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mardi 3 décembre 2019

RAS - Rien à signaler

La salle et le comptoir du RAS
Une rue en plein travaux (c'est habituel à Paris !), un décor moderne, épuré, brut et métallique qui fait penser à un bar de backroom (on n'est pas loin du Bunker, il y a des spécialistes qui connaissent !), c'est le nouveau temple de la Street Food à Paris : le RAS pour Rien à signaler.   

Altaï
Et pourtant des choses à signaler, il y en a : un accueil efficace, un service attentionné, une équipe jeune avec la casquette à l'envers, une cuisine ouverte pour voir les cuisiniers à l'oeuvre, une ambiance hip-hop,...

Le CroC (pain de mie, gouda à la truffe, jambon blanc)
Houmous de patate douce
Fake Filet (faux filet persillé (200 g), chimichurri, sauce fourme d'Ambert, purée de patate douce)
Fish Moi La Paix (filets de lieu jaune croustillants, pousses d'épinards, mayonnaise au chipotle)
Churros maison, confiture aux quatre fruits rouges et zestes de citron
Comme le prouvent les photos et les légendes, la cuisine du RAS est déstructurée et inventive. Les classiques de la Street Food sont revisités au goût français avec des produits de qualité, de quoi en faire de bons petits plats copieux, savoureux et généreux.

Evidemment, vous voulez connaître le prix ! Eh bien, c'est ultra raisonnable : moins de 25 euros par personnes grâce à la réduction de La Fourchette.

Adresse et réservations :
RAS - Rien à signaler
54, rue du Faubourg du Temple
75011 Paris
01 43 57 04 34

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

lundi 2 décembre 2019

Les sangliers de Lourmarin

Laurent
Après Fontaine-de-Vaucluse, voici un autre itinéraire pour Grégory Capra et Laurent. A Lourmarin, ils partent sur les traces d'Albert Camus où l'écrivain, prix Nobel de littérature, avait, chaque jour, l'habitude de faire son "tour de plaine".



Autour de Lourmarin
A Lourmarin, Albert Camus retrouvait la lumière de l'Algérie... sans la mer qu'il affectionnait tant. Je ne connais pas l'Algérie mais que les paysages autour de ce village du Luberon sont beaux et que les couleurs de l'automne sont magnifiques !



Les chemins de Lourmarin
Grégory Capra et Laurent avancent dans la garrigue. La lumière sublime les couleurs de l'automne. Le circuit n'est pas très éprouvant d'un point de vue physique, il permet d'admirer le paysage. Tout paraît très calme mais un événement inattendu survient...

La montre de Laurent
Laurent ou plutôt sa montre compte ses pas et, quelque part au milieu des collines, le verdict tombe : "Objectif du jour atteint !". Puisque le coach ne sert plus à rien, Grégory Capra décide d'abandonner sont élève au milieu des bois avec les sangliers !!!


Le chemin du retour
Traversée du Luberon, village de Bonnieux, plaine du Calavon, Laurent retrouvera-t-il sa route jusqu'à L'Isle-sur-la-Sorgue ?

A suivre...

Les articles précédents sur le séjour sportif privé de Laurent en Luberon, en novembre 2019 :
- Les courses au supermarché

- La Sorgue en furie

- Cauchemar à Fontaine-de-Vaucluse

En savoir plus : manager@gregory-capra.com

dimanche 1 décembre 2019

Le Ventoux en azimut brutal

Grégory Capra et Jérôme à l'assaut du mont Ventoux
C'est du chalet Reynard, à 1417 mètres d'altitude, que commence l'itinéraire bien spécial qu'affectionne Grégory Capra pour rejoindre le sommet du mont Ventoux à 1912 mètres d'altitude, soit un dénivelé positif de 495 mètres. 


Le mont Ventoux
La voiture garée au parking du chalet Reynard, le pied de la station de ski, Grégory Capra et Jérôme marchent 400 mètres environ sur la D 974 en direction du sommet et quittent le bitume au premier lacet pour évoluer sur un chemin de Défense des Forêts Contre les Incendies (DFCI).


L'azimut brutal
Sept lacets et environ cinq kilomètres plus loin, les sportifs quittent le chemin de DFCI, ils virent à 90 degrés en direction du nord. Le sentier, que l'on devine à peine, monte sec dans le pierrier du mont Ventoux.    


Le mont Ventoux
Le sentier rejoint la D 974 au niveau du col des Tempêtes à 1841 mètres d'altitude. Il ne reste qu'un kilomètre de bitume pour rejoindre le sommet du Ventoux et redescendre un peu pour une prière à la chapelle Sainte-Croix, déjà dans la neige.



La descente
Pour la descente vers le chalet Reynard, il y a le choix : la route départementale ou le pierrier. Django sait où il peut trouver son festin... malheureusement le loup est passé avant lui !

A suivre...

L'article précédent sur le séjour sportif privé de Jérôme en Luberon :
- Le tour des Dentelles de Montmirail

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

Peur sur la ville

Place de la Nation

A quatre jours de la grande manifestation contre la réforme des retraites, la tension monte auprès de la place de la Nation, lieu d'arrivée du cortège. Faisant le lien avec l'événement et l'endroit où doit se terminer la manifestation, le service de propreté de la Ville de Paris, enjoint les résidents, dans un très large périmètre, à ne pas sortir et laisser leurs poubelles sur le trottoir. Craint-on des casseurs ? J'ai peur pour mes amis sportifs du quartier de la place de la Nation !

Place de la Nation
Pour ajouter au sentiment d'inquiétude, voici que la pénurie de carburant gagne la capitale. Il n'y a plus de SP 95 à la station Total du boulevard de Picpus ! Comment aller travailler sans transports publics et sans carburant ? J'ai peur...

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

Cauchemar à Fontaine-de-Vaucluse

Grégory Capra et Laurent
Venu des Sables-d'Olonne, habitué des séjours sportifs en Luberon, Laurent est un fin connaisseur de Fontaine-de-Vaucluse. Grégory Capra, son coach sportif et masseur, se doit donc de le surprendre.


Fontaine-de-Vaucluse
C'est dame nature qui se charge d'apporter le premier étonnement à Laurent : des rues vides de touristes, des arbres aux couleurs de l'été indien comme le chante Joe Dassin, une rivière impétueuse au bruit assourdissant.  



La Sorgue en furie
Puis commence l'aventure : une randonnée ou un trail au-dessus de Fontaine-de-Vaucluse. Pour échapper à la furie de la Sorgue, il faut prendre de la hauteur tout en évitant de glisser et de basculer dans les flots impressionnants de la rivière. 



Ailleurs !
Pas de GPS, pas de boussole mais un objectif : marcher et courir en forêt pour découvrir des vieilles pierres et de magnifiques panoramas dans un espace qui embaume le thym, le romarin, la sarriette, ...



Perdu !
Les sportifs tentent de conjuguer trois circuits : le chemin des Beaumes Rouges, le Mourre de la Belle Etoile, les crêtes de Fontaine-de-Vaucluse. Sans carte, la virée tourne vite au cauchemar. Voyez Laurent perdu hors de tout sentier ! Il maudit son accompagnateur !



Nulle part
C'est une épreuve pour Laurent mais il n'a pas d'autre choix que d'avancer. Se perdre dans la nature et continuer, c'est se dépasser physiquement et mentalement. Surtout ne jamais se retourner... là ce n'est pas du Joe Dassin mais du Michel Sardou !


Calme
Les jolies couleurs de l'automne et la pente qui s'adoucit ramène Laurent au calme. La production naturelle d'endorphine fait son effet. Eh oui, pratiquer une activité physique procure un sentiment d’extase, de légèreté, de puissance…




Zénitude
Enfin, c'est le retour à la civilisation : chemin forestier et rives aménagées de la Sorgue. Il est maintenant possible de faire le pitre et de méditer ! Il faut se détendre et se remettre de toutes ses émotions fortes !

A suivre...

Les articles précédents sur le séjour sportif privé de Laurent en Luberon, en novembre 2019 :
- Les courses au supermarché

- La Sorgue en furie

En savoir plus : manager@gregory-capra.com