, appelé Salomon Cross Max, avec des étapes aux States et en Europe. C’était les années des teams de marques (Salomon, Rossignol, Head etc. etc. ). Bref, Les X Games l’ont crée en copiant sur le boardercross et Salomon l’a monté en puissance jusqu’à son entrée aux Jeux.
KF : Afin que l’on puisse tout comprendre, peux-tu me dire comment se nomme ceux qui pratiquent ce sport ?
EG : Euh, des skicrosseurs je pense !
KF : En lisant sur le sujet, on parle de oops, c’est-à-dire ?
EG : Les oops sont un module du skicross, tout comme en moto cross, ce module est une succession de petit dos ou gros dos d’âne, que l’on passe en simple, en double ou en triple, c’est -à -dire, doublé ou triplé les dos d’ânes, plutôt que de tout passer en amortissant.. En skicross, les modules, sont les virages surélevés (ou bank turn), les big air, step down (saut vers le bas, comme une marche), step up (saut vers le haut, le départ du saut est plus bas que la réception) etc. etc...
KF : Comment se nomme le terrain où l’on pratique ? ( Piste, circuit, pente… ? )
EG : Très bonne question, une piste fera l’affaire !
KF : Quelles sont les qualités de cette discipline ? Qu’est-ce qu’elle apporte ?
EG : C’est une discipline ludique, facile à comprendre, télévisuelle. On part à 4 ou 6, les 2 premiers ou les 3 sont qualifiés, il y a des rebondissements, des chutes, c’est un sport de duel, de combat. Le circuit américain a bien compris ce sport, présentant ces athlètes comme des gladiateurs, mettant en scène la compétitivité et les prises de risques, les chutes bien sûrs ! Ils partent du principe que les sports doivent être présentés comme des shows, on regarde, ou l’on vient en tant que spectateur, pour passer un bon moment, faire la fête, rire, être impressionné…Le circuit traditionnel FIS, sont encore à croire qu’un évènement est réussi si on a un premier et un dernier…
KF : A quoi ressemble un entraînement type ?
EG : Difficile. On a besoin d’être bon en ski alpin, donc faire du géant ou du super G. On a besoin d’être capable de suivre quelqu’un à 90 km/h, avec nos spatules sur les talons de l’adversaire, donc entraînement géant ou super Géant à plusieurs, ou tout simplement en ski libre. On a besoin d’être bon sur les sauts, donc amortis, up straken (c’est -à -dire sauter avant le saut… ) etc. etc., on a besoin d’être bon au départ, donc muscu du haut du corps à fond ! Vous l’aurez compris c’est un sport complet, il faut être bon de partout et dans tous les aspects du ski, en passant par de la force pure et de la glisse, donc du ressenti.
KF : Et une journée type de préparation lors des préparations de compétition ?
EG : En général, une ou deux pistes d’échauffement, une reconnaissance, (c’est-à-dire apprendre par cœur le tracé, connaître le moindre mouvement de terrain, et juger si l’on peut l’utiliser pour accélérer, connaître ces trajectoires à la perfection) puis deux à trois runs dans le tracé de course. Ensuite c’est le fight.
KF : C’est un sport qui doit procurer des sensations...
EG : Les sensations procurées par ce sport... des sensations aériennes, de vitesse, quand à plusieurs, du fait d’être dans le trafic, tout va plus vite, du coup, vertige, aveuglement, pilote automatique, bref frissons assurés !
KF : Peux-tu nous décrire un run adéquat, comme si on y était ?
EG : Difficile de d’écrire un run parfait, car en skicross tout est imprévisible, d’autant plus que le facteur chance joue beaucoup. Je m’explique, par exemple, on n’est pas à l’abri de voir un mec se planter devant soi, et d’être embarqué dans la chute. Mais le plus grisant des runs que j’ai eu fait, c’est sûrement, le fait de partir dernier (4eme ou 6eme) du fait d’une erreur stratégique au départ, et ensuit de doubler tout le monde pour prendre la victoire d’en l’ère d’arrivée, là, c’est le top du top !
KF : Où sont les meilleurs endroits pour le pratiquer ?
EG : A l’heure actuelle toutes les stations proposent des petits skicross. Aux Arcs nous en avons 3 et nous projetons d’en faire un 4eme. Les vacanciers raffolent de ce genre de terrain !
KF : Quels sont les attributs d’un skicrosseur ?
EG : Un gros cœur, lâcher le beurre, si tu freines t’es mort, une explosivitée, skier comme un chat, coupez le câble du frein à main, skier en aveugle, les yeux bander, foncer, accélérer, tenir le choc, tenir l’adversité, ne jamais baisser sa garde.
KF : Et leurs qualités (une certaine dose de folie aussi peut-être par exemple )...?
EG : Je sais pas faire la différence entre attribut et qualité. Quand tu dis attributs, tu veux dire les coronès ? Oui, il en faut ! Pour vraiment percer dans cette discipline, il faut être une sorte de mini funambule, anticiper l’action, le danger, être imprévisible pour surprendre son adversaire, calculer sa course, la réfléchir, se donner un plan d’attaque et s’y tenir.
KF : Est-ce qu'il y a une morphologie idéale ?
EG : Malheureusement c’est encore un sport dans lequel il faut être grand et fat ( lourd ). Moyenne des 4 finalistes des jeux de Vancouver, 1m86 pet (sec) plus de 100 kilos….Bref avec mes 1m72 et mes 80 kgs, je faisais ni le poids ni la taille !
KF : Il faut aussi une certaine musculature (par exemple les descendeurs alpins ont des cuisses, des dorsaux…
EG : Les skicrosseurs ont exactement la même morphologie que le descendeur, si ce n’est que l’on travail plus les fibres rapides, et une musculature plus importante du haut du corps pour les départs.
KF : Pour finir, que gardes-tu comme souvenir de ce sport ? Quelle est la nation qui le domine ?
EG : Je ne suis pas nostalgique, je n’ai pas forcément de souvenir, mais si je dois retenir 2 choses ce sont : mon accident de 2008, où j’ai dû attendre plus de 2 ans avant de revenir à mon top, et ma 5eme place des jeux, le plus beau et plus triste souvenir de ma carrière, d’autant plus que c’était mon dernier départ de skicross.
Concernant la nation dominante, cela a été la France pendant pas mal d’année, disons jusqu’à 2008. Depuis les Autrichiens et les Canadiens ont pris le relais, les tracés étant de plus en plus plats et glissants, leur gros gabarit leur permet d’écraser pas mal de compétition. En France, et en skicross la nouvelle génération est dans les poids plumes, c’est comme ça. Ceci étant, ils ont les crocs et n’ont pas l’intention de se faire dire la messe.
KF : A qui conseillerais-tu cette discipline ?
EG : A tous, à tout niveau, dans les stations, les snowparks, c’est excellent pour progresser, c’est des sensations terribles, le skicross ça doit vous arriver à tous et toutes, c’est une obligation !
Article rédigé par Kevin Fortin
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mercredi 16 février 2011
Séjour thalasso et coaching sportif à Bénodet
C'était en début de mois, du 4 au 7 février, un week-end placé sous le signe du sport….mais pas seulement !
Diététique :
OUI OUI OUI c’était prévu…. Prévu... lol. Nous avions prévu des menus avec un aliment diète et toujours un plat local…. Et ben ils ne sont pas tous sérieux les sportifs Capra hein…. Lololol bon ok je dis rien d’autant plus que moi aussi je me suis « laisser aller à la tentation » hihihih
Repos-détente :
Là par contre tout le monde était au RDV sans exception !! LOL. Massage, soins du corps... Les 6 soins ont été parfaits, alternant tonicité et détente totale.
Humain :
Et oui… vous le savez.. j’y tiens énormément et là c’était un week-end comme je les aime ! un groupe soudé alors que personne ne se connaissait en arrivant, des personnes différentes, de milieux différents et pourtant…. On ne s’est pas lâché d’une seconde….. bienvenue dans le monde .. Capra hihih où tout le monde a le sourire, la pêche et prend plaisir à PARTAGER !!
Ci-dessous quelques photos de sport et autes... afin de vous montrer qu’il y en avait pour tous les niveaux… comme dans les bootcamps, on s’adapte à tous les profils, aucun exclu !
Pour ceux qui voudraient nous rejoindre, voici les prochaines dates et formules personnalisables (n’hésitez pas à me demander conseils) :
- du 13 au 16 mai 2011
- du 10 au 13 juin 2011
- du 21 au 24 octobre 2011
D'autres péfèrent aller se reposer dans la piscine...
Pendant que certains demandent du rab !
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Direction la Corée !
"C'est avec émotion que je viens vers vous pour vous annoncer mon départ imminent vers de nouveaux horizons...
En effet, je quitte le territoire français à compter du 22 février, et même le territoire européen...
Je pars vivre en Asie (Corée du Sud, Séoul, Ansan exactement). Je ne pourrai donc plus profiter de vos conseils si professionnels pour le moment.
Cela dit, je vous remercie du fond du coeur ou des muscles pour m'avoir fait goûter aux joies du sport, même si, je dois l'avouer, je n'ai pas été d'une grande assiduité... (mais j'assume!).
Je sais déjà que là-bas j'ai un abonnement dans une salle qui m'attend; je penserai donc aux taquineries de Greg, au dynamisme de l’équipe Capra quand je me ferai suer (dans le sens littéral du terme bien sûr) à bouger mon corps... Et bien sûr, je ferai en sorte d'appliquer les conseils de mes coachs préférés!!
A ce sujet, no worries, ils ont un mode de vie ultra sain: pas de place aux excès, pas trop de gras, beaucoup de protéines, bref, tout ce qu'il faut pour faire de mon corps un corps d'Apollon!
Encore une fois, un grand merci!
Très affectueusement,
David, Caen, 33 ans"
Pour te préparer, toi aussi à un grand voyage, contacte moi : manager@gregory-capra.com
mardi 15 février 2011
Bootcamp - Marseille se réveille
Enfin Marseille se réveille ! Le bootcamp d'avant-hier m’a donné l’envie de continuer à croire en Marseille et le bootcamp marseillais de dimanche 20 février aura donc bien lieu !
Nous avons eu une super journée, soleil et température IDYLLIQUE !!
Tous les présents s’en souviennent (cf les messages que j’ai reçu hier matin au réveil : « Greg, j’ai de super courbatures, on a bien bossé, chacun à son rythme, muscles et cardio, tout y était, mon p’tit corps te remercie LOL »).
Il sont pas beaux mes p’tits sportifs en pleine tentative de « griffé » pour bosser la coordination ? C'est un mouvement de coordination préparatif au saut de haies pour ceux qui s’y connaissent un peu en athlétisme.
Micha a osé me demander du rab à la fin…. Et voilà, programme traction…. Ça fait du bien hein Micha ?! MDR
RDV dimanche prochain 10h30 au parc Borely !
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lundi 14 février 2011
Ballon récupéré !
dimanche 13 février 2011
Paris - Bootcamp "spécial jambes"
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Le biathlon, c’est de la balle comme sport
Sur la thématique des sports d’hiver Kevin Fortin vous propose un sport alliant le tir à la carabine et le ski de fond. Discipline olympique, activité proposée en initiation dans certaines stations…Vous avez trouvé ? …Oui, le biathlon. Suivons les traces de M-L Brunet, Simon Fourcade et autres…
Le biathlon (du latin bi, « deux », et du grec athlon, « concours ») est une épreuve combinant deux disciplines. Par coutume, quand on parle du biathlon, on évoque la combinaison du ski de fond et tir à la carabine. De nos jours, la pratique du biathlon au haut niveau est réglementée par l'Union internationale de biathlon qui organise les principales compétitions. Bien que considéré comme discipline du ski ou sport de neige, le biathlon est totalement autonome vis-à-vis de la Fédération internationale de ski, autre institution mondiale ayant autorité sur la majorité des disciplines des sports d'hiver.
Dans les pays nordiques, le ski de fond était le mode de déplacement le plus pratique durant les longs hivers. Les hommes utilisaient des planches de bois pour se déplacer et des armes pour chasser, comme le montrent des vestiges de l'art antique scandinave. En Norvège, des peintures rupestres datant d’environ 5000 ans ont été retrouvées attestant le fait que les hommes pratiquaient déjà la chasse au gibier au moyen de skis pour se déplacer sur la neige. Ces chasseurs organisaient des compétitions pour désigner les meilleurs d'entre eux.
Un soldat armé avec des skis, gravure du Suédois Olaus Magnus datant du XVIe siècle... Dans toute l'Europe du Nord, les écrits composés de sagas et de légendes évoquent l'utilisation combinée de skis et d'armes pour se défendre mais aussi pour se distraire. Ces observations permettent de penser que les pratiques ancestrales du biathlon répondaient à des normes utilitaires : les déplacements, l'alimentation. Elles touchent également le domaine militaire, cadre ou se développe ce sport combiné.
Un sport avant tout militaire
Sur le plan sportif, les origines du biathlon se situent essentiellement dans le domaine militaire. Dès le début de l’ère des Vikings, les populations autochtones du nord de l’Europe se défendaient à skis contre les Vikings danois qui procédaient à de régulières invasions. Au Moyen Âge, des factions militaires armées équipées de skis deviennent des éléments essentiels des armées en Scandinavie et en Russie, des régions régulièrement enneigées.
Au XVIIIe siècle, les unités de patrouilles des armées nordiques pratiquent le biathlon pour surveiller les frontières. Le bon soldat de ces régions est alors à la fois bon tireur mais aussi excellent skieur. En 1767, la première compétition est organisée sur la frontière suédo-norvégienne entre des patrouilles des deux pays. Jusqu’à la toute fin du XIXe siècle, la combinaison du tir et du ski n’est utilisée qu’au sein de l’armée, à l’exception de la chasse.
Le tout premier club de ski associé au tir, le Trysil Skytte og Skiloberlag ou Club de tir et de ski de Trysil, est créé le 30 mai 1861 en Norvège à Trysil. (il a alors pour but de former les soldats pour leurs missions). Le biathlon est également apprécié dans les pays de langue allemande où la combinaison du ski de fond et du tir n’est pas rare. La forme de ces compétitions évolue jusqu'en 1915 et la première course de patrouille militaire. Alors que l'exercice individuel était jusqu'ici de mise, ski de fond et tir sont désormais pratiqués en relais par équipe. Composée de quatre membres, une patrouille militaire est menée par un officier accompagné par un sous-officier et deux soldats. Sur un parcours allant de 25 à 30 km, le relais doit effectuer une séance de tir à mi-distance, couché ou debout. Trente secondes étaient ajoutées au temps du relais en cas d'erreur sur ce pas de tir.
Ce sport connaît un engouement particulier dans les années 1920 et 1930. En 1924, la patrouille militaire fait même partie du programme olympique des premiers jeux d'hiver organisés à Chamonix. Elle devient sport de démonstration à l'occasion des jeux de 1928, de 1936 et de 1948.
Le biathlon moderne
Une fois la Seconde Guerre mondiale finie, le pentathlon d'hiver entre dans une nouvelle ère en se démilitarisant et en s'ouvrant davantage aux civils. La forte connotation militaire laisse place à la pratique par loisir. Aux Jeux olympiques d'hiver de 1948, le pentathlon d'hiver côtoie la traditionnelle patrouille militaire comme discipline de démonstration. Alliant équitation, escrime, tir, ski de fond et ski alpin, ce sport est le pendant hivernal du pentathlon moderne. Mais non reconnu par le CIO, 1948 est l'unique apparition du pentathlon d'hiver au sein du programme olympique. Parallèlement se développe un biathlon d'hiver alliant tir et ski de fond, une discipline qui connaît un rapide engouement en Scandinavie, en Allemagne et en Autriche. Le 3 août 1948 à Sandhurst est créée l'Union internationale de pentathlon moderne qui montre un intérêt immédiat pour cette discipline des sports d'hiver. Présidée par le suédois Tom Wibom, l'UIPM est composée de 17 pays membres. Sur proposition de l'un de ses successeurs, son compatriote Sven Thofelt, le terme de biathlon est officiellement retenu pour désigner ce sport. En 1954, le biathlon est reconnu comme sport par le Comité international olympique. Élaborées en 1955 à Macolin en Suisse, les règles de compétition sont approuvées le 17 novembre 1956 à Melbourne avant que le biathlon intègre officiellement l'UIPM en 1957 (qui devient alors Union internationale de pentathlon moderne et de biathlon en 1967).
Dès lors, après plusieurs années de pratique et de négociations, le biathlon devient sport olympique en 1960 à Squaw Valley, deux ans après l'organisation de premiers championnats du monde à Saalfelden en Autriche. En 1978, un circuit international mondial est créé, la coupe du monde. L'association avec l'UIPM perdure jusqu'en 1993, année de création d'une instance indépendante lors d'une cession extraordinaire à Londres, l'Union internationale de biathlon (International Biathlon Union). La séparation formelle entre les deux fédérations a lieu en 1998. Désormais autonome, l'IBU organise seule la majorité des compétitions de biathlon, les autres sports d'hiver comme le ski alpin, le saut à ski, le ski de fond ou le combiné nordique étant sous l'autorité de la Fédération internationale de ski.
Concepts de base
Une compétition de biathlon se compose d'une course dans laquelle les concurrents parcourent une piste de ski de fond, dont la distance totale est divisée par deux ou quatre séries de tir, la moitié en position couchée, l'autre moitié en position debout. Les erreurs aux tirs sont sanctionnées par des pénalités, minutes rajoutées, pioches ou distance supplémentaire parcourue. Comme dans la plupart des courses, le participant avec le temps total le plus court gagne.
Pour chaque passage au pas de tir, les biathlètes doivent abattre cinq cibles. Chaque cible manquée est pénalisée selon trois façons, en fonction du format de la compétition :
* En réalisant un tour de pénalité d'environ 150 mètres, ce qui correspond environ à 20-30 secondes pour des biathlètes de haut niveau. C'est le cas lors des sprints, des mass-start, et des poursuites.
* En ayant une minute ajoutée au temps total du skieur. C'est le cas lors des courses individuelles.
* En utilisant une pioche, c'est-à-dire une cartouche supplémentaire que le biathlète transporte sur la carabine. Seules trois pioches sont autorisées par tir. Si des cibles restent à abattre après les trois pioches, le biathlète doit alors accomplir autant de tours de pénalité que de cibles restantes. Les pioches ne sont disponibles que lors des relais.
Afin de suivre les progrès des concurrents et la situation relative au long d'une course, des temps partiels (temps intermédiaires) sont pris en différents points le long de la piste de fond, ainsi qu'à chaque passage au pas de tir.
Toutes les techniques de ski de fond sont autorisées dans le biathlon, ce qui signifie que la technique libre (skating) est habituellement préférée, étant la plus rapide, et nécessitant moins de mouvement du haut du corps, ce qui est un handicap lorsqu'une carabine doit être portée sur le dos. Aucun équipement autre que les skis et les bâtons de ski ne peuvent être utilisé pour se déplacer le long de la piste. La longueur de ski minimale est de 4 cm inférieure à la taille du skieur.
Les épreuves. On distingue plusieurs types d'épreuves qui ne seront pas détaillées ici. Mais il y a les épreuves individuelles : parmi cela l'individuelle, le sprint, la poursuite, le départ en ligne dit aussi mass-start
Les épreuves en équipe : le relais, le relais mixte, la course par équipe.
Un point sur le tir. Un pas de tir est divisé en 30 zones d'environ 2,75 m chacune, des zones accessibles à autant de tireurs. Chaque position de tir est numérotée, de 1 à 30 de droite à gauche en regardant les cibles de face. Pour les courses de sprint et d'individuelle, le skieur entrant sur le stand de tir a le choix entre ces 30 positions pour effectuer chaque séquence de tirs, les cibles 1 à 15 étant réglée en position couchée, celles de 16 à 30 en position debout. Il n'a en revanche pas le choix lors des autres épreuves. Ainsi, pour les épreuves de poursuite, de départ en ligne et de relais, l'attribution des positions de tir se fait en fonction de l'ordre d'arrivée sur le pas de tir. Le leader d'une course se positionne ainsi sur le tapis de tir 1, son dauphin sur le tapis de tir 2, etc. En revanche, pour le premier tir des épreuves de relais et de départ en ligne, le biathlète doit se positionner sur le tapis correspondant à son numéro de dossard même s'il mène la course avec un dossard élevé. L'écart entre les athlètes étant généralement trop faible pour déterminer clairement un classement.
C’est un sport pratiqué aussi par les femmes. Parmi les figures marquantes on peut citer Liv Grete Poirée, Corinne Niogret ou Sandrine Bailly. Les règles sont les mêmes hormis pour le relais mixte où les femmes partent en premier pour 6km chacune (elles sont 2) et les deux hommes ensuite ( 7,5 km chacun).
Afin de compléter cet article, voici ce qu’a pu me dire Simon Fourcade, biathlète français.
Kevin Fortin : Comment vient-on à pratiquer cette discipline alliant sport et tir ?
Simon Fourcade : Pour ma part, j ai fait du hockey sur glace jusqu’à 14ans. A 10 ans j'ai découvert le ski de fond avec l’école. J’ai continué en parallèle les deux jusqu’à ce que je décide de m’orienter vers le biathlon pour suivre les copains. Aucune vocation particulière donc. Les résultats ne sont venus qu'à partir de 17 ans.
KF : Quelles sont les qualités d'un bon biathlète ?
SF : Avant tout l’endurance car, que ce soit pour les performances physiques ou la récupération avant le tir, elle est primordiale. Une bonne concentration est également essentielle de manière à savoir s'isoler au moment du tir.
KF : Sur quoi porte le travail d'entraînement ?
SF : Il porte sur le développement de l'endurance, de la puissance, l'augmentation de la capacité de récupération et la technique concernant la partie ski, précision, maîtrise de soi pour l’aspect tir.
KF : Lors des préparations, comment se déroule une journée type ?
SF : Lors d' un stage, cela se déroule de la manière suivante :
7.30 lever
7.35 petit footing
7.45 déjeuner
9.00 entraînement spécifique (longue endurance, intervalles, seuil...) + tir à l effort
12.00 repas
13.00 sieste
15.30 2ème entraînement (2eme longue séance, musculation, renfo musculaire, séance de récup active....) en fonction de l’entraînement du matin
18.00 étirements, massage, position (travail de tir à sec c’est-à-dire au repos sans munitions, travail de stabilité)
19.00 dîner
22.00 dodo
KF : Quels sont les objectifs de l'équipe de France cette année ?
SF : La saison est déjà bien avancée, mais les championnats du monde reste un objectif primordial comme tout les ans. Pour ceux qui sont bien placés au classement général est également important.
KF : Du point de vue de la partie tir, quel est le plus dur, couché ou debout ?
SF : Comme lors d’autres pratiques, on va dire que cela dépend des goûts de chacun. Le tir couché revêt un aspect plus technique, prises d'informations (position, analyse du vent, de la luminosité...) alors que le tir debout quand a lui fait plus appel à un aspect mental car c’est une bataille face à soi même pour mettre les balles dans la cible.
KF : Quels plaisirs apporte ce sport ?
SF : Un sport de compétition exclusivement. Donc un plaisir qu’il faut aller chercher dans l’effort et la souffrance. Si on le voit d'un côté un peu moins SM, plaisir et sensation de glisse grace au ski de fond, et le tir qui vient cassé la monotonie que l’on peut certaines fois rencontrer dans les sports d'endurance.
KF : Y-a-t-il une morphologie idéale pour pratiquer ?
SF : Non pas de morphologie particulière, même si les grands gabarits auront tendance à être avantagés de part l'amplitude qu’ils peuvent déployer et des temps de glisse forcément plus importants. Les gabarits sont également de plus en plus imposant depuis quelques années car la force et la puissance sont devenues primordiales dans notre sport. Sans parler non plus de gabarit de rugbymen ou de skieurs alpins car il faut porter les kilos en bosse.
Les amateurs de tir et de ski trouveront donc leur compte dans ce sport qui demande les qualités du ski de fond et celles du tir. De nombreuses stations proposent cette activité, comme les stations d’Isère, Autrans, bientôt Villard de Lans et autres.
Article rédigé par Kevin Fortin
Pour contacter Kevin : manager@gregory-capra.com
samedi 12 février 2011
Yoann, un sportif Capra pas frileux
C'est ça un sportif Capra, courageux et souriant dans l'épreuve !
dimanche 6 février 2011
Paris - Bootcamp "Bienvenue en enfer"
La clairière, ce n'est pas pour se reposer, mais pour échauffer tout le corps, des chevilles aux poignets en passant par les quadriceps qui commencent vite à souffrir. Au loin les karatékas continuent à s'entraîner, mais pas de photo...
Un pont, une rambarde... des squats sur une jambe... équilibre précaire, des pompes, des répulsions... Il a beaucoup d'imagination, Yoann ! Autres joggeurs, vous attendrez pour passer, le pont est bloqué !
A nouveau un petit footing pour retrouver la clairière des 421 pompes de Kevin ! Yoann distribue des morceaux de ceintures de judo que chacun accroche à la ceinture. "Tout le monde à une queue ?"... C'est parti pour un jeu !
Fini le jeu, les choses sérieuses arrivent : sprint, fentes, courses, .... et des abdos de toutes les sortes, droits, obliques,... Le bootcamp spécial abdos, ce n'était pas la semaine dernière ?!
Du gainage, des pompes sur un bras, on ne sait plus ce que c'est, les bootcampeurs en redemandent !!!
La semaine prochaine, c'est un bootcamp spécial jambes avec courbatures durant 48 ou 72 heures assurées ! Kevin avertit : "préparez vos béquilles !"
Pour me contacter : manager@gregory-capra.com