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mercredi 14 septembre 2011

Handisport : Sébastien encadre l'animation basket-fauteuil

Sébastien - Paris - Coach Capra

Sébastien, coach Capra à Paris, encadrait, les 9 et 10 septembre dernier, l’animation « basket fauteuil », à l’occasion des 5ème rencontres EDF Handisport, sur le parvis de l’Hôtel de Ville de Paris. Sur un terrain de basket-ball installé au nord du parvis, valides et handicapés étaient invités à s’affronter dans des matches amicaux.

Sébastien a observé une affluence plus importante qu’en 2010 et il avoue que la journée du vendredi fut bien éprouvante avec beaucoup de scolaires !

L’occasion pour nous de découvrir cette activité.


Basket-fauteuil à Paris

Basket-ball en fauteuil roulant : hier et aujourd’hui

Le basket-ball en fauteuil roulant (ou basket fauteuil) fut conçu à l’origine comme activité de rééducation destinée aux anciens soldats souffrant de lésions de la moelle épinière au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale.

La première rencontre a lieu en 1946 avant que la pratique ne s’étende à différentes catégories d’athlètes en fauteuil roulant.

Aujourd’hui, ce sport est pratiqué en compétition par plus de 25 000 personnes dans 90 pays du monde entier. Des milliers d’autres personnes jouent pour le plaisir dans leurs clubs, écoles et universités.

Comment participer et gagner ?

Le basket-ball en fauteuil roulant voit s’affronter deux équipes de cinq joueurs. Le principe est le même que pour le basket-ball classique, la taille du parquet et la hauteur du panier restant les mêmes, tandis que les règles du jeu ne sont que très légèrement adaptées.

Les joueurs déplacent le ballon sur le parquet par des passes ou des dribbles. Ils doivent passer ou faire rebondir le ballon par terre toutes les deux poussées de roues afin d’éviter d’être sanctionné pour un « marcher ».

À l’instar du basket-ball traditionnel, un lancer franc donne droit à un point, un panier offre deux points, et trois points sont accordés à tout panier marqué au-delà de la ligne des trois points.


Rencontres EDF Handisport - Paris

Le basket-ball en fauteuil roulant aux Jeux

Le basket-ball en fauteuil roulant est l’un des sports les plus populaires des Jeux paralympiques. Il figure au programme des premiers Jeux paralympiques de Rome en 1960, un programme qu’il n’a ensuite plus jamais quitté.

Le Canada est l’équipe à battre chez les messieurs et les dames, mais la Grande-Bretagne, l’Australie et les États-Unis s’érigent en excellents challengeurs.

Faits marquants du basket-ball en fauteuil roulant

Les meilleurs joueurs de basket-ball en fauteuil roulant utilisent des fauteuils en titane spécialement conçus dont le prix s’élève à plus de 5 000 euros et qui peuvent être usés en six mois en compétition de haut niveau. Au basket-ball en fauteuil roulant, aucune différence n’est faite sur le type de handicap des athlètes. Chaque joueur se voit attribuer un classement correspondant à un certain nombre de points, et chaque équipe doit disposer d’un total de points minimum déterminé.
Le basket-ball en fauteuil roulant doit son essor dans le monde entier à Sir Ludwig Guttmann, le fondateur des Jeux paralympiques.
Le basket fauteuil est par ailleurs le sujet d’une série de télévision pour enfants, « Desperados », qui met en scène l’ancien champion paralympique britannique Ade Adepitan.


Fin d'une journée d'animation

Participer

Les opportunités de jouer au basket-ball en fauteuil roulant ne manquent pas, des joueurs de milieux divers prenant plaisir à pratiquer un sport rapide et technique.

Pour contacter Sébastien : manager@gregory-capra.com

mardi 13 septembre 2011

Olivier : la transformation

Olivier - 2007 - 68 kg



Olivier - 2009 - 74 kg


Olivier - 2010 - 76 kg


Olivier - 2011 - 78 kg

Olivier, Paris, 32 ans, est coaché par Grégory Capra. Après cette transformation, il est prêt pour faire une couv' de magazine... Il y a d'ailleurs peut-être un truc dans le genre qui se prépare ?! A suivre...

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

Comment choisir son coach ?

Grégory Capra - Coach sportif

Question pas facile dans un monde où le terme « coach » est employé à tout va et donc complètement dénaturé et dénué de sens…. Devenu sans doute un pur objet marketing !

Pour vous aider, posez vous les bonnes questions !


I) Définition


1) Qu’est ce que le coaching ?
Le coaching en milieu professionnel est un processus d’accompagnement d’une personne au travail avec pour objectif l’optimisation du potentiel des individus. L’intervention de coaching crée un espace où l’individu peut évacuer ce qui fait obstacle à son développement, exprimer son désir et ses aspirations, développer ses atouts, acquérir de nouvelles compétences et savoirs et mettre en œuvre un plan d’amélioration de sa performance. Cette démarche est unique et se démarque d’autres modes d’intervention comme le conseil, la thérapie ou la formation en se positionnant résolument comme une co-construction, une co-élaboration entre coach et coaché fondée sur la puissance de la relation intersubjective. Un des postulats est que le coaché a, en lui, les compétences et le potentiel pour trouver ses propres solutions et que le coach agit comme un catalyseur, un facilitateur de changement en mobilisant ses énergies. D’une certaine façon, cette démarche s’apparente à une maïeutique dans laquelle le progrès est généré par le coaché à travers un dispositif particulier, structuré à partir d’un savoir-faire et d’un savoir-être du coach. Cette croyance du coach dans le potentiel de l’autre est nécessaire car elle conditionne et structure la relation qui va s’établir entre les partenaires.

2) D’où vient démarche de coaching ?
De façon pratique, la demande de coaching vient de la rencontre avec un problème d’ordre technique, personnel, relationnel qui bénéficierait de l’éclairage de la relation à deux. En allant plus loin, la demande est fondamentalement une recherche d’une plus grande cohérence et de sens dans son action. Cette cohérence permet d’aligner valeurs professionnelles et personnelles, de maintenir un équilibre entre être et faire, d’affirmer son individualité tout en étant performant et en partageant la vision stratégique de l’organisation. Cette recherche de sens doit, par ailleurs, éclairer la finalité de l’action et la recadrer dans une perspective existentiellement plus porteuse pour l’individu.
La demande de coaching résulte aussi du souci d’échapper à la solitude. Fantasmé par les autres, prisonnier de sa fonction, le dirigeant ne trouve pas d’alter ego à qui confier ses aspirations, ses doutes ou ses interrogations. Du fait d’un manque d’objectivité, de connaissance, de capacité de prise de recul, les interlocuteurs possibles sont peu nombreux qui pourraient l’aider à réfléchir sur des problématiques importantes pour son développement et celui de son organisation.

3) Les apports du coaching
Ils relèvent d’un ensemble de facteurs que l’on peut synthétiser autour de trois principaux :
- un dispositif et des outils qui créent un climat d’alliance pour favoriser une co-construction entre coach et coaché, ceci mettra le coaché en confiance et le fait d’être écouté activement et avec bienveillance (par un coach qui croira en les capacités du coaché) lui autorisera une verbalisation de ses problèmes et un travail fructueux,
- une capacité de compréhension et de restitution, des enjeux et besoins auxquels fait face le coaché : savoir résumer, clarifier les besoins du coaché qui donne toujours un grand nombre d’informations très floues dans son esprit,
- une force de stimulation et de propositions pour le coaché : une fois le coaché mis en confiance, il est alors possible de s’écarter de sa zone de confort et lui faire tester de nouveaux comportements, de nouvelles limites créateurs de progrès.

4) Différence avec le conseil et la formation, même s’il en empreinte des éléments
La relation avec le coach n’est pas linéaire mais circulaire (à double sens).
L’intervention de coaching évoluera donc de façon interactive avec les apports du coaché et les interventions du coach. Il faut donc alterner action et réflexion pour interagir avec client.
Le plus souvent, le coach connaît moins bien que le coaché le domaine d’intervention de ce dernier, il est, objectivement, moins compétent que lui dans ce champ (à la différence souvent du « mentorat » qui est traditionnellement une transmission de connaissances et de savoir-faire d’un professionnel plus expérimenté). Cette moindre connaissance est aussi une garantie de son efficacité puisqu’elle force à prendre du recul par rapport au contenu que le coaché restitue, à adopter la neutralité nécessaire, à prendre une « position basse », à faire preuve d’absence de préconceptions ou de projets pour le coaché. S’il arrive que le coach fasse ponctuellement des suggestions ou donne des conseils au coaché pour le faire progresser dans une situation de blocage, cet aspect ne représente pas son type d’intervention majeur. Le coach a plutôt pour vocation de faire préciser et éclairer la problématique du coaché qui est mis en situation de trouver sa solution. Le coach n’est pas dans la situation du consultant expert d’un domaine précis ou d’une technologie, il est là pour mettre en évidence les processus générateurs d’amélioration, à partir du cadre de référence du coaché.


Séance d'abdominaux

II) Structure du coaching
La situation de coaching requiert la mise en place d’une stratégie d’intervention qui est un pré-requis à son efficacité car elle demeurera un fil conducteur dictant les étapes de son action même si le coach devra faire preuve d’une grande flexibilité pour s’adapter aux exigences ponctuelles de la situation. Voici donc les éléments du cadre :
- définition du problème du client,
- analyse de la demande,
- établissement du contrat,
- exploration résolutoire.

La problématique du coaché est abordée par la question : « de quoi s’agit il ? Que me proposez vous ? ».
Le coach va alors faire un bilan sur la situation actuelle (mensurations et état psychologique) et celle qui est souhaitée (ex : « avoir les abdos ») avant d’indirectement (!), poser la question « qu’attendez vous de moi ? » afin de faire émerger l’expression d’un besoin et d’une demande de la part du coaché. Cette « demande de demande » met ainsi en place directement l’interaction avec le coaché !
Dans cette logique de co-construction, coach et coaché pourront alors s’entendre sur des objectifs à atteindre et un contrat, une planification ponctuée par la question : « vous souhaitez donc que nous fassions ceci ensemble ? ».
Une fois cet accord explicite obtenu, seront explorées les pistes résolutoires du « comment ? » en s’appuyant sur les ressources du client et les outils du coach.
Remarquons donc que le cheminement problème/demande/contrat n’est pas séquentiel mais qu’il y a plusieurs allers-retours entre les éléments. Ainsi le discours du coaché, aiguillé par le questionnement du coach, conduit le client à préciser, reformuler et apporter d’autres éléments qui feront évoluer la nature de sa demande.


1) Problème
Point de départ de l’intervention, en réponse aux demandes du coach, le coaché présente un récit plus ou moins ordonné d’un problème qu’il souhaite traiter. Les faits relatés introduisent le coach dans la réalité du client. Ecoute et questionnement sont donc importants à ce stade où il faut : se taire, adopter une posture en miroir avec synchronisation posturale et verbale, être attentif à l’autre (sa manière de penser, s’exprimer, de s’émouvoir), adopter une position basse mais aussi parler pour clarifier, reformuler et relancer afin de comprendre et montrer au coaché qu’il est compris.
Deux écueils guettent cette phase :
* si les informations sont trop faibles, la situation est peu claire, confuse.
* s’il y a trop d’informations : même si un climat de confiance, sympathie s’installe rapidement avec le client, la situation doit rester claire, concise, précise pour ne pas s’engluer.


2) Demande
Le coaché formule, souvent de façon confuse, une première demande explicite qui doit être précisée par l’interaction (questionnement) avec le coach qui fera donc émerger d’autres niveaux de demandes implicites, plus profondes. Cela pourra venir dans le temps avec renforcement de l’alliance coach-coaché (ex : Jean Marc qui au début ne me parlait que sport et qui maintenant m’expose ses problèmes de couple).
L’analyse de la demande invite à faire retour sur le problème pour mieux le préciser et permettre au coach d’élaborer des hypothèses sur les besoins du coaché. L’expression d’une demande explicite exploitable permet de valider l’adhésion du client au processus et d’établir un contrat sur des bases solides. Cette demande a souvent vocation d’évoluer dans le coaching au fur et à mesure que des enjeux plus profonds du client sont mis au jour.


3) Contrat
Expliciter le contrat découlant des questions précédentes afin de :
- ne passer à côté d’aucune préoccupation du coaché,
- valider des objectifs réalistes (car les irréalistes sont contre productifs),
- structurer l’intervention, même si le contrat évoluera dans le temps en fonction des démarches implicites qui émergeront.

Attention : Il est important de noter que le contrat s’inscrit dans un contexte plus large comprenant des contraintes et enjeux personnels, relationnels et institutionnels. Nous distinguons alors trois types de contrat :
- d’affaire : écrit, il définit les termes objectifs de l’accord (tarifs, objectifs, durée …),
- relationnel : informel, il définit les modalités des relations entre les parties. (ex : un client qui aurait dit avoir pour « point faible » les bras, on aurait pour accord avec lui d’axer l’entraînement sur ceux-ci),
- secret : concerne les enjeux psychologiques, conscients ou pas, des partenaires de l’échange (ex : l’envie du coach de faire évoluer son client par satisfaction narcissique ; les résistances au changement de la part du coaché …).

En contractualisant formellement la relation, le coach réaffirme la responsabilité des deux parties dans l’issue de l’intervention. Le contrat ne doit ne pas être restrictif et être revisité pour s’adapter aux nouvelles perspectives ouvertes par l’interaction. L’accord deux parties sur la finalité de l’exercice ouvrent la voie à l’exploration des solutions.


Cardio-training

III) Le profil du coach
Le coaching se développe dans le déploiement d’un dispositif technique (le sport) et d’un savoir-faire qui ont une importance capitale mais qui devront être dépassés pour ne pas perdre de vue l’être humain (relationnel, savoir-être).


1) Savoir-être :
Il fondé sur les qualités de sérénité, de confiance en soi, de cohérence interne, d’optimisme, de capacité à tolérer incertitude et soucis de l’autre.

Il faut accepter son propre potentiel et ses limites, l’autre (y compris s’il refuse de changer), l’environnement avec ses contraintes et limites (s’adapter).

2) Savoir-faire :
- connaissance en sport et diététique,


- comprendre le problème du client (savoir écouter et questionner pour savoir ce qui gène le client dans son physique et les conséquences que cela a,
- compétences relationnelles pour analyser les facteurs transférentiels (permettant de faire passer l’info) et ainsi fortifier l’alliance avec client,
- être capable de cadrer le client pour ouvrir de nouvelles perspectives et préparer le changement,
- accompagner le client dans l’effort tant psychologiquement (le complimenter, lui dire que l’on sait qu’il est capable … pour le motiver) que physiquement (prendre les bras et les lui garder lors d’élévations latérales pour qu’il comprenne le mouvement demandé,
- Etc…

3) compétences et formation du coach
- maturité personnelle et professionnelle assise sur un équilibre personnel, une expérience de vie et un parcours professionnel pertinent,
- expérience ou forte sensibilisation au monde de l’entreprise pour savoir organiser son enseignement et comprendre la nécessité de le faire, accompagner le client dans la mise en œuvre du changement (diététique, sport) et savoir proposer des alternatives pour un enseignement adapté à l’individu,
- créer et entretenir l’alliance avec le client (voir champs thérapeutiques),
- prendre du recul sur sa pratique et travailler son propre développement, améliorer la connaissance de soi évite de contaminer la relation de coaching par ses propres interrogations, être sûr de soi, de ce que l’on est et l’on comprendra davantage l’autre,
- éthique et déontologie ; avant l’acceptation d’une mission, le coach doit fixer la nature , les limites et contraintes de son intervention pour éviter tout problème, il suffit de mettre en avant certains principes fondamentaux et renvoyer in fine le coach à son sens de l’intégrité et à son jugement .


Principes :
- respect des valeurs, droits et libertés du client sans interdiction, d’abuser de son influence ; le client est le seul maître et responsable de ses décisions,
- compétence professionnelle (formation théorique plus pratique faisant l’objet de perfectionnements continus (savoir se remettre en question et accepter la critique),
- informer le client si la question posée ou tâche demandée dépasse son domaine de compétence (ex : je ne suis pas capable de répondre, je vais me renseigner ou vous orienter vers un professionnel dans le domaine pour offrir un service, une réponse de qualité,
- respect, politesse, tenue et présentation convenable » etc…
- une formation spécifique au coaching permettant de prendre en compte les spécificités de ce mode de relation d’aide, mettre en œuvre une stratégie d’intervention faisant émerger la demande réelle de l’autre.

4) Champs théoriques de coaching
- être à l’écoute du client mais ne pas perdre de vue qu’il est là pour bosser,
- toujours expliquer, justifier ce que l‘on propose (ça fait pro) mais attention , se mettre à la porter du client qui n’a pas les mêmes connaissances et risque de ne pas tout comprendre , être clair pour ne pas embrouiller l’esprit du client qui est là pour s’oxygéner.


CONCLUSION
En résumé un bon coach saura s’adapter à vous ; non seulement sur le plan sportif ET diététique mais également sur le plan pédagogique – psychologique…. Mais il ne devra pas « vivre sur ses acquis »…. Nous évoluons tous en permanence sur tous les plans… un bon coach s’y adaptera très facilement.


Pour plus d’information n’hésitez pas à me consulter : manager@gregory-capra.com

lundi 12 septembre 2011

L'entraînement de Chris Hemsworth pour Thor

Chris Hemsworth est le dieu Thor

Lorsque Thor, le dieu scandinave du tonnerre, a été adopté comme un super héros de bande dessinée par les productions Marvel, les pouvoirs du personnage - en dehors de son immortalité - étaient sa force surhumaine, sa vitesse et son endurance. Donc, pour faire le saut de la page à l'écran, il fallait quelqu'un dont le physique était plus digne d'une divinité que d'un mortel. C’est l'acteur australien Chris Hemsworth, qui a été choisi pour jouer Thor dans l'un des films d'action qui fut l’un des plus attendus de cette année.

«Dans le comic strip, Thor semble se situer autour de 230 kg, donc évidemment ce n'était pas mon but, mais il était très important pour moi et d'être aussi puissant aussi fort que je pouvais tout en conservant mon agilité », raconte Chris Hemsworth.


Chris Hemsworth à la sortie de l'adolescence

Pour l'aider à se mettre en forme de super-héros, Chris Hemsworth s’est adjoint les services d’un personal trainer. Le programme de Chris a été scindé en deux parties. La première était un protocole de type culturiste axés sur des charges lourdes et un nombre faible de répétitions destiné à accroître sa masse musculaire, tandis que la seconde était basée sur des circuits complets conçus pour abaisser son taux de graisse tout en préservant ses muscles.


Chris Hemsworth déjà athlétique

Chris Hemsworth admet que l’entraînement de super-héros a été un dur labeur. «Les routines kettlebell ont été intenses, en partie parce que je ne les avais jamais utilisées avant, mais aussi parce que c'est une combinaison importante de cardio et d’haltérophilie», explique l’acteur de 27 ans. «La plupart de ma préparation était auparavant orientée autour du cardio - principalement la boxe et le Muay Thaï, avec quelques éléments de poids. Je ne connaissais pas les kettlebells, mais c'est un excellent moyen de développer la force fonctionnelle ».

Pour essayer aussi un entraînement combinant musculation et kettlebells, me contacter : manager@gregory-capra.com

Rencontres EDF Handisport : nous y étions !

Les athlètes après l'effort

EDF et la Fédération Française Handisport se sont associés pour organiser la cinquième édition des Rencontres EDF Handisport les vendredi 9 et samedi 10 septembre 2011. Pour la troisième année consécutive, le village des Rencontres EDF Handisport s’est animé dans le cadre exceptionnel du Parvis de l’Hôtel de Ville de Paris. Nous y étions et nous vous ramenons quelques clichés...


Attentif envers un enfant en fauteuil roulant

Les Rencontres EDF Handisport, c’est l’occasion pour le public de découvrir la pratique sportive des personnes handicapées dans une ambiance festive, en dédramatisant le handicap par la découverte et l’échange.
Pour la seconde fois, la Fédération Française du Sport Adapté etait conviée à l’événement ; l’occasion de découvrir ses activités au service des personnes en situation de handicap mental et psychique.


Epreuve de rowing

À un an des Jeux Olympiques et Paralympiques, le Comité National Olympique du Sport Français (CNOSF) était présent et a accueilli le public sur son espace dédié, au cœur du village pour échanger et répondre à toutes les questions concernant "Sentez vous sport, Santé vous bien", leur rendez vous Sport, santé et bien être.

La Fédération Française Handisport a proposé une fois encore un programme d’activités variées. Pour accompagner le public dans sa découverte, des champions étaient présents. Ambassadeurs de leur discipline, plusieurs sportifs de haut-niveau ont effectué des démonstrations ou ont lancé des défis amicaux au public.


Pour pratiquer des activités handisport avec nous : manager@gregory-capra.com

dimanche 11 septembre 2011

Le K.R.U.M.P

Krumpers

Les vacances viennent de se terminer, vous vous êtes lâchés à manger de tout et n’importe quoi en quantité irraisonnable, et vous vous retrouvez ballonnés ou tout gras de partout, bref vous avez fait des excès tout simplement (dixit notre coach préféré). J’ai trouvé une solution afin de resculpter vos cuisses, mollets, et tout le reste de votre corps. Fini les abdos fessiers à mamy, les haltères à pépère...on va krumper. Le Krump est une danse née dans les années 2000 au cœur des bas quartiers de Los Angeles. Cette danse, non-violente malgré son apparence agressive à cause des mouvements exécutés très rapidement, de la rage ou la colère qui peut se lire parfois sur les visages des danseurs de Krump que l’on appelle les « Krumpers », se veut être une danse représentant la « vie » et toute sa « jouissance ». En effet il n’y a aucun conflit physique entre les danseurs. Faisons le premier pas dans ce nouveau sport (par Kevin Fortin).

Etymologiquement, Le mot Krump signifie Kingdom Radically Uplifted Mighty Praise (kingdom = royaume ; radically = radicalement ; uplifted = levé, élevé, soulevé ; mighty = puissant ; praise = éloge.)
Si on veut le traduire en français cela donnerait : éloge puissant d’un royaume radicalement levé / soulevé...


1/ Les origines
Cette danse nous vient donc du fin fond des ghettos de Los Angeles où des jeunes aspirant à échapper à la violence des gangs décident d’exprimer leurs peurs et leurs angoisses à travers l’expression artistique (un moyen pour libérer son agressivité et en faire un moyen d’expression artistique). C’est une danse libératrice, une solution à la violence urbaine. C’est un mélange de mouvements saccadés de combat, inspirés par certaines danses africaines. Cette street dance permet de libérer sa colère de façon positive. Le Krump trouve son inspiration dans les danses africaines et se présente comme une alternative au hip-hop. Les techniques sont proches des danses de rue comme le clowning, la street dance et le hip-hop. Le corps se dépasse pour se libérer d’une énergie débordante en se tordant dans tous les sens à des rythmes frénétiques. Détourner son agressivité en l’exprimant de toutes ses forces à travers un duel « Krump », c’est le but de cette danse qui se présente plus comme un mode de vie que comme une mode ! Un moyen inégalé pour que le corps se dépense et expulse tout ce qui fait souffrir ! Au fur et à mesure, c’est une danse des rues qui a conquis les amateurs de performances…

Le Krump est né vers la fin des années 90 dans les pires ghettos de Los Angeles en s’inspirant de l’expérience du clowning. Un ancien prisonnier, Tommy Johnson décide de se transformer en « Tommy le Clown » à sa sortie de prison pour animer la vie de quartier et les goûters d’anniversaire des gosses des ghettos.
Le rite ? Se maquiller, mettre un masque et se défouler dans des mouvements plus rapides les uns que les autres et dans des figures inimitables empruntées à la break dance, au hip-hop
et aux danses tribales africaines. Un show pour amuser la galerie et diffuser un message positif.

Le Krump naît plus tard et se présente comme la version agressive du clowning. Le principe est aussi de se doter d’un maquillage ou de peintures « tribales » et de se réunir en cercle pour se lancer des défis. Il s’agit d’un combat artistique dans lequel la danse est la seule arme et le corps un réceptacle de secousses et de mouvements d’une extrême dextérité un peu comme une transe… Tous les muscles du corps sont sollicités dans ces chorégraphies endiablées. Une façon de dépasser la violence et un message d’acceptation en même temps car, sur la piste de danse, peuvent s’affronter des danseurs de tous âges, de tous sexes et de toutes morphologies. Une danse enfin où la liberté d’improvisation est importante et dans laquelle ce qui compte c’est la puissance de la personnalité exprimée à travers les mouvements.

Vous avez peut-être une âme de krumper… Avant de vous renseigner sur les cours de Krump près de chez vous, je vous conseille fortement de voir le film « Rize » qui illustre la particularité de ce mouvement. Un moyen également de découvrir la formidable richesse des chorégraphies de Krump et l’esprit combatif qui les anime. Une séance ciné est à organiser à la maison avant d’essayer !


L'expérience du clowning

2 / Le Krump comme sport
Le Krump est devenu un sport vedette dans les salles de sports. Mélangeant danses des rues et danses africaines, il permet d’obtenir une silhouette galbée et tonique.
Le Krump : une street dance sportive et branchée. Il s’adresse aux personnes qui recherchent une activité tonique afin d’optimiser leurs chances de garder un joli corps. Le Krump a besoin d’une musique forte qui permet de canaliser les mouvements. Les premières séances seront accompagnées des premières courbatures. Ce sport permet de se défouler, de sculpter sa silhouette, d’apprendre à se lâcher et à apprivoiser son corps. Résistance physique, souplesse, sens musical sont de mises pour le pratiquer. Un jogging, un t-shirt et des baskets confortables constituent la tenue idéale.

3/ Le déroulement d’un séance
En général, les cours durent une heure et se pratiquent en groupe. Le coach spécialiste du Krump commence par des échauffements de base. Dès le début, les participants adopteront une attitude guerrière qui sera préservée jusqu’à la fin du cours. Les mouvements de base sont ensuite enseignés afin que les participants puissent suivre le rythme et les chorégraphies. En suivant la cadence, les participants agitent le haut du corps et suivent ensuite les mouvements pour le bas du corps. Les jambes écartées et les genoux fléchis, les membres du groupe gonflent et dégonfle le torse en expirant fortement. Ils enchaînent avec les rotations du ventre, des fesses et du bassin.

Le cours de Krump s’achève par un battle et des improvisations. C’est une occasion pour les participants de se défouler et d’évacuer rapidement le stress et la nervosité. Mis à part son côté artistique et culturel, le Krump est un sport complet. Il permet de modeler la silhouette, car il fait travailler les hanches, les abdominaux et les cuisses. Il permet d’affiner la silhouette tout en renforçant les muscles dorsaux, les fessiers, les abdominaux. C’est une méthode de danse très tonique où vous transpirez beaucoup et ou vous brûlerez beaucoup de calories Grâce au Krump, vous perdez entre 500 et 700 calories par séance. En une dizaine de séances, le corps est plus ferme et tonique. Par contre, les séances d’improvisation peuvent être un frein pour les personnes introverties ou timides.


Article rédigé par Kevin Fortin

Bootcamp Capra Paris - Rentrée des classes

En rang par deux !

Les feuilles sont brunes, les marrons jonchent le sol, le ciel est gris, quelques fines gouttes font leur apparitions. Les élèves racontent leurs histoires vacances en attendant le professeur. L'année débute par un cours de sport !

Le professeur arrive, il fait l'appel. Des retardataires et des absents... Ca fait mauvais effet le jour de la rentrée.

Echauffement

Départ en petites foulées vers le bois de Vincennes jusqu'à une grande clairière. Premiers exercices : talons-fesses, montées de genoux, travail des épaules,... Maintenant la pluie est bien là. Nous sommes les seuls au milieu de la clairière, sous la pluie, tandis que les autres tentent de courir à l'abri des arbres dans les allées.

La chaise

Chaise, marche en canard, squats, fentes,... Séances de jambes pour les élèves. Puis une interro surprise : combien d'os dans le corps humain, faut-il préférer la dinde au poulet, mieux vaut un gros excès par semaine ou des petits excès tous les jours,... ? Pendant l'interrogation, les élèves doivent rester en petites foulées. Entre les questions : tipping ou pompes !

Crunches


Ca brûle !


L'herbe est mouillée, l'objectif aussi !

Dans l'herbe trempée, commence une séance d'abdos. Que ça fait froid dans le dos et aux fesses. Déjà bien mouillés par la pluie, shorts et tee-shirts n'isolent pas de la froideur du sol ! Ils sont fous, ces gens...

Photo de classe

Après les étirements, retour vers le château pour la photo de classe. Il y a des gouttes d'eau sur l'objectif !

C'est lors d'une journée comme celle-ci que l'on mesure notre chance d'avoir éviter jusqu'à présent la pluie pour les bootcamps. Il s'agissait en effet du premier bootcamp sous la pluie. Vivement l'été indien...

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

samedi 10 septembre 2011

Suivi sportif : prise des mensurations

Un jour, après que j'ai demandé à l'un des sportifs que je suis de prendre ses mensurations, j'ai reçu les résultats suivants :

- taille buste pecs --> 37 cm

- taille abdominale --> 34 cm

- taille biceps --> 12 cm

- taille cuisses --> 19,5 cm

- poids --> 63,700 kg.

Je me suis dis : "Là, il y a un problème !". Si donc, votre coach n'est pas là pour vous prendre vos mesures, voilà, illustré par Sofiane, comment il convient de procéder.


Tour de taille (abdos contractés mais ventre non rentré)



Tour de cou


Tour de biceps droit puis gauche (contracté)


Tour de pecs (au niveau des têtons, sans bomber le torse)



Tour de cuisse droite puis gauche

Tour de mollet gauche (au plus fort du mollet)


Tour de mollet droit (au plus fort du mollet)


A votre tour, maintenant... J'attends vos mensurations !


Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

vendredi 9 septembre 2011

Le 11 septembre de Grégory Capra

New York - 11 septembre 2001


11 septembre 2001.... Tout le monde se souvient de se qu'il faisait, de l'endroit où il se trouvait, au moment où il a appris la terrible nouvelle des attentats contre le World Trade Center à New York.


J'avais 17 ans, j'étais en terminale S au lycée des Pennes Mirabeau. C'est en prenant mon goûter devant la télé que me sont apparues ces images. J'ai vu en direct l'effondrement des deux tours.


Et vous, que faisiez-vous, où étiez-vous ?

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

jeudi 8 septembre 2011

L'efficacité du sport en chambre

Ca creuse... (calendrier ECLS 2010)

Quand je demande à bon nombre de personnes : "Tu fais quoi comme sport ?". Un grand nombre a la même réponse : « Du sport en chambre, c'est tout !! ». Sur ce fait, je me suis longuement posé la question : « L’acte sexuel c’est du sport ? Est-ce réellement bon pour la santé ? Peut on réellement classer le sexe sur un pied d’égalité avec l’activité physique et sportive ? ».
N’ayant qu’une vague idée de la réponse j’ai missionné mon expert pour qu’enfin la vérité soit dite. Après de très nombreuses recherches, et il a donné de sa personne plus d’une fois pour rendre ses conclusions, voilà la réponse en plusieurs actes.


Acte 1 « Pourquoi le sexe est bon pour la santé ? »

Oui, oui, le plaisir sexuel, une panacée pour le corps, je vous explique pourquoi en 10 points.

Un peu d’histoire et de théologie :
L'apôtre Paul, lui-même, n'encourage t’il pas l'homme et la femme à "ne pas se priver l'un de l'autre" dans le cadre de l'union conjugale ? Le cantique des cantiques est un véritable hymne à l'amour charnel qui déborde de sensualité, et l'ancien testament ne se prive pas d'évoquer de façon très naturelle de nombreuses histoires d'amour. Alors autant se pencher un peu plus sur le sujet, quitte à renverser quelques tabous en cours de route. Excusez moi d’avance, chers lecteurs, si des personnes prudes rodent, qu’elles ferment vite cet article.

240 millions de personnes, dans le monde, auront un rapport sexuel aujourd’hui. Ce qui représente, 6% des 4 milliards de personnes « potentiellement actives » sur terre, c’est-à-dire âgées de 15 à 65 ans. Faire l’amour déclenche une formidable réaction en chaîne. Stress, fatigue et maladie s’effacent sous un flux d’hormones. Boosté par le feu du désir, l’organisme met le turbo pour nous envoyer au 7ème ciel.


Chambre d'hôtes en Camargue

1. Il augmente l’espérance de vie
Ne lésinez pas sur la bagatelle ! Des études suédoises, américaines et écossaises l’ont calculé : faire l’amour trois fois par semaine augmenterait de dix ans l’espérance de vie. Comment ? En faisant travailler le cœur. En effet, pendant l’acte, le rythme cardiaque passe à plus de 100 pulsations par minute, voire à 180. Vous éliminez ainsi graisses et toxines : une excellente façon de prévenir problème cardio-vasculaires et diabète. Le must pour ce cardiotraining particulier et d’alterner rythme et douceur afin de reproduire un maximum de fois les accélérations et les diminutions des pulsations cardiaque.


2. Il protège contre certains cancers
L’orgasme masculin préviendrait le cancer de la prostate. Selon le British Journal of Urology, le risque de développer ce cancer diminue de 30 % à raison de cinq orgasmes hebdomadaires, onanisme compris. Explication des chercheurs : les petites secousses qui accompagnent l’éjaculation drainent l’organe des cancérogènes accumulés entre deux orgasmes. Chez les femmes, l’orgasme, mais aussi les caresses des seins, je lavais déjà dis (Cf.: les seins martyrs du sport !), provoquent la libération d’ocytocine, une hormone qui préserverait du cancer du sein en éliminant les radicaux libres carcinogènes. De plus, une étude récente tend à démontrer que les rapports sexuels et les lubrifications naturelles, qu’ils entraînent, limiteraient les masses cancéreuses du col de l’utérus.


3. Il nous rend plus intelligents
Si l’amour rend aveugle, l’orgasme rend plus intelligent. A condition d’avoir des rapports sexuels réguliers. En effet, la production d’adrénaline et de cortisol augmente pendant l’amour. C’est un reflex issu du désir et des fantasmes provoqué par le désir de l’autre. Or, en déclenchant des processus qui apportent de l’énergie au cerveau, ces deux substances sont des stimulants naturels de la matière grise. Certains génies tel Freud ou Alfred Nobel ont écrit que leur plus belles réflexions ou découvertes avaient eu lieu après un rapport charnel.


4. Il calme la douleur
Ne dites plus « pas ce soir, chéri(e), j’ai la migraine ! », d’un cela énerve votre partenaire qui se sent délaissé et de deux le sexe diminue fortement la migraine. Le sport en chambre et sa cascade d’hormones, notamment les endorphines, augment la résistance à la douleur grâce à leur propriété antalgique. Des études réalisées sur des rongeurs indiquent que l’effet d’un orgasme serait comparable à la prise de deux aspirines. Cette étude a était confirmée par de vrais migraineux (ayant plus de 165 jours de migraine par an) qui avouent que sur une période de 10 mois où ils ont eu plus de 3 rapports par semaine, leurs migraines ont baissé ou disparu pour une durée de 12 à 24h.


Sunday Morning (photo Fred Goudon)

5. Il lutte contre l’insomnie
Rien de tel qu’un gros câlin sous la couette pour tomber dans les bras de Morphée. Le plaisir et surtout l’orgasme libèrent dans le cerveau des endorphines. Sous leur effet, tout le corps et l’esprit se relâchent, le stress s’évapore et un profond sommeil gagne…d’abord monsieur, car chez lui l’endormissement est souvent plus rapide dû au fait qu’il produit 4 fois plus d’endorphines que madame durant l’acte.


6. Il embellit les femmes
L’amour donne bonne mine aux femmes. Il provoque la synthèse d’oestrogènes (hormones) par les ovaires. Ces hormones facilitent l’irrigation de la peau et la production de collagène naturel. L’épiderme gagne en élasticité et en souplesse. Donc plus besoin de crème, mesdames, un rapport sexuel fréquent et vous garderez votre jeunesse.


7. Il sculpte notre corps
L’amour est un exercice physique au même titre que n’importe quelle activité sportive. Pendant l’acte, les muscles les plus sollicités sont les abdominaux, puis ceux des fesses et des cuisses. A condition de pratiquer régulièrement l’amour peut modeler une silhouette. De plus, les multiples contractions brassent les intestins, favorisant ainsi le transit. Bien évidemment, sans jouer les cascadeurs durant le rapport, varier les positions peut entraîner ou solliciter plus ou moins certains muscles…


8. Il nous fait maigrir
Consommée intensément, la bagatelle brûle autant de calories, (300minimum) qu’un sport d’endurance. Attention : l’amour bâclé ou peu enflammé n’en brûle que 50! Et pire encore l’onanisme n’en fait perdre aucune il aurait plutôt tendance à stocker les calories.


9. Il renforce nos défenses immunitaires
Le baiser n’est pas que synonyme de volupté. En effet, par le contact intime, les amoureux s’échangent une multitude de micro-organismes et autres agents pathogènes. Ils stimulent de cette façon leur système immunitaire en le confrontant à une nouvelle source d’infection. L’ocytocine libérée par le baiser et l’acte sexuel renforcent aussi le système immunitaire.


10. Il ne se conjugue qu’au pluriel
Pour être bon pour le santé, l’acte sexuel doit se partager au moins à deux car l’alchimie ne peut prendre effet que si on désire l’autre ou qu’on se stimule de l’autre en réel (pas en film !!) c’est comme pour tous autres sport ce n’est agréable qu’en équipe.

En conclusion, oui le sexe est bon pour la santé très bon même car il englobe tout un mécanisme protecteur de notre bien être et de notre santé. Il peut se pratiquer sans restriction médicale contrairement au sport. Et lorsqu’on ne sait plus comment faire et bien comme en sport on peut se faire coacher par un pro qui redonnera vie à notre vie sexuelle. Mais je viens de le dire c’est un sport alors combien perd-on et pourquoi ? Peut-on se muscler plus qu’en musculation classique ? Réponse bientôt après avoir pratiqué, les amis !!!


Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

Thomas : nouveau poste d'entraîneur de basket-ball

Thomas - Caen et Deauville - Coach Capra


Il y a du changement pour Thomas, coach Capra à Caen et Deauville.


Thomas raccroche les baskets, et quitte son rôle de joueur-capitaine de l'équipe première de Cabourg Basket. Il quitte le monde de la compétition, mais seulement en tant que joueur car il lui a été proposé de reprendre l'équipe comme entraîneur-coach.


Et oui, cela ne devrait pas trop le changer puisque cela est au cœur de son domaine professionnel. Sa nouvelle tâche : préparer une équipe de haut niveau, physiquement techniquement et stratégiquement, pour être "meilleur que les meilleurs".


Les objectifs fixés : le doublé coupe + championnat, mais également l'invincibilité. Eh oui, Thomas aime mettre des challenges hauts. Dans le sport, comme dans la vie, il faut être un guerrier, un conquérant !


Premier match en coupe, le week-end dernier (après seulement 2 semaines de reprise) et 1ère victoire face à une équipe d'un niveau supérieur.


Pour contacter Thomas : manager@gregory-capra.com

mercredi 7 septembre 2011

Frédéric : interview d'avant saison

Frédéric - Toulouse - Coach Capra

C'était le 30 avil dernier, une petit interview de Frédéric, coach Capra à Toulouse.


- Comment ca va depuis le temps ?
- Alors niveau sport d'un point de vue général c'est pas la grande forme pour le moment, plein de petits bobos et pas très performant, mais rien de désespérant. Juste que je m'entraîne beaucoup (10 à 12 fois par semaine) et j'ai encore un peu de mal à organiser mes entraînements et à bien récupérer puisque j'ai commencé un nouveau sport cette saison, le duathlon. Et, par exemple, les séances d'enchaînement multiples vélo + course à pied, je n'y suis pas encore habitué, et donc je mets beaucoup de temps pour récupérer mais je vais commencer à m'adapter, et j'espère retrouver la forme d'ici peu.


Je n'ai pas de grosses blessures. J'ai fait pas mal de compétitions en course à pied, mais avec des résultats moyens, en tout cas qui ne me conviennent pas, donc j'en n'ai pas trop parlé, lol. Je viens aussi de commencer la saison duathlon, j'en ai fait deux. Résultats moyens, là aussi mais on pense que j'ai un bon potentiel ! Le prochain c'est le 8 mai à Liévin en Grand Prix.


Niveau muscu, j'avais du arrêter 2 mois complets à cause de ma blessure à l'épaule. Résultat à la reprise : aussi mal qu'avant, et 5kg de muscles en moins ! lol. Donc j'ai fait une infiltration, j'ai toujours mal mais j'arrive à gérer la douleur et à m'entraîner comme un mulet, si bien qu'au jour d'aujourd'hui, j'ai quasiment retrouvé mon physique de septembre dernier, et je suis presque au meme niveau. Mais il reste des exos que je suis incapable de faire à cause de l'épaule... :(


Voilà pour les news, j'espere ca va toi à ++

Frédéric, coach Capra à Toulouse


Après cela, Frédéric réalise les performances suivantes :


- 1er aux 10 km de Grenade, le 21 mai 2011 : http://gregory-capra.blogspot.com/2011/05/frederic-coach-capra-toulouse-retrouve.html


- 1er aux 10 km de Cugnaux, le 17 juin 2011 : http://gregory-capra.blogspot.com/2011/08/corrida-de-cugnaux-frederic-confirme.html


- 3ème à la course de l'Espace, le 23 juin 2011 : http://gregory-capra.blogspot.com/2011/09/course-de-lespace-2011-frederic.html


Pour contacter Frédéric : manager@gregory-capra.com

mardi 6 septembre 2011

Séjour sportif à Marseille

Accueil musclé à Marseille ! (photo Concept Time)

Après avoir demandé à Grégory de m’organiser un weekend sportif pour trois amis à Marseille,
histoire de se décrasser pour la rentrée et de profiter des calanques et autres terres sauvages... notre coach Capra sur place nous a pris en charge de la pointe des Goudes jusqu’au Vieux Port.

C’est toujours un peu délicat, un peu l’aventure, que de rencontrer un nouveau coach, à qui on demande un service « sur mesure » tout un weekend durant.

Trois amis, c’est trois personnalités différentes, des envies différentes, des niveaux différents … bref pas évident ni pour le coach Capra, ni pour nous.

Et puis, on a fait connaissance, une première « mise en jambe » samedi matin à vélo à la découverte des Goudes, on s’amuse tous les quatre, naturellement, très cool.


Etirements au Parc Borely (photo Concept Time)

Retour à notre hôtel … suggestion de notre Coach local … passer notre dimanche après midi en mer à la découverte des poissons de roches, histoire de se détendre à la fraiche, pour un moment tout en douceur, silence... Mais avant ça, direction le parc Borély samedi après-midi pour deux heure de renforcement musculaire … sérieux.

J’allais oublier, le brunch ! Le brunch du dimanche midi s’impose avant la mer ! C’est tous ensemble et sur le conseil de notre nouveau pote qu’on se prendra un petit moment de détente au New Hôtel ;-)

Deux jours, QUATRE amis, beaucoup d’oxygène, vélo, fitness, et mer.

Merci les gars et @ bientôt !

Cyril, 37ans, Paris

Nicolas : le chemin parcouru en un an

Nicolas - Août 2010 / Août 2011

Je confirme que je suis tout à fait satisfait de cette évolution et je suis bien déterminé à aller plus loin !

Pour les nouveaux objectifs, 100% OK et même pour faire du judo ! Même pô peur d’abord ! Sylvio (Grand Maître judoka) devra se montrer patient ! mdr !!

Ce suivi sportif me donne l’occasion d’un petit témoignage après 8 mois de coaching CAPRA !

Depuis Novembre 2010, je me rends compte du chemin parcouru. En effet, un peu par hasard, en me baladant sur le net un soir de novembre 2010, je suis tombé sur un banner de pub «Gréogory Capra» et hop, voilà que je clique dessus et je lis les témoignages plus que convaincants de sportifs Capra. Je ne sais pas si c’est un signe du destin qui m’a fait cliquer sur cette pub mais aujourdhui je ne regrette pas du tout de l’avoir fait.

Je me décide donc à t’envoyer un mail te demandant plus de renseignements et voilà que tu m’appelles le soir même !

Agréablement surpris du premier contact, je finis par accepter de me lancer dans l’aventure CAPRA !

Mon état physique et mental actuel n’a rien à voir à celui du mois de novembre dernier … état dépressif, fatigue générale, mauvaise alimentation, stress professionnel important…et je n’avais que 27ans !...je me suis dis : « Nico, bouge toi un peu ! ».


Nicolas - Août 2011

Je dois avouer que j’appréhendais un peu mon premier contact avec Sylvio …n’ayant pas un historique très sportif à la base et n’étant pas très confiant de mes capacités physiques et de mon corps, eh oui ça arrive même aux gens bien !

Bref, le premier contact avec Sylvio était vraiment bien, tout comme la première séance de test au cours de laquelle, j’en ai ch*** ! Squat, pompes, abdos, gainage (horrible !!!) sont finalement pas mal passés !

Les premières séances m’ont fait tellement de bien, à la fois psychologiquement et physiquement, que j’en voulais encore ! Ma motivation a vraiment pris forme et je suis rentré dans un cercle vertueux !

Tout cela n’aurait pas été possible sans Sylvio, qui, de part son professionnalisme, sa technique et sa pédagogie, m’a pas mal poussé. Certes, se motiver soi même est important, mais les encouragements d’un coach qui vous montre que vous pouvez y arriver sont d’autant plus importants !

Les semaines passent et je me rends compte que je suis plus performant au boulot, job que je voulais lâcher en décembre tellement j’étais rincer suite à ma mutation sur Paris (entre autres). Je résiste mieux à la pression, au stress car j’évacue lors de mes séances avec Sylvio tout en prenant soin de mieux manger et en suivant les conseils de la maison Capra : une bonne sèche pour partir sur de bonnes bases même, si je dois avouer, il n’y avait pas grand-chose à brûler au départ et une prise de masse en suite.

Et puis un jour, je déclare à Sylvio que j’ai envie de faire l’Eco-Trail de Paris en mars, soit 18kms…mon entourage me dit : « 18km, c’est du suicide, t’es pas sportif ! ». Sylvio m’aide à relever le défi en me préparant par des exercices de fractionné dans le bois de Boulogne… Je n’imaginais pas être capable de courir sous la pluie, dans la neige…mais je l’ai fait !! Bon, je voulais tellement bien faire que je me suis fait une déchirure au mollet, donc je déclare forfait pour le 18km, dommage mais ce n’est que partie remise ! Je compte bien y participer en 2012 !!

Après quelques mois, j’investis dans un banc de muscu tellement je suis motivé et Sylvio, avec un grand sourire me dit : « On va pouvoir passer aux choses sérieuses, là, Nico !! ».

Eh bien oui ! On passe aux choses sérieuses pour arriver aujourd’hui à un 4 x 8 répétions à 50kg en développé couché !

Tout cela pour dire que je suis content, les résultats arrivent, mon corps se dessine bien et le sport fait partie de ma routine maintenant et j’ai envie d’avoir plus de résultats ! Ben oui, quand ça marche, on en veut plus !

Merci à l’équipe CAPRA ! La suite au prochain épisode ! »

Nico, 28ans, département 92


Pour contacter Sylvio : manager@gregory-capra.com

lundi 5 septembre 2011

Paris : 5ème rencontres EDF Handisport

Arnaud Assoumani

Les 9 et 10 septembre 2011, le Parvis de l'Hôtel de Ville accueillera à nouveau le grand public dans un gigantesque village dédié à la pratique du handisport où se côtoieront les acteurs du sport et du mouvement paralympique.

Cet événement gratuit et accessible à tous représente un moment d'échange et de partage entre personnes valides et personnes handicapées à travers une même passion, le sport.

Plus de trente disciplines paralympiques ou de loisirs sont représentées afin de faire découvrir aux petits comme aux grands les sensations du handisport à travers des séances d'initiation et des ateliers de démonstration. Emotions garanties !


Sébastien - Paris - Coach Capra

Sébastien, titulaire du Licence STAPS, a décidé, après celle-ci, de s'orienter vers dans une voie un peu particulière, celle des activités physiques et sportives pour les personnes handicapées. C'est donc tout naturellement qu'il sera présent, les 9 et 10 septembre, sur le parvis de l'Hôtel de Ville de Paris. Pour le rencontrer, direction le basket en fauteuil roulant, une activité qu'il affectionne organiser et encadrer.


Rendez-vous donc les 9 et 10 septembre de 9h00 à 18h30 sur le parvis de l'Hôtel de Ville de Paris - Entrée gratuite.


Pour contacter Sébastien : manager@gregory-capra.com

Jérémy : les bienfaits de la musculation sur ma vie

Jérémy - 27 ans - Limoges

J'ai 27 ans, je mesure 1m71 et je pése actuellement 76 kilos. J'ai toujours était admiratif du physique de certain athlètes, en particulier des footballeurs américains. C'est la decouverte de ce sport qui, je pense, m'a poussé à prendre de plus en plus au sérieux mes séances d'entraînement.



A la fin d'une séance de muscu

J'ai commencé la muscu en 2007, quand j'était étudiant en histoire, et j'ai su dès mes premières reps que j'allais vraiment adorer ça, lol . J'ai d'abord commencé chez moi avec un simple banc et quelques haltères, à l'époque j'avais 24 ans et je pesais 57 kilos environ, j'avais besoin de prendre de la masse musculaire, mais je n'avais pas d'objectif précis.



Après une petite sèche

Ce n'est qu'en 2009, lorsque je me suis inscrit dans une salle, que j'ai vraiment évolué. Je pratique ègalement le football, mais je touche un peu à tous les sports. Actuellement je m'entraîne 5 fois par semaine. Voici mon planning du moment : lundi - Pecs, biceps ; Mardi - épaules, abdos ; Mercredi - jambes, mollets ; Jeudi - dos, triceps ; Vendredi - je consacre ce jour à un groupe que je veux développer en particulier, en ce moment ce sont les pecs + abdos. Je suis toujours en diète de "sèche" donc je mange surtout des protéines et des lègumes sans pour autant supprimer les glucides et les lipides. Je mange "normalement" le dimanche en général.


Détente


Mon physique actuel ma surtout apporté de la confiance en moi, une meilleur hygiène de vie, et surtout cela ma permis de mieux "organiser" ma vie en général, bref vraiment que du positif !


A la playa !

Les regards sur moi ont changé, on me remarque évidemment beaucoup plus, on me demande des conseils, c'est vraiment une fierté pour moi, même si encore beaucoup de personnes ne se rendent pas compte des efforts et des sacrifices que cela demande. La musculation a changé mon quotidien et a changé ma vision de la vie en général.


Merci à Jérémy pour ce témoignage. Jérémy est la preuve que la musculation, ça change la vie !


Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

dimanche 4 septembre 2011

Emmanuel, masseur Capra à Lyon : un sportif accompli

Emmanuel - Lyon - Masseur Capra

J'ai demandé récemment à mes partenaires de se livrer un peu plus, de parler de leur parcours, de leurs passions, de leur actualité.


Emmanuel, masseur Capra à Lyon, ouvre le bal !


"Il est toujours difficile de parler de soi... Voici donc retracé en quelques lignes mon parcours sportif. J'ai fait dix ans de gymnastique ce qui m'a façonné physiquement, trois ans de karaté, cinq ans de tennis. J'ai testé le triathlon. Actuellement, je pratique la natation et, depuis l'an dernier, le rugby. C'est dans ce dernier que je me suis découvert et que je m'éclate un max, quoi de mieux qu'un sport d'équipe pour apprécier les valeurs humaines ? Pour relaxer ce corps que je brutalise, je suis également un adepte du yoga."


Je ne connaissais pas cette facette d'Emmanuel, c'est avec grand plaisir que je découvre son parcours sportif. Vendredi débute la coupe de monde de rugby en Nouvelle-Zélande. Emmanuel va se régaler !


Pour contacter Emmanuel : manager@gregory-capra.com