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mardi 11 mars 2014

Sotchi paralympien 2014

Vincent Gauthier-Manuel
La 11e édition des Jeux Paralympiques d'hiver se déroulera du 7 au 16 mars 2014. La délégation française comptera dans ses rangs 14 athlètes et parmi eux de grandes chances de médailles. Petit tour d’horizon des Français qui pourront marquer ces Jeux Paralympiques de Sotchi et zoom sur notre porte drapeau...

A partir du 7 mars et jusqu’au 16 mars, les Jeux Paralympiques se dérouleront à Sotchi, deux semaines après ceux des « valides » qui ont permis à la France de récolter 15 médailles.

Nos 14 athlètes concourront dans quatre des six épreuves des Jeux Paralympiques. En effet, nous aurons trois chances de médailles en biathlon et en ski de fond avec Thomas Clarion en tête de liste (cinquième et sixième à Vancouver), deux athlètes concourront en snowboard cross et neuf autres sont engagés en ski alpin dont Solène Jambaqué et Vincent Gauthier-Manuel qui avaient remporté à eux deux cinq des six médailles olympiques glanées à Vancouver, il y quatre ans. Christian Fémy, directeur sportif du ski alpin et nordique s’est d'ailleurs exprimé sur le site du comité paralympique : « Se présenter à 100 % de ses moyens, c’est l’objectif. On vise deux titres et le top 10 des nations, mais les médailles ça ne se joue à rien, il faudra donc être prêt pour ne rien regretter. ».

Vincent Gauthier-Manuel
Répartition et présentation
Trois Français s’aligneront sur les épreuves de ski de fond et biathlon. Thomas Clarion (et son guide Julien Bourlat) seront engagés chez les déficients visuels tandis que Benjamin Daviet et Romain Rosique seront respectivement en lice sur les épreuves réservées aux skieurs debout et assis. La plus grande chance de médaille repose sur les épaules de Thomas Clarion. Skieur au sein de l’équipe de France Handisport de ski nordique depuis 2007, Thomas Clarion est guidé par Julien Bourlat avec qui il a décroché une médaille d’argent sur l’épreuve du sprint lors de la dernière étape de la Coupe du Monde à Oberstdorf en Allemagne. Ses objectifs de médailles seront fixés sur les épreuves de ski de fond même s’il sera aussi engagé en biathlon où il avait terminé cinquième et sixième à Vancouver en moyenne et longue distance. À 37 ans Romain Rosique pratique le ski de fond et le biathlon assis dans l’équipe de France Handisport depuis 2006 et s’est classé à de nombreuses reprises dans le Top 5 des compétitions en biathlon et en ski de fond. Enfin, Benjamin Daviet, 24 ans, a intégré l’équipe de France en 2012 et concourt dans les disciplines de ski de fond et de biathlon debout. Très performant cette saison, il vient d’accrocher ses deux premiers podiums (2e et 3e) en biathlon moyenne et longue distance lors de la finale de la coupe du monde à Oberstdorf.

En snowboard cross, Patrice Barattero et Cécile Hernandez Cervellon sont les deux seuls Français engagés dans cette toute nouvelle épreuve paralympique. Cécile Hernandez-Cervellon s’est qualifiée in extremis pour les Jeux Paralympiques après avoir été suspendue par une décision du Comité Paralympique International, qui s’est finalement rétractée en attribuant une place supplémentaire à la délégation française. A 39 ans, cette journaliste et ancienne championne de BMX a intégré l’équipe de France cet hiver et a déjà réalisé une bonne première saison avec deux 4èmes places en coupe du monde à Copper Mountain et à La Molina. Elle a donc toutes ses chances à Sotchi. Chez les hommes, Patrice Barattero, 44 ans, souhaitera lui aussi faire bonne impression lui qui est toujours en quête de son premier podium mondial (6e lors de la coupe du monde à Landgraaf au Pay-Bas en 2013).

C’est en ski alpin que les chances de médailles sont les plus élevées avec pas moins de neuf athlètes français engagés dont deux femmes. Comme le souligne Christian Fémy, « En alpin, le groupe est polyvalent et peut être dangereux pour ses adversaires dans de nombreuses courses ». Première nation lors des derniers championnats du monde à La Molina en Espagne, plusieurs skieurs français sont en lice pour décrocher une médaille paralympique, à commencer par Marie Bochet et Solène Jambaqué chez les femmes ainsi que Vincent Gauthier-Manuel et Yohann Taberlet chez les hommes. À seulement 19 ans, Marie Bochet fait figure de grande favorite dans les catégories « debout ». Septuple championne du monde, elle est dans une forme olympique en 2014 après avoir remporté toutes les courses dans lesquelles elle concourrait que ce soit en géant, en slalom ou en descente. « L’unique chose qui me manque c’est une médaille aux jeux ; un titre, ce serait quelque chose d’exceptionnel ! » s’exclame-t-elle sur le site du comité paralympique. On ne doute pas qu’elle fera mieux qu'aux JO de Vancouver où elle a terminé 4e en slalom spécial et en super combiné. Une autre Française, Solène Jambaqué arrive elle aussi en grande forme à Sotchi après s’être parée de bronze sur le slalom géant de Copper Mountain. En 2011, la kinésithérapeute de profession a aussi performé en remportant le super G et le super combiné de Sestrières.

Porte drapeau de la délégation française et double médaillé à Vancouver, Vincent Gauthier-Manuel fait partie des grands favoris sur les épreuves de ski alpin debout. A Sotchi, il fera tout pour décrocher sa première médaille d'or aux Jeux Paralympiques : « Il y a une médaille que je n’ai jamais eue aux Jeux, c’est l’or…Mais ce que je souhaite par-dessus tout c’est réussir à faire du bon ski en me faisant plaisir ! ». Son compatriote Yohann Taberlet part aussi en favori dans la catégorie « assis », lui qui a terminé deuxième du Super Combiné lors de la coupe du monde de Panorama en janvier dernier. Plusieurs athlètes français seront également en embuscade pour aller chercher une médaille. Jean-Yves Le Meur, Fréderic François, Romain Riboud ou encore Cédric Amafroi-Broisat sont tous montés sur le podium lors des trois premières étapes de la coupe du monde 2014. Et en cas de qualification pour les finales, chacun représentera un espoir de médailles à Sotchi.
Vincent Gauthier-Manuel
Zoom sur « Abraracoucix »
Vincent Gauthier Manuel, porte-drapeau de l’Equipe de France : « Je pense à mon entrée dans le stade, quand je porterai le drapeau français. Pour l’avoir déjà vécu en tant que membre de l’Equipe de France, c’est déjà énorme, mais là ça va vraiment prendre une dimension supérieure pour moi. C’est l’image de la France, ce n’est pas rien ! » Comme son ami Jason Lamy-Chappuis, Vincent Gauthier-Manuel portera le drapeau de l’équipe de France à Sotchi lors de l’ouverture des Jeux paralympiques vendredi.

Même région de naissance, même âge, mêmes études primaires et porte-drapeau de l’équipe de France olympique de sports d’hiver. Les similitudes sont nombreuses entre Jason Lamy-Chappuis et Vincent Gauthier-Manuel qui tiendra son rôle vendredi sur le site olympique.

« Être porte-drapeau, ce n’est pas une médaille mais c’est déjà une belle récompense. » Vincent Gauthier-Manuel savoure son rôle d’ouvreur de piste de l’équipe de France à Sotchi. À 27 ans, le Jurassien sera l’ambassadeur français en Russie tout comme son ami Jason Lamy-Chappuis. 

Ensemble, ils ont fait sport-étude au collège des Rousses (Jura). L’un a opté pour le combiné nordique, l’autre pour le ski alpin. « Je suis un des derniers Gaulois jurassiens à pratiquer le ski alpin donc je suis un peu à part » rigole-t-il. Gaulois comme Abraracourcix - le chef du village d’Astérix – son surnom depuis des années. Un jeu de mots, également relatif à son handicap, qui amuse beaucoup le jeune homme. « Abraracourcix c’est aussi parce que j’ai un bras raccourci donc c’est pour la blague » explique-t-il avec le sourire. Né avec un handicap (il lui manque l'avant-bras gauche), il poursuit une carrière sportive de skieur de haut niveau en handisport.

Né sans avant-bras gauche, Vincent Gauthier-Manuel a toujours dévalé les pistes avec les valides. Skiant avec un seul bâton, l’athlète est en permanence à la recherche du meilleur équilibre possible tout en veillant à ne pas perdre la vitesse. « Par rapport à quelqu’un de valide je « perds » environ 0,5 seconde au départ au moment de la poussée, ensuite l’équilibre (et donc la pression) n’est pas la même sur mes appuis gauche et droit. Cela a pour conséquence de « perdre » quelques miettes à chaque porte » explique-t-il. Des secondes qui ne l’empêchent pas de bien figurer au niveau des chronos. Avec deux médailles d'argent et une médaille de bronze aux Jeux olympiques de Vancouver en 2010 (il n'avait que 19 ans), Gauthier-Manuel est déjà une référence de sa discipline. Il peut faire une médaille d’or.

Un palmarès qui impressionne Yohann Tabarlet, son coéquipier en équipe de France paralympique : « Vincent est un gars qui a la tête sur les épaules et qui en plus a gagné des médailles. Il m’énerve, ce mec est parfait partout » rigole le vice-champion du monde de slalom. 

Le Jurassien aborde ses deuxièmes olympiades avec une certaine ambition. « Je travaille pour la médaille d’or. Je vais courir après ça » annonce-t-il. « C’est certain qu’il peut faire une médaille d’or » confirme Jean-Yves Le Meur qui a poussé « VGM » au handisport à l’âge de 18 ans.

Ses récentes performances plaident en sa faveur. Double champion du monde en titre en slalom et en géant à La Molina (Espagne) en février, le Tricolore lorgne sur une autre de ses spécialités : « Le super-G me tient à cœur » avoue-t-il. Mais l’« hypercompétiteur » devra gérer son double rôle dans la station balnéaire russe : représenter la « belle famille » des Bleus tout en se concentrant sur ses dessins personnels. Pour faire mieux que son ami et homologue Jason Lamy-Chappuis, reparti bredouille de Sotchi. À 27 ans, le jurassien Vincent Gauthier-Manuel, licencié au ski club du Grandvaux est double champion du Monde en titre en Slalom et Géant, médaillé d’argent en Super G et Super Combiné, médaillé de bronze en Géant aux Jeux Paralympiques de Vancouver 2010, Vincent aura deux missions à Sotchi : représenter la France et décrocher un titre paralympique.

De formation technique, Vincent Gauthier-Manuel est titulaire d'un BTS en Microtechnique. Il travaille au sein d'une société jurassienne d'emballage après avoir été employé au bureau d’études d’une entreprise de production lunetière. 

Il est nommé au grade d’officier de l’Ordre national du Mérite le 14 juillet 2010, à l’issue des 3 médailles qu’il remporte aux jeux paralympiques de Vancouver. En 2011 à Sestriere, il remporte quatre titres de champion du monde (slalom, géant, super combiné et par équipe), et termine deuxième en descente et Super G.

Le 5 décembre, Vincent Gauthier-Manuel est nommé porte-drapeau de la délégation paralympique Française pour les jeux paralympiques de Sotchi 2014.

Emmanuelle Assmann, Présidente du Comité Paralympique et Sportif Français : « A l’issue de ces jeux, j’aimerais que l’on puisse se dire que nous avons relevé un formidable défi tous ensemble. Sportifs, staff, dirigeants, c’est l’esprit d’équipe et les valeurs que nous avons en nous qui nous permettront d’y arriver. »

Tous nos sportifs débordent donc d’envie et de motivation pour décrocher le maximum de breloques olympiques ! A nous de les soutenir pendant les Jeux pour les aider à atteindre les sommets…

Article rédigé par Kevin Fortin

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

dimanche 9 mars 2014

Premier séjour sportif à Montélimar

Le bol de Grégory Capra
Non, ce n'est pas la recette du nougat, c'est la préparation de mon premier petit-déjeuner à Montélimar, un repas bien copieux, comme d'habitude ! 

C'est le premier séjour sportif siglé Grégory Capra dans la vallée du Rhône où nous accueille l'Hôtel Beausoleil. Le groupe est au top, on rit bien dès le départ ! Par 20°C, ce vendredi, ça sent le Sud !

Le nouveau bol  officiel des séjours Capra
Nous avons reçu un super accueil au restaurant Le Don Camillo, joli, propre et bien servi ! Malheureusement Stéphane a oublié de faire des photos...


Voilà de quoi s'amuser !
Samedi est une journée de fous qui commence par 2h30 de Street Workout dans les jardins de Montélimar, entre calcaire et oliviers. Il fait 22°C à l'ombre... 

Bories en mode machine
Mais, euh, arrête, ça chatouille !
C'est bon, Steph, tu l'as !
Tu vois Bories, il suffisait de se lancer !

Caprasûtra
Je fais faire la brouette à mes sportifs.... Alors on parle de Caprasûtra ! Je vous laisse imaginer la suite...

Transats
Ils regardent ces transats avec tant d'envie que je comprends qu'il faut faire une pause et partir déjeuner, nous choisissons un restaurant avec pour paysage des oliviers plusieurs fois centenaires. 

Thomas met son casque
Thomas a choisi le kart n°69
L'après-midi, c'est karting. Nicolas, Bories et moi plaisantons à propos du casque de Thomas, il lui va si bien... Dois-je parler de son kart prédisposé aux tête-à-queue dans la grande épingle, le n°69 ?!

Puis c'est le départ pour le sauna et le hammam, mais je ne vous montrerai pas les photos !

Le massage de Laurent
Salle dédiée au massage, table toute neuve, musique d'ambiance, lumière tamisée et mes petits doigts glissant sur les corps... c'est l'heure du massage de mon petit Laurent puis on file au restaurant. C'est vraiment génial, le Sud !

A suivre...

Pour participer au prochain séjour sportif Capra à Montélimar :
http://www.beausoleil-montelimar.com/fr/sejours-sportif-montelimar/

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

De Bénodet à Mister Gay

Erwan - Paris
Erwan est le deuxième candidat pour Mister Gay Mars, concours organisé par TÊTU Magazine. Breton de 28 ans, il vit à Courbevoie. Il a un fort caractère ! Ce qui compte le plus pour lui : la famille, quelques très bons amis et un peu de folie. Voyager et pratiquer du sport régulièrement lui permettent de se dé-stresser et de s’évader. Je peux attester de cela puisque j'ai connu Erwan lors de mon séjour sportif à Bénodet en septembre 2012. Je vais le soutenir dans ce concours. 

Votez pour Erwan !


Pour me contacter : manager@gregory-capra.com 

samedi 8 mars 2014

Boot camp Capra Paris - Journée de la femme

Thomas et Isabelle
Isabelle a bien cru se retrouver en tête à tête avec Thomas pour ce boot camp intitulé "Journée de la femme" en référence au combat permanent pour la défense du droit des femmes. J'avais pourtant précisé que cet entraînement, centré sur les jambes et les abdos, était aussi ouvert aux hommes...

Découverte du saut à la corde
Isabelle participe à son premier boot camp, elle n'a pas fait de sport depuis un mois et jamais pratiqué le saut à la corde. Aie, c'est justement l'échauffement que lui propose Thomas. Face à face, ils démarrent cette activité. Isabelle affiche des dons en la matière...


Squats

Les squats font mal aux cuisses, c'est normal ! Cet exercice roi pour la musculation des jambes constitue le premier de nos ateliers : une pyramide jusqu'à 10 squats c'est à dire une série montante et descendante. Face à Thomas, Isabelle n'a pas le droit de craquer. 


Squats à la barre


Fentes à la barre
Christophe et Ismaël ont définitivement rejoint l'équipe pour un entraînement aux agrès : des squats explosifs et des fentes complètes à la barre par séries de 10 ou 20 répétitions. Cet enchaînement accélère le battement cardiaque, la température monte. 


Relevés de jambes
Toujours à la barre, maintenant un travail des abdominaux avec des relevés de jambes simples ou avec torsion pour tonifier les obliques. Giorgio qui vient de nous rejoindre va avoir droit à un programme de rattrapage particulier !

Fentes
Des fentes terminent l'entraînement au quai de Valmy. Nous allons traverser le canal Saint-Martin pour rejoindre les terrain de sport de la Grange-aux-Belles, ça tombe bien pour la journée de la femme !

Athlétisme
La piste d'athlétisme est l'occasion d'essayer le Luc Léger, test physique qui permet de déterminer la vitesse maximale aérobie (VMA), utilisé dans le domaine sportif et scolaire, dans l'armée et d'autres corporations (pompiers, police,...) mais aussi d'essayer la progression en fentes et la marche en canard.


Gainage puis steps
C'est au moment du gainage que Nathalie nous rejoint. Elle démarre l'entraînement sur une série de steps, des montées de marche à un pied puis les pieds joints ce qui va être bien utile pour la suite...


Saut en longueur
Vient le moment du saut en longueur ou plutôt des sauts en longueur, mais pas des sauts tout simples puisque précédés de squats, de fentes et finalement d'un petit sprint, avec une ligne à dépasser dans le bac à sable repoussée toujours plus loin...



La roulette
Très bon pour développer les deux carrés d'abdos du bas, ceux que vous désirez obtenir pour afficher un 8pack à la plage, l'exercice de la roulette... Thomas effectue quatre séries de quinze répétitions de cet exercice tous les matins ce qui ne l'empêche pas de s'effondrer au bout de quelques secondes en statique.


Soutien à la corde
Quand le maintien en position statique devient trop difficile, Thomas sort la corde pour maintenir Isabelle et ça marche. Première fois que nous testons cela !


Drapeaux
Quelques drapeaux et c'est la fin de ce boot camp où les femmes ont été mises à l'honneur !

Bravo à toutes et à tous !

Pour participer au prochain boot camp : manager@gregory-capra.com 

Adrien - Lyon - Coach Capra

Originaire de Lyon, je pratique, dès l’âge de 4 ans, le vélo auprès de mon père, grand sportif et ancien champion de 1500 m. Je baigne depuis toujours dans les sports d’endurance. La région lyonnaise étant vallonnée et bien pourvue en dénivelés, je peux m’entraîner sans problème à l’extérieur et pratiquer à loisir le vélo (d’abord le VTT, puis cyclisme sur route) conjointement à la course à pied. Voyant que cette formidable dépense d’énergie me fat du bien et est salutaire pour retrouver mon calme (je suis un enfant turbulent), mon père m’inscrit, dès mes 8 ans, dans un club de VTT. Les années passant, je saute en plus d’une activité à l’autre, d’un club à l’autre sans véritablement trouver mon compte (judo, tennis, foot), comme pour mieux répondre aux attentes des parents, soucieux que leur chère tête blonde puisse s’épanouir et se stabiliser dans une activité…

Ce n’est qu’à 16 ans, lorsque je sais vraiment que les seules disciplines qui m’éprouvent sont celles ou durée et intensité se conjuguent que j’en conclus que les sports d’endurance sont faits pour moi.

Parallèlement, je suis suivi par un kiné car je dois porter un corset (croissance rapide oblige). De là, naît une nouvelle expérience : la musculation. Le kiné, qui me conseille de me renforcer le dos, mis à mal par des années de contention, me transmet le virus de la fonte. Mais cette activité censée être raisonnablement pratiquée, finit par l’être tout autant que la course à pied et le vélo ! Vers 18 ans, l’année de la terminale, je cumule déjà 7 ou 8 h de sport par semaine. Cette approche de la musculation corrective est le point de départ de la compréhension que j’ai de mon corps et de la nécessaire acuité que cette activité demande. Le bac en poche, je rejoins la faculté pour y étudier l’histoire de l’art durant 5 années, années les plus riches intellectuellement parlant, mais physiquement aussi, dans le sens où tout mon temps libre (outre le travail personnel) est dévolu à l’entraînement et à la lecture scientifique. Une année passée au Canada est la cerise sur le gâteau en ce sens où les infrastructures à disposition sont tout simplement gigantesques et innombrables. Et c’est alors que je découve finalement l’ultime activité qui est La révélation : le triathlon ! Comme je dispose de pas moins de 15h par semaine, ce sport extraordinaire, chronophage et énergétique s’il en est, sonne comme une évidence. J’enchaîne alors les épreuves chaque week-end end et j’écume les courses locales.

De là germe en moi l’idée d’une reconversion professionnelle, car le métier lié à la conservation et à la culture me devient soudain de plus en plus étranger, ce n’est pourtant pas faute de m’y être essayé.

Je décide alors de me remettre aux études et de passer le Brevet d’Etat des Métiers de la Forme (DEUST).

Expérience technique
Outre mon M2 en histoire de l’art, j’ai un DEUST des métiers de la forme, le PSCI de secourisme, un DIFFE des échecs.

Expérience pédagogique 
J’ai 2 années d’expérience dans l’animation (accueil et briefing d’avant course pour des simulateurs auto / I WAY, Lyon).

De même, j’ai un diplôme d’initiateur au jeu d’échecs destiné à l’enseignement de cette discipline pour les enfants dans les écoles.

Concernant le domaine de la remise en forme et du sport, je suis intervenant à l’EM de Lyon (école de management), j’interviens dans une association où je dispense des cours traditionnels (cuisse /abdos/fessiers, stretching et step). Je donne des cours de Pilates et de stretching et enfin je suis coach de circuit dans deux salles de remise en forme mais le gros de mon activité est lié au coaching à domicile et en entreprise. 

J’ai donc l’expérience d’un très large public.

Spécialités 
- Le mouvement fonctionnel (TRX/BOSU…)
- La préparation physique et diététique des sports d’endurance.
- La musculation pour tous, la musculation appliquée aux sports d’endurance.
- La marche nordique
- Stretching et Pilates

Qualifications
- DEUST des Métiers de la Forme
- Attestation de Formation aux Premiers Secours (PSCI)
- Formation à la méthode Grégory Capra
- Formation en conseils alimentaires Grégory Capra

Palmarès sportif 
J’ai été licencié à l’UFOLEP en cyclisme 2 années, mais rapidement je m’en suis détaché pour m’entraîner seul :
- une trentaine de cyclo sportive, dont 11éme sur un critérium dans l’Ain,
- 21ème au Triathlon de LYON 2009,
- … 

Pour contacter Adrien : manager@gregory-capra.com

vendredi 7 mars 2014

Encore un fake !

Fake sur Badoo
Je ne m'appelle pas Nico, je n'ai pas 32 ans, je n'habite pas Bruges, je ne veux pas chanter... Ce profil sur Badoo est un fake. Encore un mec qui utilise mes photos. Et le site a l'impudence d'apposer le bandeau "vérifié" à cette photo !!! Marre de l'usurpation d'identité... Je dépose plainte en Gendarmerie, dès lundi.

Si vous êtes sur Badoo, signalez ce fake aux administrateur et prévenez l'individu qu'une plainte sera déposée contre lui mais avant, aidez-moi à trouver son adresse et son numéro de téléphone...

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com 

jeudi 6 mars 2014

Avant / Après : Dorian

Dorian : 15 ans - 90 kg / 20 ans - 75 kg
Dorian : 15 ans - 90 kg / 20 ans - 72 kg
Cinq années séparent ces clichés. Dorian était un adolescent obèse. A 15 ans, il pesait 90 kg. Aujourd'hui, Dorian est un jeune homme musclé. A 20 ans, il pèse 75 kg pour 1m72.

Dorian
Pour cette transformation, Dorian a accepté de torturer son corps : régime alimentaire et entraînement physique. Il pratique la musculation fonte et poids de corps, le CrossFit, le fitness et un peu le Street Workout. 

Voici quelques uns de ses max :
- 92 dips,
- 48 pompes à une main (côté droit),
- 140 kg au développé couché,
- 184 kg au soulevé de terre,
- 36 tractions en pronation, prise large.

Le dos, point fort de Dorian
(photo Xavier Alauze)
Dorian considère que ses pectoraux constituent encore sont point faible tandis que dos, épaules et bras sont ses points forts. Cette nouvelle silhouette attire l'objectif des photographes. Dorian croule sous les demandes de shootings !

Dorian - 20 ans - Marseille
Pour préparer un shooting, Dorian ne modifie pas grand chose à ses habitudes. En général, il continue sa diète sans aucun écart car il s'autorise souvent un petit extra, le samedi et, au niveau entraînement, il garde toujours le même. Une précaution quand même... il passe chez le coiffeur, la veille du shooting.

Dorian - 20 ans - Marseille
Dorian suit actuellement une formation au BP JEPS AGFF mention forme et passera la mention force l'année prochaine. 

Les photos, il ne compte pas en faire mon métier. Il n'a démarré qu'à l'hiver 2013 et ne préfère pas s'avancer sur le sujet et s'imaginer faire carrière car il y a beaucoup de monde qui y songe et c'est très difficile.

Il continue donc son chemin vers les métiers de la forme et de la force et il verra par la suite ce que ça donne... Ne sait-on jamais ! 

Plus de photos de Dorian : http://www.dofit.book.fr/

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com