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mercredi 23 novembre 2011

Enquête "STAPS... et après ?"

Cours en STAPS


Récemment, je lançais une enquête intitulé "STAPS... et après ?" : http://gregory-capra.blogspot.com/2010/08/staps-et-après.html



A l'adresse des anciens STAPSiens, ces questions :
1/ Votre objectif professionnel avant de rentrer en STAPS ?
2/ Votre situation professionnelle à la sortie des études ?
3/ Rêves, réalités : selon vous, y-a-t-il une discordance entre le discours sur cette filière et l'approche que vous avez pu avoir sur le terrain ?
4/ Vos perspectives professionnelles à cours et moyen terme ?


Micka a bien voulu témoigner pour aider les jeunes attirés par cette filière.


1/ Votre objectif professionnel avant de rentrer en STAPS ?
Quand je suis rentré en Staps, mon objectif était de devenir prof car mes différents profs d'EPS ont su me donner envie de suivre leur chemin.

2/ Votre situation professionnelle à la sortie des études ?
J'ai eu la "chance" de faire partie des admis au concours et je suis donc prof d'EPS en collège aujourd'hui.

3/ Rêves, réalités : selon vous, y-a-t-il une discordance entre le discours sur cette filière et l’approche que vous avez pu avoir sur le terrain ?
Il est vrai que les Stapsiens sont de grands fêtards et les soirées STAPS représentaient bien cela. Cependant, au fur et à mesure que l'on avance dans le cursus universitaire, les étudiants deviennent moins fêtards et passent beaucoup de temps à travailler et à réviser. Surtout quand on a un concours à préparer, la vie sociale est mise entre parenthèses.
Le préjugé vexant est de penser que un sportif n'a pas de "cerveau" mais que des muscles. Dès l'entrée en STAPS, les activités sportives sont à 50/50 avec les cours magistraux et travaux pratiques. Enfin, lors du concours, les sports ont un coefficient très faible par rapport aux écrits et oraux.


4/ Vos perspectives professionnelles à cours et moyen terme ?
J'ai voulu être prof et je le suis. Cependant, je ne pense pas finir ma carrière comme prof car le monde de l'enseignement est très difficile de nos jours.

Voilà, j'espère avoir pu apporter quelques infos intéressantes.

Micka


Vous aussi vous pouvez participer à cette enquête.


Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

lundi 21 novembre 2011

Enzo : un sportif blessé

Enzo - Sportif Capra - Blessé

Enzo, sportif Capra à Lille, l'a échappé belle. Heurté par une voiture, son scooter finit sous le véhicule complètement démoli. Enzo est emmené à l'hôpital, main droite et pied gauche cassés. Il rentre aujourd'hui, chez lui, après trois jours d'hospitalisation, non sans oublier de prendre une photo souvenir avec son colocataire de chambre. Malgré la douleur, le sourire et le moral sont là.


Enzo avant l'accident

"Pas de sport pendant trois mois, mais un coach garde la pêche (LOL) donc électro-stimulation à fond ! Déception, c'est clair, après tant de travail, je risque de perdre un peu pendant trois mois."


Notre équipe c'est donc mobilisée pour soutenir Enzo. Nous allons suivre sur ce blog sa réathlétisation, histoire de bien le motiver, s'il en est besoin.


Merci d'avance pour vos témoignages de sympathie à l'endroit d'Enzo.

Pour contacter Enzo : manager@gregory-capra.com

Thaïlande : Episode 4

Aquagym

Bénéficiant d'un emplacement privilégié au bord de la mer, mon hôtel offre une vue spectaculaire sur la baie de Kata (pas de rapport avec le karaté, je crois) et sur ses beaux paysages tropicaux. C'est au bord de la piscine extérieur avec bar que je prends mon petit déjeuner, observant un cours d'aquagym. Aujourd'hui, ce n'est pas moi qui travaille...


Etirements

Le cours est terminé, je plonge dans la piscine pour faire quelques longueurs. On me dit que la ville de Kata est très bien, que sa taille raisonnable en fait un endroit agréable, qu'il faut fuir Patong... Que faire ? Je m'étire et réfléchis... Je vais aller à la plage !


Direction la plage !

J'enfourche ma grosse bécane et à fond direction la mer. Toutes les rues de Kata sont les miennes, je sais rouler à gauche maintenant. Le casque rouge me protège, mais, pour les chaussures, ne suivez pas mon exemple... Embarquez avec moi, c'est parti pour le tour des plages de l'île de Phuket !


La baie de Palay

La baie de Palay, quelle beauté ! Cette baie encore sauvage est bordée dans sa plus grande partie de mangrove. Ce n'est pas l'endroit idéal pour la baignade mais un endroit extraordinaire pour réaliser de belles photos. D'ailleurs, je vais me pousser pour la photo suivante...


La mer d'Andaman

De nombreuses barques de pêcheurs sont amarrées en bordure de la côte. En repartant, je vais m'arrêter dans un très bon restaurant de fruits de mer pour déguster les spécialités de Phuket : Hor Mok Pla (poisson safrané au lait de coco, cuit dans une feuille de bananier) ou Kao orb (riz safrané à l'ananas présenté dans un ananas évidé) et, bien sûr, coquillages et crustacés cuisinés à la mode thaï... Succulent !


Un petit enfant thaï

Rawaï beach, cette baie est la préférée des thaïlandais qui viennent y pique-niquer en famille ou entre amis. La population locale y est principalement musulmane. Rawaï a peu évolué ces dernières années et est restée une des plages les plus pittoresques de l'île. Elle n'est pas extraordinaire pour la baignade mais l'eau y est peu profonde et la présence de végétation en bordure avec la présence des îlots au large lui confère un charme certain. De nombreux bateaux à longue-queue et hors-bord y sont ancrés.


Aujourd'hui, je m'en suis mis plein les yeux...


A suivre !


Greg


Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

dimanche 20 novembre 2011

Le long drive

Grégory - Nice - Sportif Capra

Cette discipline décalée du golf n’a en commun que la balle et le driver. En effet, il faut vous préparer à frapper 6 balles en 2 minutes 45 et que l’une d’entre elles (au moins) repose sur la piste le plus loin possible. Les enceintes vous crachent de la musique électro, les spectateurs hurlent leurs encouragements ou vous chambrent gentiment avec véhémence, les photographes font crépiter leur flashes dans vos yeux et il y a ce cameraman planté droit dans votre ligne de tir…on est loin de l’ambiance feutrée des club-houses….Accrochez-vous à vos drive (par Kevin Fortin)

Le long drive, du golf bodybuildé. Oubliez la finesse, le petit jeu, le respect du parcours, le club house… il s’agit de cogner…et fort, dans la balle.
Long drive vous avez dit ? Commençons déjà par donner aux néophytes la définition d’un drive. Un drive c’est un coup joué avec un driver (club le plus puissant), le plus généralement au départ d’un trou où le compétiteur lâche généralement les chevaux pour parcourir le plus de distance.
C’est une discipline golfique à part entière qui consiste en un concours où le seul objectif est d’aller le plus loin possible, et surtout, plus loin que son adversaire. Comme dans un tableau de tennis, en effet, les joueurs s’affrontent par partie de deux et passent des tours jusqu’à la grande finale entre les deux meilleurs.

Le principe est le suivant lors d’une grande compétition comme le championnat du monde : chaque joueur, dont la longueur de manche du driver ne peut pas excéder 122cm (la surface de tête de club étant limitée à 460cm2), a six balles en sa possession, la plus lointaine étant retenue sachant qu’elle doit impérativement atterrir dans une zone limitée, parfois largement dévolue à la publicité.
A Mesquite, la Mecque du long drive, il est clair que nous sommes loin de l’ambiance souvent feutrée des club-houses et des tournois de golf traditionnels où le public est contraint au silence. Dans l’univers du long drive, chaque spectateur peut s’exprimer s’il en a envie, les enceintes crachent souvent de la musique pendant le jeu («Orange crush» de REM en est l’un des tubes préférés) et il n’est pas question de faire preuve de retenue dans aucun domaine à l’image du message d’accueil du site Internet des longs drivers de France:

«Bienvenue sur le site des « gros malades, des chataîgneurs, des tueurs de balles, des canonniers fous furieux...»

En 2010, pour la première fois dans l’histoire du championnat du monde, un Européen, le Britannique Joe Miller, a damé le pion aux Nord-Américains, les vrais spécialistes de ce sport apprécié de la télévision aux Etats-Unis au point qu’ESPN, la chaîne sportive américaine, réserve, chaque année, une partie de son antenne, le jour de Noël, au championnat du monde qu’elle diffuse en différé. Comme nombre de ses confrères du long drive, Joe Miller est très un beau bébé d’1,95m pour 125 kilos. Des kilos de muscles pour la plupart en ce qui le concerne puisque Miller travaille dans une salle de gymnastique, même si le chèque de 150.000 dollars qu’il a encaissé à Mesquite doit lui permettre d’envisager sa vie professionnelle d’un jour nouveau.
Lors de sa victoire, la meilleure marque de Miller a été de 378 m. Ce qui le laisse assez loin du record du monde, contesté par certains, de l’Américain Mike Dobbyn, champion du monde en 2007, qui a expédié un jour une balle à… 503 m. A côté de Dobbyn, sorte de Hulk qui mesure 2,07 m et accuse 136 kg sur la balance, Miller est un gringalet.
Au long drive, tout est question d’énergie, il est vrai. Lors du dernier championnat du monde, Joe Miller, Jamie Sadlowski, le Canadien consacré en 2008 et 2009, et le Sud-Africain Ryan Louw ont tous les trois imprimé à leur balle une vitesse d’au moins 360 km/h quand les professionnels du PGA Tour atteignent rarement des vitesses de 300 km/h. La vitesse du swing de nos trois artificiers a oscillé, elle, entre 236 et 241 km/h. Il est admis qu’un amateur ne dépasse pas souvent les 160 km/h.

Au long drive, il y a les frappeurs purs et durs comme Dobbyn, à qui il est arrivé de taper 1.000 balles par jour à l’entraînement, et les swingueurs comme Sadlowski qui n’est pas une force de la nature avec son 1,81 m et ses 75 kg mais est capable de générer de la puissance et d’obtenir de la distance grâce à des qualités de flexibilité et de souplesse au niveau de son dos, de ses épaules et de ses mains.

Tous les joueurs du dimanche le savent : frapper comme un sourd n’a jamais fait le bon joueur de golf (pas plus que les kilos de muscles si l’on en juge par les rondeurs affichées par de nombreux champions). Il n’en reste pas moins que réussir à envoyer sa balle le plus loin possible reste une obsession pour tout pratiquant de cette discipline. Il est d’ailleurs facile de constater que chez l’amateur, le petit jeu (approches, putting…) est bien plus faible que le grand jeu comme si les joueurs, à l’image de ce monde des longs drivers tellement fascinant, tiraient l’essentiel de leur plaisir dans cette décharge d’adrénaline et de puissance que procure notamment un coup de départ. Dans le dernier numéro de Golf Magazine, Benoît Teilleria, ancien joueur français du circuit européen, livre cette anecdote symptomatique vécue lors d’un pro-am:

«J’étais avec un amateur très tendu au départ, les mâchoires verrouillées, impossible de lui arracher un mot. A son deuxième coup, il joue avec une telle violence qu’il enfonce la balle dans le sol à l’impact. Mais comme il avait touché la balle, il lève la tête et la cherche dans les airs. Grand moment de solitude pour ce monsieur que la situation n’a pas fait rire du tout, au contraire du reste de l’équipe.»

En raison de cette addiction des joueurs à la puissance, qui intéresse les fabricants toujours soucieux de fournir les «armes de guerre» les plus lourdes et les plus perfectionnées, le long drive, encore peu connu en France, mais très développé en Scandinavie, a peut-être de beaux jours devant lui. Le record de France reste la propriété de Yvan Tchéménian , président fondateur de l’association des longs drivers de France, avec une distance de 386 m. Association dont le slogan est «Go long or go home!» ( pas besoin de traduire)

Car l’humour est partie intégrante de l’univers de ces joueurs d’un autre genre à la lueur des sobriquets qui accompagnent les noms des meilleurs de la disciplines comme Joe «killer» Miller, Sean «the beast» Fister ou Jason «golfzilla» Zuback. Reste à savoir quel surnom portera le nouveau prodige du long drive, le Californien Domenic Mazza, finaliste du dernier championnat du monde à seulement 16 ans…
En France, on a aussi un bon poulain, Eric Houballah. C’est un français qui a fini septième au championnat d’Europe de Long Drive avec un drive de 352,4 m et il est qualifié pour les championnats du monde. C'est un champion en pleine progression et sa préparation est hallucinante et très professionnelle......

Alors tous à vos chaussures et drive et tapez comme un sourd, un bourrin dans la balle pour qu’elle vole le plus loin possible jusqu'à sa destinée.


Article rédigé par Kevin Fortin


Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

Boot camp Capra Paris - Explosif

Roland - Paris - Coach Capra

Issu d'une famille sportive, Roland a pratiqué le karaté, dès son plus jeune âge. En complément, ses parents l'on inscrit à l'athlétisme. C'est de cette discipline sportive qu'il s'inspire aujourd'hui pour le boot camp... Je passe maintenant, autant que possible, à l'orthographe "boot camp" pour être mieux reconnu sur Google...


Le plot, instrument du jour

Le plot s'avère l'instrument indispensable du jour avec quelques cerceaux. Mais d'abord direction un coin jusqu'alors inconnu, au sud-ouest du château, au delà de la pyramide de Vincennes ou de l'obélisque de Louis XV élevé en 1731 (il faut bien se cultiver, aussi), vers un stade où s'égaient déjà quelques joueurs de foot.

Talons-fesses

Roland aligne une demi-douzaine de plots et c'est parti pour trois passages en talons-fesses, genoux-poitrine, un enchaînement des deux, des sauts,... Le rythme cardiaque monte ! On avait bien dit un boot camp explosif !

Demi-tour

Ca ne suffit pas... Maintenant, ce sont des petites courses avec un demi-tour rapide au premier, puis au deuxième, puis au troisième plot, etc... avant un passage dans les cerceaux et le sprint final.

Squat chargé

Toujours devant les plots, pompes, saut, squats à vide, gainage, squats chargés... et deux ou trois passages ! La transpiration attire les moustiques... C'est tropical, Vincennes, en novembre !


Abdos

Par cette transition, fini le cardio, on arrive au renforcement musculaire. D'abord les abdos, Roland enchaîne des exercices pour le grand droit et les obliques... un relevé de buste pour les obliques encore jamais vu !

Premier bootcamp

Stéphane témoigne a posteriori : "Premier boot camp Capra avec Roland, ce matin. J'ai terminé l'entraînement. Je suis rentré vivant et entier ! Super matinée endurant et sympa, en plus le soleil était présent sur Vincennes pour m'accueillir. Merci, je reviendrai !"

Pompes avec pieds surélevés

Roland assiste ici Maryline qui se demande encore "où mon équipe a trouvé ce nouveau coach (lol)". Maryline tient une forme impressionnante, la pêche ! Il faut dire qu'avec Roland et Thierry, elle est entre de bonnes mains...

Chaise

Comme les cuisses n'avaient pas assez travaillé, un arbre pour 1 mn, puis 1mn 30 sec et enfin 2mn de chaise. Roland encourage et surveille... avant une bonne séance d'étirements. Ce soir, il faudra boire beaucoup d'eau pour limiter les courbatures...

Dans les buts

On ne distingue ni le cadre, ni le filet, mais c'est une cage de but qui est le décor de la traditionnelle photo finale.


"Un très bon boot camp, ce matin... !! Ca va de mieux en mieux, la forme. Cool...", Maryline.


"Très bon boot camp, ce matin. Roland a superbement bien assuré sa séance... J'ai même grimpé sur son dos... J'ai crû que j'étais sur la Tour Eiffel... quelle vue... Bravo, Roland, reviens-nous vite !", Thierry.

Pour participer au prochain bootcamp : manager@gregory-capra.com

samedi 19 novembre 2011

Une rencontre qui change une vie !

Mes débuts... en 2005 !

Récemment, j’ai, sur mon habituel ton de la plaisanterie, dit à Stéphane, un de nos sportifs parisiens, « je te laisse, je file m’entraîner avant que mon coach ne me dispute… ». Il m’a alors répondu : « pour de vrai, tu as un coach ? ». Recevant ma réponse expliquant ma boutade, il rétorqua alors : « non mais ça aurait pu être vrai, après tout, toute cette énergie que tu te plais à transmettre avec autant d’envie te viens peut être de quelque part ».


C’est ainsi que j’ai demandé à Eric alias « gros », de mettre par écrit, s’il le souhaitait, un p’tit mot relatif à cette fameuse rencontre…


En 2003 pour la première fois, après avoir arrêté le sport qui me passionnait tant qu’est le motocross, je poussais la porte d’une salle de sport…


Très impliqué dans tout ce que j’entreprends, Magali, une amie de ce fameux Eric au physique imposant doublé d’une voie grave et de… presque 20ans de plus que moi (oui, oui c’est un vieux mais il ne faut pas le dire , LOL) m’a invité à aller vers lui…


Bêtement enfermé dans les clichés et encore peu sûr de moi, je n’ai pas tout de suite osé le faire… puis je me suis lancé…


Le « beau bébé de 100kg de muscle » n’était finalement ni « bête », ni méchant, ni associable… Saoulé par mes milliers de questions (LOL, je creuse toujours beaucoup quand je désire comprendre) il m’a rapidement proposé de m’entraîner avec lui afin de m’apprendre les rudiments…


Le sport, la diététique, … 90% de mon savoir vient de cette personne vers qui personne n’osait aller… Eric, ce « p’tit sauvage » devenu mon Ami et qui m’a permis de faire du sport mon métier nous livre aujourd’hui quelques mots…

Quand j ai rencontré Grégory, voilà maintenant plusieurs années, j'ai été surpris par ses valeurs sportives (envie , ténacité, rigueur ...).


Après quelques temps de fréquentation régulière , j ai été encore plus agréablement surpris de voir que Grégory était avant tout un ensemble de valeurs humaines et morales, ce qui n est pas commun de nos jours.


Ce sont toutes ces valeurs innées qui font, à mon avis, de Grégory un “coach” hors norme et compétent, toujours à l’écoute et avec une bonne humeur indéfectible, qu il pleuve ou qu il vente.
Il semblerait qu’ aujourd’hui le “maître” ait beaucoup à apprendre de l élève.


A bon entendeur... salut !


Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

Bootcamp Capra Paris - Ippon

Un matin à Vincennes

Rendez-vous dimanche 13 novembre, pour ce Bootcamp avec Cédric. Ce dernier semble avoir pris un peu de masse (les bras semblent plus développés…) ou nous trompons nous ? Et oui, un coach c’est un sportif qui s’entraîne également et qui ne baisse pas sa garde ! Tous les participants semblent présents. C’est parti pour le bois de Vincennes. Le temps de ce dimanche nous promet un Bootcamp bien agréable !


Il est donc venu le temps du footing d’échauffement. Un footing à allure légère, parfois entrecoupé de pas chassés dans un sens puis dans un autre. Tout ceci, en ayant toujours un regard vers Maryline qui fait attention, car son retour après des petits soucis de santé ne doit pas la renvoyer en convalescence ! Cédric trouve alors un coin qui semble lui convenir pour les exercices de renforcement musculaire. Au programme, jambes, abdos et pompes.


Squats explosifs

Le coach nous dresse le plan. Puis nous attaquons par des squats. Cédric en bon coach s’assure que tous les 5 valeureux présents exécutent les bons gestes. Des petits exercices suivent et nous font bien travailler à la fois l’explosion, la dynamique et l’endurance des muscles. Cyclo-pompes, puis un mini circuit, en position pompe, ramener les genoux devant par une flexion et revenir, puis, au 2ième tour, même chose mais à la flexion, faire une extension explosion vers le haut et à l’atterrissage, exécuter une pompe. Puis recommencer. Cédric demande des séries de 20 rep minimum… de quoi faire apparaître les premières gouttes de sueur !


Le tronc

Puis pour varier les exercices, nous occupons un tronc d’arbre couché sur le sol qui semble inspirer Cédric. Saut alterné en explosion, pompes bras sur le tronc, puis plus tard, pompes pieds sur le tronc… Il veut vraiment nous faire transpirer… mais nous ne nous laissons pas faire, même au moment de faire 1 minute 30 de chaise.


Steps

La partie « travail des abdos » est une autre forme de torture à laquelle nous commençons a priori à être habitués… a priori… crunch, rameur, transverses, en binôme (2 fois 50 rep) tous les abdos sont entretenus ! Et pas de triche, encore une fois, Cédric reste vigilent face à des poulpes pratiquant la triche. Vérification du dos (Lionel), des mains qui ne doivent pas s’accrocher aux cuisses pour remonter (Eric), bonne position du bassin en gainage dynamique pour éviter que ce soit trop facile (Arnaud) et surtout éviter que nous nous fassions mal. Les séries d’abdos sont demandées avec un minimum. Au début, nous faisons un peu les fiers en en faisant plus… Mais … Cédric nous avait réservé plein d’autres séries.


Etirements

Pour gagner du temps, Arnaud négocie le départ d’un gainage en soutenant par solidarité Thierry qui finit sa série de relevés de buste avec Lionel. Dommage, annonce à peine faite, Thierry répond qu’il a terminé ! Et bien c’est parti pour le gainage.


Allez plus haut !
Derniers dips, dos au tronc, avant de repartir, pompes... Et c’est reparti pour faire les étirements près du château de Vincennes et faire la photo traditionnelle de l’évènement.



Sous le soleil d'automne

Pour participer au prochain bootcamp : manager@gregory-capra.com

samedi 12 novembre 2011

Thaïlande : Episode 3

Grégory Capra en scooter

Plus question de me retrouver pour trois quarts d'heure avec 200 personnes sur un bateau rapide puis une plage, fut-elle paradisiaque, où l'on ne peut même pas profiter du paysage à cause de la foule des touristes. Je veux ma liberté, je veux découvrir la vraie Thaïlande. Je loue donc un scooter !

Grégory Capra au milieu des éléphants

Quelques frayeurs plus tard, à cause de la conduite à gauche (!), je découvre un premier temple avec des éléphants partout, gris ou dorés. C'est magnifique ! Autrefois, les éléphants sauvages vagabondaient dans l'île de Phuket.

Grégory Capra pour Ludovic Bun

Puis c'est l'heure de mon shooting pour la marque de prêt-à-porter Ludovic Bun : http://www.ludovicbun.com . L'opéra de Sydney sur ma poitrine ressemble à un papillon au milieu des fleurs de ce jardin tropical.

Grégory Capra à table

Il faut se sustenter... A table ! Un beau restaurant, des plats équilibrés et joliment décorés, des sucres lents et des protéines, très peu de lipides... le rêve. Mais, attention, ça arrache la cuisine thaï, c'est très très très pimenté !!!

Boxe thaï

Habituellement, sous cette halle ont lieu des entraînements de boxe thaï. Si vous n'avez rien contre la violence, ça vaut le coup d'assister à un match de boxe thaï, ne serait-ce que pour le spectacle qu'il constitue avec la musique qui l'accompagne, le cérémonial qui précède le combat et la frénésie des paris qui secoue le stadium et ses alentours.

Grégory Capra et son nouvel ami

On me disait : "Même si les singes ont l'habitude des hommes, ils restent des animaux sauvages, il convient donc de prendre ses précautions". Moi, j'ai trouvé un singe très gentil qui est devenu mon ami ! Son poil est doux, il ne mord pas...

Grégory Capra, plongeur !

Pour finir la journée, un tour à l'aquarium de Phuket, une balade agréable. Au début, petits aquariums emplis d'espèces en tous genres, avant le tunnel où j'ai vu des poissons effrayants nager au-dessus de ma tête : raies géantes, requins, gros mérous, anguilles électriques,... Heureusement la paroi était solide !

A suivre,

Greg

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

Sèche 2011 : Steven, 11 mois plus tard

Steven - Novembre 2011

Steven - Juillet 2011

Steven - Juin 2011

Steven - Mai 2011

Steven - Mars 2011

Steven - Mars 2011

Steven - Mars 2011

Steven - Janvier 2011

Steven - Janvier 2011

Steven - Décembre 2010
Cela fait maintenant 11 mois que nous suivons les efforts de Steven, judoka périgourdin, ceinture noire, présent sur les plus grands évènements de sa discipline : Tournoi de Bercy à l'été 2011 et sûrement aux Jeux Olympiques de Londres en 2012.

Tout en haut, une photo du 08 novembre dernier et le témoignage de Steven qui correspond : "J'ai presque atteint mon objectif de 81kg. Et ça, c'est grâce à toi !".

Je suis sûr que Steven atteindra cet objectif avant la fin de l'année avec le respect de mes consignes : "Maintenant, à fond sur les abdos !".

Bravo Steven !

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

vendredi 11 novembre 2011

Stéphane - Bourg-en-Bresse - Coach Capra



Originaire de la Drôme, c'est à l'âge de 18 ans que je découvre ma vocation de coach sportif et préparateur physique.

C'est à raison de 3 séances hebdomadaires de musculation et de course à pied que je poursuis mes études dans le sport et l'entraînement. Durant ces quatre années, je bénéficie d'une expérience très enrichissante qui me permet de devenir un coach incontournable dans le secteur où je réside aujourd’hui : Ain, Rhône Alpes.

Pour moi l'entraînement sportif doit être géré et planifié de manière précise afin d'optimiser les séances et d'éviter ainsi le surentraînement. De trop nombreux sportifs sont en situation de surentraînement car ils ne planifient pas leur saison en fonction de leurs objectifs. C'est pour répondre à cette attente que je souhaite vous aider, vous offrir mes services.


Expérience technique
Je pratique régulièrement de puis 8 ans la course à pied et la musculation dans une optique d'entretien et de développement harmonieux de ma condition physique. J'ai participé à de nombreuses courses et trails (Sainté-Lyon, semi marathon, trails courts, raids multisports)

Expérience pédagogique
- 5 ans en tant que coach personal trainer,
- 7 ans en tant que préparateur physique pour divers sport (athlétisme, rugby, volley, tennis, badminton, gymnastique).

Spécialités
- Course à pied
- Marche Nordique
- Musculation
- Préparation Physique
- Stretching
- Méthode Pilates
- Swiss ball et Waff

Qualifications
- Licence Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives (STAPS) mention « entraînement sportif »
- Diplôme Universitaire de Préparation Physique
- Label Coach Athlé Santé
- Entraîneur hors stade et demi-fond
- BEES 1er degré tennis de table
- Formation à la méthode Grégory Capra
- Formation en conseils alimentaires Grégory Capra

Loisirs - divers
- Raid Sportif
- VTT
- Canoë-kayak


Pour contacter Stéphane : manager@gregory-capra.com

Thaïlande - Episode 2

Koh Phi-Phi
Aujourd'hui, je joue le touriste de base : bateau rapide vers Koh Phi-Phi où a été tourné le film "The beach" avec Leonardo di Caprio. Je découvre à l'occasion que Koh veut dire "île" dans la langue thaï d'où Koh Lanta ! Je suis ébloui par les vertigineuses falaises calcaires.

Maya Bay
Des paysages magnifiques et une bonne baignade dans la mer d'Andaman, mais le temps est limité avec la voix du guide dans le haut-parleur : "I pick up you back in 45 minutes". C'est dommage, ça fait trop tourisme de masse, je trouve.

Panorama sur Phuket
Je choisis donc de poursuivre de manière plus sportive et plus solitaire, ce sera une randonnée dans les collines de la presqu'île de Phuket. Je ne m'attendais pas à un tel relief en Thaïlande, c'est une très bonne surprise. Pas de serpents, pas de tigres,... une très bonne randonnée !

Fitness center
Pour finir la journée, une séance de muscu au fitness center de l'hôtel avec vue sur le jardin tropical. Je tiens à rentrer en forme en France...

A suivre,

Greg

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com